Quels sont les trois caractéristiques de l’économie sociale et solidaire ?
Quel sont les objectif de l’ESS ? Les objectifs de cette vision humaniste sont triples : adopter une approche plus sociale et plus solidaire de l’économie, avoir un impact direct sur les personnes et sur le territoire et enfin promouvoir le lien social et la justice économique des différents acteurs impliqués. Quel est l’objectif principal de l’ESS ? Les acteurs de l’ESS défendent des valeurs sociales et solidaires. Les acteurs de l’ESS défendent une manière spécifique d’entreprendre, orientée vers des projets d’utilité sociale avant tout. Ils replacent ainsi l’économie dans son contexte, c’est-à-dire comme moyen au service de la société, non comme une fin en soi. Quels sont les trois types de développement ? Contrairement au développement économique, le développement durable est un développement qui prend en compte trois dimensions : économique, environnementale et sociale.19 avr. 2021 Quel est le but de l’économie sociale et solidaire ? Reconnue par la Loi du 31 juillet 2014, l’Économie sociale et solidaire (ESS) regroupe un ensemble de structures qui cherchent à concilier utilité sociale, performance économique et gouvernance démocratique, avec pour ambition de créer des emplois et de développer une plus grande cohésion sociale. Quelle est l’importance de l’économie sociale et solidaire ? L’ESS permet aux acteurs économiques de maintenir et de développer les activités économiques locales dans leur propre contexte social, ce qui les rend moins vulnérables et plus aptes à contribuer au développement régional.
Quelles sont les limites de l’économie sociale et solidaire ?
Le fait même que les organisations de l’ESS poursuivent toutes un but particulier, et non une finalité générale – gagner de l’argent -, limite donc mécaniquement leur propension à se diffuser dans l’ensemble de l’économie. La vertu même de l’ESS tend ainsi à se retourner contre sa capacité à croître.1 mars 2011
Qui finance l’économie sociale et solidaire ?
Le projet est financé par un ou des investisseurs privés qui sont remboursés par l’État en fonction de la réussite effective du projet. Différents types de contrat à impact sont possibles : Le contrat à impact « Économie circulaire »17 nov. 2021
Quels sont les avantages de l’ESS ?
Reconnaissance institutionnelle vis-à-vis du public et des financeurs (publics ou privés) Adhésion à des réseaux d’entreprises, fédérations. Éligibilité plus grande que les entreprises de l’ESS aux financements solidaires délivrés par une soixantaine d’acteurs : BPI France, France Active, …
Quelle est l’importance de l’économie dans la vie sociale ?
Un rôle clé dans l’économie L’économie sociale contribue à rétablir trois grands déséquilibres sur le marché de l’emploi : le chômage, l’instabilité des emplois et l’exclusion des chômeurs de la vie so- ciale et de l’emploi.19 févr. 2009
Quelle est la différence entre la croissance économique et le développement économique et social ?
Alors que la croissance est d’abord un phénomène quantitatif de nature économique, le développement est mouvement continu sur le long terme, de nature qualitative et quantitative, qui modifie durablement les structures économiques, sociales et démographiques de la société.25 mai 2021
Quels sont les principes et les valeurs de l’ESS ?
Le terme d’économie sociale et solidaire regroupe un ensemble de structures qui reposent sur des valeurs et des principes communs : utilité sociale, coopération, ancrage local adapté aux nécessités de chaque territoire et de ses habitants.
Quels sont les inconvénients de l’ESS ?
Les points défavorables sont la montée de la consommation individualisée, l’exigence de prix bas et la baisse des ressources publiques; la mise en commun de moyens, leviers majeurs d’efficacité, ne sont pas facilités en statut ESS; de plus, son mode d’action et ses impacts deviennent des freins dans un univers à la …
Quels sont les objectifs de l’ESS ?
Les objectifs de cette vision humaniste sont triples : adopter une approche plus sociale et plus solidaire de l’économie, avoir un impact direct sur les personnes et sur le territoire et enfin promouvoir le lien social et la justice économique des différents acteurs impliqués.
Quels sont les enjeux de l’économie sociale et solidaire ?
l’économie sociale vise des organisations à fonctionnement démocratique (coopératives ou mutuelles) l’économie solidaire concerne les organisations recherchant une utilité sociale, agissant alors par exemple dans le domaine de l’insertion, de la protection de l’environnement etc.26 nov. 2015
Quelles sont les types de structures de l’ESS ?
Les structures de l’ESS sont présentes dans tous les secteurs d’activité et peuvent prendre de multiples formes juridiques : associations, coopératives, mutuelles, fondations, entreprises sociales à statut commercial.
Quelle est la différence entre l’économie sociale et l’économie solidaire ?
La première différence se trouve dès la notion de la production. Ainsi, l’économie sociale cherche à produire autrement sans forcément remettre en cause la relation entre la production et la richesse collective alors que l’économie solidaire se place dans une critique forte du productivisme.15 févr. 2022
Quels sont les deux facteurs principaux qui favorisent le développement économique ?
Selon l’approche de Solow, le développement économique s’explique par trois facteurs : l’augmentation des deux principaux facteurs de production (travail et capital), et le troisième le progrès technologique, générateur de gains de productivité.25 janv. 2022
Quelles sont les formes de la solidarité ?
Emile Durkheim conçoit deux types de solidarité : une solidarité mécanique, et une solidarité organique.
Quels sont les 3 facteurs de la croissance économique ?
La croissance économique dépend de l’utilisation des facteurs de production. Ces facteurs de production sont le capital, le travail et la productivité globale des facteurs.
Quels sont les 4 facteurs de production ?
Les économistes divisent traditionnellement les facteurs de production en quatre catégories : la terre, le travail, le capital et l’entrepreneuriat.
Quel est le but de la solidarité ?
La solidarité représente une relation d’aide entre des personnes partageant les mêmes intérêts afin de poursuivre leurs objectifs. Au sein de la société, la solidarité reste importante pour lutter contre l’isolement.
Quel est le rôle de la solidarité ?
La solidarité est le sentiment de responsabilité et de dépendance réciproque au sein d’un groupe de personnes qui sont moralement obligées les unes par rapport aux autres. Ainsi les problèmes rencontrés par l’un ou plusieurs de ses membres concernent l’ensemble du groupe.
C’est quoi le PIB d’un pays ?
On peut envisager le PIB, c’est-à-dire le produit intérieur brut, comme étant la note globale figurant sur le bulletin d’évaluation des résultats économiques d’un pays ou d’une région. (Image d’un bulletin scolaire.) C’est l’une des méthodes employées pour mesurer la taille et la croissance de l’économie.4 juin 2018
C’est quoi le taux d’inflation ?
Une hausse globale des prix On parle d’inflation lorsque les prix augmentent globalement, et non uniquement les prix de quelques biens et services. Quand tel est le cas, avec le temps, chaque euro permet d’acheter moins de produits. Autrement dit, l’inflation érode progressivement la valeur de la monnaie.
Quels sont les 3 facteurs ?
Les facteurs primaires correspondent aux ressources naturelles, au travail et au capital. Les facteurs secondaires correspondent à l’information et au capital humain….On distingue trois facteurs de production primaires :
C’est quoi le capital en économie ?
Le capital est l’autre facteur indispensable à l’activité productive. Il est constitué par l’ensemble des biens intervenant dans la production d’autres biens, mais représente aussi la totalité des richesses à la disposition de l’entreprise.
Quel est le contraire de la solidarité ?
Quel est le contraire de solidarité ? Entraide. Égoïsme.23 déc. 2020
Quels sont les avantages de la solidarité ?
La solidarité, à l’échelle d’un groupe, permet de faire avancer de grandes causes, et les exemples dans l’histoire ne manquent pas. Mais les bienfaits se mesurent aussi à l’échelle individuelle. Les neurosciences, d’ailleurs, commencent à investir ce champs là.3 avr. 2018
Qui est le pays le plus riche du monde ?
Le Luxembourg reste le pays au plus fort PIB par habitant en 2021, avec un produit intérieur brut par tête de 126 000 dollars. L’Irlande reste sur la 2e marche du podium, devant Singapour (3e).18 août 2022
Quelle est la différence entre le PIB et le PNB ?
Indicateur économique permettant de mesurer la production de richesses d’un pays, le produit intérieur brut (PIB) mesure la valeur de tous les biens et services produits dans un pays sur une année. La notion de produit national brut (PNB) n’est plus utilisée en comptabilité nationale.16 août 2018
Quels sont les 4 facteurs ?
Les économistes divisent traditionnellement les facteurs de production en quatre catégories : la terre, le travail, le capital et l’entrepreneuriat. La terre fait référence aux ressources naturelles, le travail se réfère à l’effort de travail, et le capital est tout ce qui est fait pour faire autre chose.
Qui est le plus beau pays du monde ?
1. L’Italie. L’Italie regorge de coins magnifiques, des Cinque Terra aux Pouilles en passant par la côte amalfitaine, ce pays aux mille couleurs et aux mets les plus exquis mérite tout à fait la première place du classement.10 janv. 2022
Quel est le pays le plus pauvre au monde ?
Ainsi, le Burundi arrivait en tête des pays les plus démunis, avec un PIB par habitant de 269 dollars américains. Il était suivi du Sud Soudan et de la Somalie. Seul trois pays de cette liste sont hors d’Afrique : Afghanistan, Tadjikistan, Yemen .9 août 2022
Qui a créé le PIB ?
Simon Kuznets
bonjour et bienvenue pour cette émission spéciale consacrée à la chaire d’économie sociale et solidaire de l’université paris est marne la vallée et pour tout connaître de cette chaire j’ai le plaisir d’accueillir nathalie uri et alan dauger deux anciens étudiants du master d’économie sociale et solidaire bonjour bonjour le responsable de la chaire qui par ailleurs est enseignant chercheur en économie hervé de walbach bonjour un jour et deux partenaires de la chaire coopaname et casden donc représentée par monsieur sangiorgio bonjour madame bonjour et quinzaine banques populaires représentée par philippe nicaud bonjour bonjour alors puisqu’il va être question tout au long de cette émission d’économie sociale et solidaire qu’on appelle aussi le ss la première question monsieur de fall baril ce qu’on peut définir ce qu’est le ss l’économie sociale et solidaire alors oui on peut la définir et peut-être pour la définir commencé par rappeler que l’économie sociale et solidaire le ss est une histoire ancienne puisqu’elle remonte au début du 19e siècle au moment de l’émergence à la fois du capitalisme et du libéralisme avec ce qui a été amené par ces deux nouvelles manières de développer l’économie de fortes inégalités et une grande pauvreté ouvrière contre lesquels les pionniers de l’économie sociale et solidaire ont combattu et on peut penser pour un fondateur le nom de robert wayne en angleterre qui était à la fois l’inventeur des coopératives élus et du socialisme alors cette histoire on va pas refaire alors parce que c’est vrai que c’est c’est important prêt c’est long c’est dense mais la leçon va pas avoir le temps de refaire toute l’histoire de l’économie sociale et solidaire donc je suis aujourd’hui on devait définir ce que c’est que l’économie sociale et solidaire c’est important encore de marquer quand même un temps de photo ar rapport à cette histoire puisque dès le départ on voit deux dimensions qui vont marquer toute l’histoire de l’économie sociale et solidaire d’une parcelle de la réparation par rapport aux dégâts du libéralisme et d’autre part celle de l’émancipation par rapport à une visée démocratique dans l’économie à travers notamment les coopératives alors cette histoire elle a continué aujourd’hui on l’appelle l’économie sociale et solidaire et la définition usuelle et qui est aussi d’ailleurs définition statistiques de cette économie sociale et solidaire c’est à dire qu’elle rassemble les mutuelles les coopératives les associations employeurs et enfin les fondations donc ça c’est la définition usuelle statistiques que l’on rencontre le plus souvent de l’économie sociale et solidaire qui n’est pas sans défaut est ce que ça veut dire qu’aujourd’hui on retrouve les deux dimensions que vous avez indiqué à savoir la réparation et l’émancipation tout à fait et on va tout de suite avoir cette division un peu statutaire de l’économie sociale et solidaire la réparation sera souvent du côté des associations bien connu les restos du coeur notamment par exemple et puis du côté de l’émancipation plutôt les coopératives avec puisque nous avons des représentants des coopératives sur le plateau le crédit coopératif où la casden des pays voilà est ce que les uns et les autres partagent cette définition de l’économie sociale et solidaire est ce que vous aimeriez la compléter monsieur miclo août hocher la tête non non non je partage totalement ce que ce qu’il y avait de fer loire vient de porter comme éclairage et comme définition de l’économie sociale et solidaire mais quelque chose c’est une économie qui met l’homme au coeur de ce système économique et non pas le capitalisme et l’argent au coeur de ce dispositif monsieur sangiorgio en moi je rajouterais simplement une dimension en disant qu’ à travers à travers les âges à travers le temps il ya eu soit une prépondérance du côté de la réparation ans entrepreneur ans du côté de l’émancipation et c’est vrai que depuis vous dire je dirais moi à mon sens depuis depuis une vingtaine d’années trentaine d’années on a beaucoup mis l’accent sur la réparation je crois qu on est quelques-uns pour quelle idée que maintenant il faut aussi remettre en avant l’aspect émancipateur et en particulier la démocratie dans l’entreprise est alors les jeunes générations quelle image vous avez de quelle définition vous donnez de l’économie sociale et solidaire moi je suis assez d’accord pour parler de l’homme au coeur des problématiques tout cas c’est ce qui me semble important dans cette approche là est peut-être différenciante de des autres types d’économie oui l’homme les cas l’efficacité économique ne pas placer l’efficacité économique du moins pas que ça en premier lieu je dirais que c’est une économie qui est à des sources anciennes et qui se modernise également mois de plus en plus de je pense de jeunes qui s’intéressent à l’économie sociale et solidaire à l’entrepreneuriat social voilà donc une économie qui se renouvelle et qui prépare son futur est peut-être pour compléter un tout petit peu cette définition mais on reviendra en fin d’émission sur la place de l’économie sociale et solidaire il ya une loi qui a été votée en 2014 est ce qu’on peut en dire deux mots c’est notamment plus d’autant plus important que cette loi de l’économie sociale et solidaire dans son article 1 à proposer une définition dit inclusive de l’économie sociale et solidaire qui a justement dépasser ce qui peut être un défaut le périmètre des statuts que j’ai évoqué tout à l’heure en associant cette économie sociale et solidaire à un autre mode d’entreprendre caractérisée par le fait que le profit ne soit pas le seul but aussi une gouvernance démocratique ou participative et une lucrativité limitée et elle a ajouté dans un amendement en fin du marathon parlementaire de cette loi un amendement qui a ajouté en plus dans cette définition de l’économie sociale et solidaire ce un élément qui associe l’économie sociale et solidaire à un mode de développement économique dont les deux caractéristiques principales sont celui de la solidarité et de la durabilité sur les territoires je le vivais en au préalable dans le sommaire de cette émission l’objectif de cette émission c’est de présenter la chaire économie sociale et solidaire de l’université paris est marne la vallée quelles sont les formations qui sont proposés au sein de cette chère nous avons deux formations qui sont proposées aux cinq choses de cette chère et qui ont d’ailleurs précédé la création de la chaire qui ont été les piliers sur lesquels la chaire s’est développé d’une part une licence professionnelle donc troisième année de licence gestion des organisations de l’économie sociale et solidaire et puis un master une mention de master économie sociale et solidaire avec notamment un parcours de ce masters insertion et entrepreneuriat social et solidaire et puis également dans la chaire d’économie sociale et solidaire nous avons été avec les partenaires de cette chaire attentif à proposer au-delà de ces deux formations dédiées à l’économie sociale et solidaire une option de découverte de l’économie sociale et solidaire proposé aux étudiants de première année d’économie gestion qui sont donc nombreux 300 donc nous avons aussi un enseignement de découverte de l’économie sociale et solidaire au sein de cette chaire donc c’est ça qui peut être important qu’il faut souligner c’est qu’on est plus sur une formation spécifique réservé à quelques-uns mais que le but c’est vraiment des d’ouvrir l’enseignement de l’économie sociale et solidaire pour que des étudiants en économie et au moins cette facette de l’économie tout à fait et c’était vraiment dans la volonté de des partenaires et de l’université ou moins de la création de la chaire de mettre l’économie sociale et solidaire au coeur de l’université et de ne pas en faire au contraire une niche réservée à certains parcours et certains étudiants qui peuvent être menées dans l’économie sociale et solidaire mais vraiment de l’ouvrir à tous les étudiants et aussi à tous les enseignements et les enseignantes d’autres universités donc nathalie vous vous êtes l’une des étudiantes ancien étudiant du masters qui maintenant s’appelle insertion et entrepreneuriat social et solidaire qu’est ce qui vous a amené à suivre ce master est un mois en fait j’avais un parcours de vingt ans d’expérience donc dans le secteur des ressources humaines dans ce secteur lucratif j’en ai eu un petit peu assez de voir justement l’ approche économique et financière prendre le dessus sur les problématiques humaines alors que j’étais quand même justement en ressources humaines et donc j’ai souhaité me réorienter en pouvoir travailler sur des structures qui trouve un plus juste équilibre justement entre l’ approche sociale avec l’homme au coeur des problématiques et l’approché économique c’est vrai que la formation était pour moi un moyen de réorienter de trouver une approche différente pour les quelques années qui me restent et même encore beaucoup d’années à travailler est ce que ça veut dire que dans votre ancien emploi qui était donc dans le secteur économique classique savait plus de 100 ce mode de travail n’avait plus de sens et plus de raisons de s’épanouir au travail il est quand même un peu de sa wii en tous les cas il est un vrai décalage entre mes attentes la vision que j’avais des ressources humaines telles que moi je souhaitais la pratique est en tous les cas et ce qu’on me propose et c’est vrai que j’étais plus amené juste à redire à licencier juste pour des problématiques financières sans même se poser la question de est-ce qu’on peut faire quelque chose avec les hommes et ce qu’on utilise au mieux les compétences de chacun à l’intérieur de la structure pour les faire grandir les faire grandir la structure donc on y fait bouger un manque de sens réel par rapport à ce que je faisais auparavant et alors est ce que votre formation a répondu à vos attentes est ce qu’aujourd’hui vous trouver un sens à votre travail alors oui moi la formation a largement répondu mes attentes c’est vrai que j’avais envie d’avoir une approche un peu théorique alliés en plus à une expérience sur le terrain c’est l’intérêt de la formation elle se fait dans le cadre d’une alternance et ça m’a permis en effet de changer complètement travailler aujourd’hui dans une association de lutte contre l’exclusion ou la forcément la problématique humaine elle est au coeur de vraiment notre travail au quotidien et pas que ce soit facile tous les jours mais en tous les cas on oeuvre différemment et les problématiques financières sont là mais on les traite différemment donc oui ça vraiment largement répondu à mes attentes aujourd’hui alan vous êtes également un ancien étudiant de ce master économie sociale et solidaire et donc que je rappelle qu’ils maintenant s’appelle insertion et entrepreneuriat social et solidaire vous qu’est ce qui vous avait amené à suivre cette formation j’avais eu un parcours associatif assez dense pendant ma ma licence j’ai fait une licence administration économique et sociale donc on nous apprend un peu l’économie macroéconomie microéconomie on va dire classique et à côté de ça donc j’ai monté j’ai rejoint plusieurs associations étudiantes et puis de fil en aiguille j’ai rejoint des réseaux d’associations un réseau d’associations nationales par exemple et j’ai vu des projets étudiants se développer comme des épiceries sociales et solidaires uniquement portée par des étudiants dans les universités et puis bah en m’intéressant un peu à ceux à ce domaine je me suis rendu compte qu’il y avait plein de choses qui se faisait plein de gens plein de bonne volonté qui voulait monter des projets où on met l’humain au coeur voilà au coeur de ce projet en plus de l’économie et donc je me suis dit à la fin de ma licence moi pourquoi pas à me lancer dans cette cette formation et pourquoi pas essayer de de créer en fait d’avoir une carrière d’évoluer dans une carrière où en même temps j’ai voulu pas que pour moi et j’ai voulu aussi en essayant de d’aider les autres au mieux donc j’ai fait une première année de master m dans le cadre de ma deuxième année de deux masters j’ai choisi le masters de demain de la vallée et vous aussi la formation a répondu à vos attentes oui complètement l été je cherchais vraiment un un master en économie sociale et solidaire donc quand j’ai rencontré monsieur de falloir pour la première fois lors de l’entretien de passage obligatoire pour savoir si on va être pris oui j’ai tout de suite senti que le contenu et puis même la plaquette que je sur lesquels je m’étais renseigné allons aller corresponde à mes attentes donc oui complètement alors est ce qu’il a un comportement social et solidaire quand il fait des entretiens pour les mairies il avait d’ailleurs passé après oui ça s’est très bien passé le l’entretien une forme classique mais en même temps je vois pas quelle autre forme on aurait pu lui donner mais oui mais tout à fait très agréable monsieur miclo vous vous êtes délégué général de casden banque populaire c’est l’un des partenaires de la chaire économique économie pardon sociale et solidaire en quelques mots que fait casden banque populaire parrot devine à travers banque populaire mais casden fait de la banque et sa populaire et populaire c’est une c’est une banque qui c’est une coopérative donc qui s’inscrit pleinement dans le l’économie sociale et solidaire est une coopérative qui est né de personnels de l’éducation nationale dont aujourd’hui à ce jour en tout cas la casden est ouverte à l’ensemble des personnels de l’éducation nationale pour proposer ce qu’une banque peut proposer comme service comme produit mais avec des valeurs fortes embarquez véhicule et en soutenant un certain nombre d’actions et ans aujourd’hui en tout cas intéressant un peu plus d’un million de personnels de l’éducation nationale alors quel genre d’action vous soutenez alors on a des actions fortes sur l’économie sociale et solidaire à travers des partenariats avec lui tu aimes par exemple avec d’autres d’autres établissements d’autres écoles où on a des engagements forts sur des actes autour de l’éducation avec l’éducation contre le racisme on a aussi des partenariats important sur l’éducation au développement durable est aujourd’hui en tout cas c’est des préoccupations citoyennes qui intéresse le plus grand nombre en tout cas c’est ce que l’on croisé ce que l’on espère et qu’est ce que vous attendez d’un partenariat quand casden banque populaire décide de rejoindre la chaire économie sociale et solidaire quel est l’objectif c’est l’objectif c’est pas d’attendre quelque chose de la chaire en particulier s’est alors précipité participer c’est d’abord on a un partenariat de proximité géographique on installé juste à quelques centaines de mètres de l’université mais en même temps c’est un partenariat de coeur puisque les valeurs véhiculées par par le monde de l’économie sociale et solidaire s’inscrit en plein dans cette dans les mêmes logiques donc c’est de soutenir cette chaire de soutenir les étudiants qui vont s’inscrire dans les parcours de master et ça fait ça fait ça donne du baume au coeur de voir qu’on ne voit pas cette économie comme une économie qui vient au secours d’un modèle qui a failli mais au contraire qu’elle a un intérêt certain et pour des jeunes en particulier au moment de leur choix de formation monsieur sens aujourd’hui vous vous êtes délégué vous n’êtes pas dans chargé de mission à coopaname la même question quelques mots est ce que vous pouvez nous présenter l’activité de coopaname oui au paname est une d’une coopérative d’activités et d’emploi cette stature une on pouvait en fait partie effectivement d’une expérimentation et d’un phénomène est un concept qui est née une quinzaine d’années à l’époque où certains s’étaient dit on pousse effectivement les demandeurs d’emploi à créer leur propre emploi que la propre entreprise mais on n’imagine pas les risques qu’on leur fait prendre en les uns en les incitant s’immatriculer depuis le modèle a fortement évolué donc en 2010 on a créé on a créé coopaname c’est à dire un lieu dans lequel les porteurs de projets via une seule ou à plusieurs avec leurs projets de développement économique dans l’idée effectivement de ce salarié dans une entreprise que l’on va appeler entreprises partager et de l’eau rémunération effectivement elle sera issue effectivement de ce que leur activité est en mesure de leur de leurs de l’ordre de leur donner de leur fournir mais on a rajouté effectivement très rapidement depuis là depuis la création une dimension supplémentaire c’est à dire qu’on n’est pas uniquement dans une logique de coopération c’est à dire de production ensemble mais aussi dans une logique mutualistes c’est à dire comment effectivement on est capable indépendamment de la production et la création de richesse comment on est aussi capable d’imaginer qu’on peut la répartir autrement en particulier en s’assurant réciproquement des risques des risques économiques les risques de la vie en imaginant des caisses de secours des avances de trésorerie et c’est ce qu’on ne peut pas forcément à voir quand on est entrepreneur individuel voilà et donc cesser c’est dans ce sens effectivement que ce qui nous apporte nous c’est qu’on soit dans une logique coopérative et avec un statut coopératif de façon à ce qu’elle les salariés puisque tout le monde est salarié de cette entreprise là de façon à ce que les salariés gèrent en commun cet outil c’est cette ces petits cons ap la maison commune dans un objectif démocratique et décident collectivement les orientations que l’on va prendre tous ensemble et donc c’est pour ça qu’on a en interne par exemple des comités commun d’engagement qui décide des avances de trésorerie soit en caisse de secours sont effectivement en aide au développement des activités et c’est donc effectivement l’ensemble des salariés à travers les instances qui le représente qui décide effectivement de ses grandes orientations là et de la politique générale qu on a tous ensemble et aujourd’hui alors coopaname représente combien alors doit-on dire salariés entrepreneurs alors c’est nous compliquer que sarde a parlé en communauté coopaname jens et environ 700 personnes dans cette communauté là puisque tout le monde n’a pas une activité professionnelle à l’origine puisque on accueille tout le monde ceux qui ont un projet et ce projet n’a pas forcément pour tout le monde complètement démarrer donc on a des gens qui n’ont pas encore de contrat de travail et parce qu’ils n’ont pas encore de contrat de travail dont communauté 700 personnes titulaires d’un contrat de travail environ 450 se fait 200 qui valent en temps plein quasiment 200 associés voilà c’est un peu ça la bataille de copains et pourquoi coopaname est partenaire de la chaire économie sociale et solidaire et ben ça rejoint un peu ce que j’ai dit tout à l’heure en introduction à savoir que il nous semble important pour nous que l’économie sociale revendique la volonté émancipatrice et que ça ça ne se voit pas assez on a constaté nous depuis quelques de pièces d’un nombre d’années effectivement qu’on était plutôt dans une logique de réparation est patent dans une logique de réappropriation de l’économie par le citoyen et qu’il fallait pour ça donnait une certaine visibilité et c’est donc en ce sens que on a développé en interne des projets qu’on appelait nous le projet jeunes par exemple comment on intéresse effectivement les jeunes à travers la sensibilisation à l’entreprendre autrement et donc à ce titre quand hervé nous a contactés au moment de la création de la short ou carano après la création de la chaire et à l’époque j’étais j’étais aussi codirecteur général de coopaname quand il nous a sollicités pour participer à la chair on s’est dit bah oui c’est ça qu’il faut faire il faut effectivement aller au coeur du système de l’enseignement nous faisait déjà de lancer de la sensibilisation dans les lycées et les collèges en accueillant des des deux jeunes stagiaires et on s’est dit bah c’est aussi l’occasion d’être au coeur de l’université parce que c’est là que se forment effectivement les futurs opérationnelle de l’entreprise à venir on a vu l’aspect formation maintenant avoir l’aspect débouchés j’ai dit vous étiez anciens étudiants du master économie sociale et solidaire vous l’avez dire en deux mots vous travaillez pour une association d’insertion vous fait quoi et pour qui donc actuellement je travaille pour une association qui est sur paris dans le xiiie arrondissement qui s’appelle la mie de pain et je travaille à l’actualisation de leur projet associatif en fait c’est la mission que j’avais l’an dernier dans le cadre de ma formation d’ actualiser ce projet de décrire définir les perspectives pour les dix ans à venir aujourd’hui je poursuis ma mission avec le déploiement de ce projet pour l’ensemble des six structures qui représente la mi-temps est donc avec et la définition d’un projet aussi pour chacune des structures et une communication pour l’ensemble des salariés bénévoles offre à l’ensemble des acteurs de l’association et voilà nous vous faites quoi eh bien je travaille au crédit coopératif où j’ai été recruté à la suite de mon alternance du masters où je suis chargé de clientèle personne morale donc je m’occupe d’un portefeuille de clients qui sont également des sociétaires parce que le crédit coopératif est une banque coopérative est donc uniquement des personnes morales qui font partie de l’économie sociale et solidaire donc on voit à travers vos deux exemples que l’alternance est un bon moyen pour s’insérer professionnellement se former c’est bien et justement trouver un travail c’est mieux alors monsieur de falvard quels sont les résultats en termes d’insertion entre guillemets de votre formation pour vous répondre de manière précise d’abord mobiliser une enquête faite l’année dernière par l’observatoire de l’insertion professionnelle des étudiants au sein de l’université l’office qui a fait une étude sur les sortants de la licence professionnelle dont j’ai parlé tout à l’heure de gestion des organisations de l’économie sociale et solidaire de la promotion 2012 deux ans après leur sortie que sont ils devenus et nous avons eu le plaisir de découvrir que du point de vue de leur insertion cela avait bien marché puisque le taux de chômage était de 3 8% alors que en moyenne pour licence professionnelle deux ans après ses 9 % donc nous étions très satisfaits de ce résultat est pour le master économie sociale et solidaire dont on a aussi parlé lassé des chiffres tout frais puisque ce sont les sortants de la promotion qui avait terminé en septembre 2015 et où nous avons sur 24 étudiants sortants donc deux étudiants qui n’ont pas été diplômés car aussi dans l’économie sociale et solidaire et unie lee a parfois des échecs et non nous sommes les premiers en regret de ses échecs mais effectivement ils sont là donc sur les 22 diplômés 13 avant la fin de la formation lors des soutenances était déjà en emploi donc là aussi nous avons un résultat tout à fait satisfaisant et pour les autres nous trois qui étaient en mobilité géographique puisque nous étudions aussi parfois souhaitent se déplacer ou à la sortie de leur de leur diplôme et puis deux en créativité de création d’activités dont finalement il y avait quatre étudiants qui étaient véritablement en recherche d’emploi à la sortie de la formation ce qui est un résultat tout à fait aussi satisfaisant et qui n’est pas et pas de miracle en la matière nous l’avait dit nos formations sont très professionnalisante elles ont un calendrier d’alternance et donc les contenus de nos formations sont très liés aux débouchés professionnels il n’y a pas de gap entre les deux est ce qui permet aux étudiants de sauter le pas de manière beaucoup plus sécurisée et en quelques mots mais très rapidement est ce que le secteur de l’économie sociale et solidaire est un secteur qui recrute actuellement le secteur de l’économie sociale et solidaire depuis 15 ans a beaucoup recruté avec la crise comme les autres secteurs il a pu connaître aussi une baisse de ces recrutements mais dans nos vies nos formations on est d’ailleurs pour les étudiants sortant j’ai pu faire passer plusieurs offres d’emploi ont toujours de nombreuses offres d’emploi qui leur sont proposés en tout cas en ile de france je vous propose une première pause dans nos échanges en prend regardant maintenant un extrait d’un film qui s’intitule osons l’égalité qui a été réalisé par des étudiants du master insertion et entrepreneuriat social et solidaire dans le cadre d’un festival de vidéo solidaire nul n’est inemployable et donc les coréalisateurs les étudiants du master son mari brasseur madické niang audrey le fur cécile robet et nathalie oury on regarde extrait on en parle tout de suite après superman je serais super man et je pourrais voler dans les airs sauver le monde je m’appelle boris j’ai 39 ans au mois de mai si je fais cette école d’artistes on va dire eh ben c’est pour devenir men marionnettistes professionnels de jardin tu dit la phrase nuit je reprends un autre une autre position je te stabilise tu dit la phrase hockey de jeu veut arracher à ces boucles dorées l aviez mes mains prisonnière de guerre et je les ai pas sans qu’un jeu cela serait de vouloir ce quiz de trauma de chaîne c’est ça qui est très important c’est de respirer c’est de regarder c’est d’écouter ses deux touchés mais au jeu de l’amour elle gagna biens dont un truc plus de rondeur dans l’urgence puisque pr notre france il nous faut les marmots lui dit il alors ce pôle moment tu flanche c’est convaincu qu’ il ya deux façons de d’enseignés soit on est dans le mimétisme c’est-à-dire conforme des singes savants ce qui est le cas pour beaucoup beaucoup de propositions culturelles avec les publics fragiles soit on est vers la prise de conscience de ce qui fait la différence et ont conduit l’autre vers l’autonomie je pousse mes élèves à s’emparer des choses à comprendre comment ça fonctionne je les emmène vers la culture je les pousse à la réflexion au départ je les pousse à savoir dire non a osé dire non et avant de dire non au thabor de se dire non à leur complaisance et facilité et je crois que il n’est pas question de se dire j’enseigne avec des publics fragiles mais la question à se poser en tout cas celle que je pose dans chacune des conférences qui me sont proposées c’est d’abord qu’est-ce que ça veut dire enseigner rappelons que sont l’égalité a été primée par le jury au festival de vidéo solidaire nul n’est inemployable alors nathalie avec d’autres étudiants vous êtes co réalisatrice de ce film est-ce que vous pouvez nous expliquer un petit peu dans quel contexte il a été réalisé c’est un film qui a été réalisé dans le cadre d’un projet tutoré donc il fait tout au long de l’année dans le cadre de la formation on se retrouve par groupe de 4 5 et le croûte dans lequel je travaillais avait choisi de travailler autour de l’impact des pratiques artistiques sur l’insertion des personnes en situation de handicap c’est ce qu’en dans ce cadre là qu’on a contacté le crt h et on a été on va dire interpellé par leur façon de vivre l’enseignement autour de l’égalité et d’exigence de façon à ce que tout le monde puisse se dépasser voilà mais c’est un projet qui est encadré par une réalisatrice tout au long de l’année et sur lequel on va tout faire de a à z dans le cadre de notre formation monsieur de falvard pourquoi vous avez choisi la vidéo comme projet tutoré c’est un peu surprenant on n’est pas loin de l’économie effectivement et c’est tout à fait volontaire par rapport à un master qui a une dimension de management de gestion de l’économie pour faire passer cette spécificité de l’économie sociale et solidaire dans la mesure où ces vidéos ont pour objectif puisqu’elle s’appelle vidéo solidaire d’être réalisés par des étudiants accompagnés par une réalisatrice avec toute une équipe au sein de l’université du campus numérique de montrer à travers ses vidéos un travail collectif à foix avec l’ensemble des personnes en insertion les permanents dans ces structures de l’insertion du handicap avec la volonté de montrer que ce travail qui se déroule dans ses structures avec c’est avec ces personnes est un travail avec une forte dimension ajoutée humaine démocratique donc il y avait vraiment la volonté de valoriser tout un secteur qui est parfois stigmatisées et à travers l’image qui vaut toutes les démonstrations par rapport à cette valeur humaine ajoutée qui s’y déploie donc il y avait vraiment cette volonté à la fois d’avoir un outil pédagogique pour nos étudiants de les amener à une participation collective avec les structures et à travers cette participation collective avec une structure en restituer la dimension humaine et démocratique et votre volonté a même été au delà puisque vous avez lancé un festival de vidéo solidaires nous n’est inemployable là aussi pour quelles raisons à la fois c’est une manière de valoriser à l’extérieur de l’université ce travail pédagogique qui est fait avec toutes les étudiants et leur encadrement d’une part et puis d’autre part il y avait aussi comme objectif de permettre à notre secteur professionnel qui est celui de l’insertion de l’entrepreneuriat solidaire d’avoir une plus grande reconnaissance à travers la production d’un festival avec avec l’image monsieur miclo vous êtes toujours délégué général de cadène qui est toujours partenaire de la chaire économie sociale et solidaire et donc vous êtes partenaires de ce concours vous avez participé à la sélection des vidéos qu’elle est un petit peu votre retour par rapport à tout ce que vous avez pu voir alors effectivement casden et partenaires du jury à participer au jury pour choisir le film la vidéo qu’ils allaient être récompensés et support c’était un exercice assez compliqué puisque l’ensemble des productions et les efforts faits par les uns et les autres pour rendre un travail abouti fini sur un sujet pas évident à traiter avec l’intermédiation du film et de l’outil vidéo mais l’ensemble des productions étaient vraiment de qualité alors un deuxième prix a été attribué puisque avait le jury mais il y avait le public qui était là également on parlera plus tard mais c’est un extrait du film qui a été primée qui est l’égalité par les vivres voilà c’était un exercice intéressant mais difficile puisque il y avait mais le jury était composé de deux façons très diversifié avec des gens qui nous permettait aussi d’avoir un regard critique sur la dimension production cinématographique également un bel exercice ce concours est alimenté par des vidéos fait par les étudiants dans le cadre du master aujourd’hui enfin l’année dernière il me semble vous avez ouvert un petit peu le concours quels sont les projets concernant ce concours pour les années à venir est-ce que c’est lui donner une dimension encore plus importante et peut être en faire un festival de référence ce festival est ouvert partiquement depuis le début à des à des vidéos extérieures à celles réalisées par les étudiants et effectivement nous avons eu certaines difficultés à obtenir des vidéos pour ce concours et dans la mesure où nous ne voulons pas de vidéos institutionnelles mais plutôt des vidéos participative qui permettent d’avoir une restitution dans ces structures solidaires de l’ensemble des personnes qui y oeuvrent et pas seulement d’une partie de manière un peu institutionnels à travers les témoignages de la direction et notre projet pour cette année afin de nourrir davantage encore ce festival par des vidéos et extérieur et de développer un partenariat avec les centres d’animation sociale ou des vidéos pourraient être réalisées à l’intérieur de ces centres d’animation sociale avec les les jeunes qui fréquentent ces centres d’animation sociale et un encadrement qui pourrait donc alimenter notre festival à travers ce partenariat on peut peut-être en profiter pour lancer un appel si on veut participer à la prochaine édition du concours on a jusqu’à quelle date pour vous soumettre sa vidéo alors le festival n’est pas encore ouvert sa date donc c’est à partir de janvier la clôture c’est me joins d’accord autre projet de la chaire économie sociale et solidaire c’est comme apprendre qui est menée entre autres par alan donc est-ce que vous pouvez nous présenter comme apprendre oui alors allez pas mener que par mois on est plus heureux c’est pour ça qu’il faut maîtriser en prob après plusieurs sur le sur le projet donc en fait dans le cadre du dans le cadre du master il ya donc les vidéos donc du projet tutoré et il ya un projet qui est peut-être un peu plus expérimentale du mans pour l’instant qui est de monter une entreprise sous forme coopérative dans le sur une en fait c’est un projet pédagogique qui se repose sur une activité économique du retraitement des déchets papiers de l’université donc voilà donc quand on est arrivé et d’ailleurs on enfin co2 falloir qu’on avait parlé dès le premier entretien d’abidjan christ heures voilà l’idée c’était de monter une entreprise donc sous forme coopérative au sein de l’université c’est un projet unique et très formateur puisqu’il fallait voilà il faut monter le modèle économique il faut voulu travailler avec les partenaires on a rencontré beaucoup de monde c’est un vrai défi parce que le projet tutoré on n’a pas non plus tout le temps qu’on souhaite pour travailler dessus donc c’est vraiment très c’est un projet très formateur est très intéressant et sur lequel je suis encore un peu aux gars je engagé aujourd’hui avec le reste enfin une partie d’une groupe du projet tutoré et vous en êtes où ça en est où parce que vous parlez de projets d’entreprises sous forme coopérative alors la coopérative est pas encore monté statutairement on a décidé pour des raisons que je peux faire ce serait très long à expliquer mais pour diverses raisons de monter une association de préfiguration donc là l’association est créée va permettre de pouvoir recevoir notamment les financements de divers partenaires et là on est au stade de l’audit de gisements donc faire un audit sur le gisement de papier au sein de l’université pour savoir quelle quantité on va récupérer quel type de papier voilà quelles caractéristiques et du cou du coup qu’est ce qu’on peut en faire à la sortie de d’ébène coopérative donc forcément je me tourne vers coopaname donc comment coopaname accompagne ce projet comment vous intervenez bah en fait on est un peu à l’origine du projet que pas prendre au sein de la chaire c’est justement notre notre contribution je dirais à participation à la chair alors c’est effectivement en lien avec avec hervé de le faire mais bien évidemment mais on a imaginé effectivement on semble que pour donner de la visibilité à la coopérative en général et je parle bien spécifiquement des coopératives parce qu’en général quand on parle d’économie sociale et solidaire tout le monde a plutôt en tête le modèle associatif on oublie un peu quand même qu’il ya des coopératives et donc on s’est rendu compte effectivement que on parlait très peu de coopérative très peu de coopérative de production plus que ce soit des scop ou autre et que également d’université encore plus forte que ce qui était un peu le paradoxe est donc on a imaginé qu’il fallait quand même que sur le campus sur le sur le territoire du campus des cartes qu’il y ait effectivement une vraie coopérative qui existe de façon à ce que les étudiants puissent en voir une réellement c’est à dire noir prenant mise pendant mes études j’en ai vu une fonctionner réellement et une effectivement dans les camps on était aussi partie prenante puisque on part du principe qu’une coopérative pour nous et un est en est un et 1 est un objet collectif il est rappelé qu’un objet politiques ou sociaux politiques et que donc il est important effectivement qu’on puisse qu’on puisse en voir fonctionner et donc c’est un peu ça la contribution de coopaname est ce notre rapport à nous il est paradoxal puisque en fait on intervient pratiquement pas c’est à dire qu’on est plutôt garant d’un processus une méthodologie et on sert un peu je dirais presque de garde-fous et de il ya peu de 1 peu comme un phare dynamiques viennent un cap une ligne directrice à suivre mais ce sont essentiellement les étudiants qui travaillent je crois que c’est un thème important de le souligner que ce sont bien deux sont bien eux sur quelques jours qu’ils peuvent consacrer pendant l’année qui font évoluer ce projet est donc si on est centrée sur la sur l’aspect le traitement du papier c’est parce que le groupe le groupe précédent en particulier parce que ça c’est ça existe depuis deux ans maintenant fin ce projet sous forme de cône de coopérative a créé le groupe précédent effectivement à a sélectionné parmi toutes les possibles d’activité économique leur traitement du papier au sein de l’université voilà donc la contribution de coopaname c’est de continuer effectivement à accompagner ce groupe en étant virés une une espèce de garantie professionnelle que ça va quand même bien se passer au bout du compte roi qu’il arrive pas on veut dire quel que soit le temps que puisse se consacrer aux étudiants qu’ils gagnent continuent était dans le temps et que l’on puisse de transmettre de groupe en groupe et si on se projette un petit peu dans le dans le temps est ce que ça veut dire que petit à petit on créera des coopératives à l’issue de la formation du master économie sociale et solidaire et est ce que ces coopératives pourront être des entreprises qui accueilleront les futures aux étudiants formés sur le temps plus la vocation de la coopérative en herbe comme apprendre n’est pas tout à fait celle là puisqu’elle s’adresse vraiment à l’ensemble des étudiants du campus pas seulement même si aujourd’hui ce sont les étudiants du master qui à travers des groupes projet travaillent à la création mais l’idée est bien que cette coopérative lorsque son activité qui sera une activité verte d’abord sur la question du papil et de sens de sa collecte et de sa revalorisation sera mis en place l’idée est bien que cette coopérative s’adresse à tous les étudiants avec une vocation qu’à rappeler alan pédagogique donc d’abord de sensibilisation de tous les étudiants à l’univers coopératif que c’était un univers possible efficace et aussi qu’il ya des valeurs démocratiques et et humaine et puis non seulement et ça je rejoins ce que votre question non seulement de sensibilisation mais aussi d’incubation éventuellement de projets portés par les étudiants sous forme coopérative donc la possibilité sera offerte est ouverte aux étudiants et nous espérons que des étudiants prendront cette opportunité et la rendront concrète puisque je vous ai dit tout à l’heure que la chaire d’économie sociale et solidaire placés voulait placer au coeur de l’université d’économie sociale au cder et de manière concrète le projet comme apprendre contribuer à cette place centrale de l’économie sociale et solidaire au sein de l’université en ayant une coopérative en activité dans cette activité économique encore une fois et le support de projets pédagogiques de sensibilisation et d’accumulation de projets je vous propose une deuxième pause dans cette émission on en a parlé tout à l’heure c’est le deuxième film qui s’appelle l’égalité par le livre qui a été réalisé par aurore dupont sagorin qui a eu le prix public du festival de vidéo solidaire nul n’est employables on regarde d’obstacles ainsi c’est quand même en entreprise adaptée c’est quand même on est plus à l’aise on va à notre rythme est bon il prend en considération les handicapés et s’adapte aussi c’est ça qui est bien marché que dans la main dans la vie actuelle c’est très bien d’avoir une entreprise qui vous dit brigitte capable de quelque chose encore quel que soit l’âge quel que soit le handicap l’impression de ne pas avoir quelque chose dans une valeur on n’a pas ailleurs j’ai trouvé ma place on m’a fait confiance et ça sympa de prix ça doit se retrouver peut valoriser ce assez finissez c’est pas du sang etc ou tout simplement l’entreprise adaptée c’est une entreprise qui est adapté aux personnes salariés reconnus handicapés donc effectivement nous avons un quota de 80% à respecter dans l’unité de production donc aujourd’hui le dépassant les 80 % nous sommes à environ 90% deux salariés qui sont reconnus handicapés psychiques ou physiques on compte environ 700 entreprises adaptées en france donc pour nous c’est une grande grande fierté surtout que nous sommes la seule librairie en tant qu entreprise adaptée en france et en entreprise on était tous ces coups on va dire et je travaillais quoique narrant fait plus attention aux personnes alors petits bobos enfin des choses comme ça il ya des jours vaille c’est plus compliqué quoi tout dépend du moral de la forme des gens on va dire pour arriver à négocier à c’est que tout le monde ait bien remettre une autre personne à cette personne à ce poste là pour ce moment là au moins quoi mais en règle générale c’est ce qu’on dit un maillage en traîne sa fin ainsi plus important ici en tant qu entreprise adaptée si vous voulez on est une entreprise comme les autres pas tout à fait comme les autres donc on vit avec cette altérité qui est propre à l’homme d’ailleurs et en mettant l’humain au coeur de l’entreprise on arrive effectivement à transcender les difficultés qu’on peut côtoyer à son travail ou dans sa vie personnelle et c’est donc on vient un moment de partage intense on donne du sens on développe l’activité et en même temps on vit dans un hors jeu pas faire de l’angélisme mais on vit vraiment une aventure qui est plus qu’humaine donc vous l’aurez corrigé par vous même le nom du festival de vidéo solidaire c’est nul n’est inemployable monsieur de fall bar quels sont les enjeux qui se présentent à l’enseignement de l’économie sociale et solidaire aujourd’hui pour nos formations il y à deux enjeux principaux le premier un jeu c’est un jeu de professionnalisation par rapport à aux structures de l’économie sociale et solidaire et en particulier aux associations qui ont un fort besoin de professionnalisation le deuxième enjeu c’est un enjeu de transformation sociale car en effet notre professionnalisation s’adresse à un secteur qui portent des alternatives qu’ils étaient en inventaire de démocratie économique et ceci nous paraît important de pouvoir développer des formations qui porte cette dimension de transformation sociale alors les autres vous n’êtes pas des enseignants mais vous êtes tous dans le secteur de l’économie sociale et solidaire ou peut-être par ailleurs vous intervenez commencé à dire pardon je connaissais pas cet aspect de votre vie professionnelle mais au contact donc des acteurs de l’économie sociale et solidaire et au contact du grand public à votre avis quels sont les enjeux qu’est-ce qu’il faut faire aujourd’hui pour sensibiliser pour former les jeunes générations à l’économie sociale et solidaire je pense que les initiatives telles que l’initiative de l’université laval est une initiative fort intéressante perçoit à travers un thermomètre qui n’existe pas et réellement mais une attirance une envie une appétence forte de beaucoup de plus en plus de citoyens à un modèle un peu alternatif donc à nos entreprises de répondre sur le périmètre de la banque en particulier a apporté cette réponse différente sur un plan économique et on s’aperçoit par ailleurs que ben du coup beaucoup de jeunes sont intéressés aussi pour approcher ces entreprises qui pratiquent l’entreprise différemment alors casden recense cet engouement pour l’économie sociale et solidaire ess cas coopaname vous croulez sous les candidatures et vous ressentez aussi un intérêt important en matière de déco de vie sociale 1 quand j’ai pas dit crouler sous les gants d’or maintenant j’ai pas dit que vous aviez des hommes et je demande à coopaname et ce qu’ils ressentent aussi cet engouement et ceux qui croulent sous les candidatures de personnes qui voudraient ont monté leur coopérative et se faire accompagner par coopaname je dirais kunuk roulait pas non pas un parent je suis là il ya quand même effectivement beaucoup beaucoup de demandes je crois que on pourrait être encore beaucoup plus gros et plus important qu’on ne l’est et effectivement on a fortement augmenté notre croissance pour éviter d’être d’être débordés non il ya bien il ya bien un engouement général et je crois qu’il tient il tient de choses et je pense pas qu’un de choses et tient principalement au fait qu’il y a eu une crise en 2008 je crois qu’on en est parfaitement conscient enfants de plus en plus compte maintenant et ça donnait surtout l’envi un certain nombre de jeunes et de moins jeunes de redonner effectivement du sens à ce qu’ils font et et du coup ça rebondit avec l’idée de transformation sociale mais moi je mettrais plutôt un terme simple aussi de citoyenneté économique c’est-à-dire de réappropriation de l’économie et pas uniquement de démocratie qu’on disait une toile à leur arrivée mais de citoyenneté économique de réappropriation par le citoyen de l’économie en tant que tel pour lui redonner du sens ça ne sert à rien effectivement de produire pour produire ce qu’on dit comme on dit fréquemment peu de gens qui essaient des cailloux sur le bord de la route alors sur la production mais ça sert strictement à rien donc il faut effectivement savoir pourquoi on produit est ce que l’on fait effectivement de cette production et on s’engage c’est effectivement très fortement aussi dans le développement durable je te dis on travaille pour générations futures je crois que c’est ça qui redonne effectivement un regain pour l’économie solidaire en se disant que c’est en ayant un contrôle effectivement par le citoyen par l’acteur par le salarié par le producteur par le consommateur je prends quoi parler des heures comme ça que l’on arrivera effectivement à redonner du sens à l’économie sociale il ya l’économie solidaire russie natale et vous vous étiez dans le secteur classique économique classique vous avait basculé dans le secteur de l’économie sociale et solidaire quand vous l’avait annoncé à votre entourage ou même au sein de votre entreprise comment ça a été perçu moi j’ai le sentiment d’être un peu un ovni deux pas du tout à ma place et une façons le sentiment que j’avais déjà depuis le départ je pense qu’on passe un peu pour des utopistes aussi avec cette vision des choses moi j’ai pas eu le sentiment que tout le monde me suivait mais après tout le monde aujourd’hui content de voir qu’il ya cette possibilité qu’en plus ça peut marcher donc à nous de prouver que ça peut marcher mais j’ai pas le sentiment non plus que tout le monde soit complètement prêt au virage et se disent que c’est possible et qu’on peut en vivre qu’on peut avoir cette approche différente qui encore du travail à faire et alan vous vous avez vous avez une expérience en tant qu’étudiant dans le milieu associatif vous vouliez faire et vous avez fait une formation dans le secteur de l’économie sociale et solidaire ess que par exemple votre entourage ou aux parents on était un peu inquiet bon maintenant je pense qu’ils sont rassurés puisque vous travaillez dans une borne à l’époque comment ça a été perçu non ils ont pas été inquiet le problème que j’ai rencontré majoritairement c’était à mais c’est un peu un monde de bisounours un ouais tu vas récupérer des dons et uv allait redonner à des gens et là il ya un gros travail de pédagogie justement et c’est pour ça que l’aide des actions comme celle de la chair sont importantes de faire comprendre aux gens que c’est pareil c’est pas que ça c’est pas que juste récupérer la générosité des gens pour la re donner autre chose je sais aussi voilà qu’il ya des vrais modèles économiques des choses solides de l’emploi voilà et que on peut on peut faire ça autrement on revient sur le sur la partie émancipation et pas que réparation voilà je pense qu’il ya aussi un gros travail même si autour de moi je sens que les jeunes s’intéressent de plus en plus à l’économie sociale et solidaire et à ses différents versants récemment j’ai un ami qui m’a présenté un projet d’entreprise il m’a dit ah je veux faire ça ça et je lui ai dit mais tu es en plein dans l’économie sociale et solidaire à bout oui et du coup je les remets ils le savaient pas voilà donc voilà encore un travail à faire mais je pense qu’il ya de plus en plus de jeunes qui se disent rase campagne en ce qui se passe je veux je veux créer quelque chose d’un peu différent et donc oui moi je le ressens en tout cas un engouement réel et pour montrer que les bisounours sont importants ils sont nombreux métiers de walbach ou quelqu’un d’autre est ce qu’on pourrait nous indiquer quelle est la place de l’économie sociale et solidaire au sein de l’économie tout court d’un point de vue statistique comme on sait c’est 10% des emplois ça donne sa place pour cent du pib avec des secteurs qui sont sur représentés comme ceux de l’action sociale mais aussi un contraste de la banque et assurance je pense que aujourd’hui prendre le pouls de l’économie sociale et solidaire c’est moi ces statistiques qui nous le permettent que le développement économique sur les territoires qu la loi je les ai rappelés à orienter la définition de l’économie sociale et solidaire du côté du développement économique et ce développement économique sont lieu pour l’économie sociale et solidaire c’est les territoires à travers les circuits courts à travers l’ épargne solidaire à travers l’habitat participatif à travers les monnaies locales à travers tout le secteur du réemploi et la réutilisation des déchets c’est là que l’économie aujourd’hui sociale et solidaire prend sa place prend toute sa place on est dans la coop 21 et l’économie sociale et solidaire c’est vraiment l’économie de la transition écologique et sociale pour demain et c’est là où l’avenir avec des emplois comme l’a rappelé alan des emplois notamment non délocalisables et vraiment pour terminer mais en quelques mots parce qu’on a été très long puisqu’on l’a dit l’important pour l’économie sociale et solidaire c’est la sensibilisation du grand public c’est la communication en deux mots voire 3 mais pas plus quel est le message que vous pourriez transmettre à notre public pour les sensibiliser et peut être développé leur engagement en faveur de l’économie sociale et solidaire croit qu’il n’ya pas meilleure sensibilisation que d’aller découvrir les acteurs sur leur territoire dans leurs quartiers qui sont engagés dans des actions d’économie sociale et solidaire qui pensent qu’ils sont très variés ils pourront trouver là des acteurs qui leur présenteront ce qu’ils font peut-être que leur feront des découvertes et ensuite surtout si ce sont des jeunes du collège jusqu’à l’université t mais qu’ils osent demander mais pourquoi nous on n’entend jamais parler de l’économie sociale et solidaire alors que c’est une grande partie de nos réalités en bas de chez nous dans nos quartiers dans un milieu rural nathalie en moins de trois mots derrière ajouté vous êtes un exemple voilà c’était secteurs de l’économie classique elle n’était pas vous étiez pas épanoui vous êtes dans le secteur économique et vous voilà messieurs monsieur san giorgio au mans je dirais que l’économie sociale et solidaire c’est pas une économie de substitution c’est vraiment une économie réellement alternative et en espérant que ce modèle là va réellement se se diffuse et je crois qu’on en a les moyens et si on se penche aussi sur le fait que l’économie sociale englobe la coopérative et le coopératif sur des structures de production à le constateur soit effectivement que le chant l’économie solidaire peut-être très vaste monsieur miklos rebondir sur ce que ce qui était dit précédemment il ya un mot qui m’a beaucoup plu dans ce qui a été dit c’est le l’utopie en fait c’est pas le monde des bisounours mais c’est quelque part l’utopie de quelques-uns qui arriva dans un modèle différent développer une activité économique alors c’est le cas pour pour casden en particulier et que peut-être les législateurs aille plus loin que la loi qui existe aujourd’hui pour faire toute sa place à ce monde de l’économie sociale et solidaire et ne nous traitent pas tout le temps comme le monde économique classique et alan je dirais juste que c’est une possibilité aussi pour les jeunes ou moins jeunes de construire sa propre carrière tout en aidant les personnes autour de nous donc tous les intérêts en fait merci à tous alors moi je voudrais rajouter deux trois petites choses même si rodez board tout d’abord le but de l’émission s’était présenté la chaire économie sociale et solidaire de l’université paris est marne la vallée il ya bien évidemment un site internet qui est www.unicef.fr slash cher tirait économie tirée social tire et solidaires précisé que monsieur de falvard a sorti aux éditions de l’atelier la révolution de l’économie en 10 leçons et je peux pas m’empêcher de vous citer quelques titres de ces leçons dont elle son numéro insee l’économie n’est pas une science naturelle le marché leçon numéro 2 n’est pas le seul monde l’intérêt n’est pas la seule raison d’agir les biens privés ne sont pas tous âges et tous vous les citer parce que j’adore donc il ya le travail n’est pas légal du capital le profit n’est pas le seul mode d’entreprendre après les meilleurs sont à venir l’efficacité n’est pas le seul critère de jugement la croissance ne fait pas le bonheur la croissance ne fait pas le bonheur les pauvres ne sont pas des feignants les pauvres ne sont pas des feignants la monnaie n’est jamais neutre et enfin et badens était le dernier voilà donc je vous recommande sans livre la révolution de l’économie en 10 leçons notre programmation spéciale le ss continue on vous a montré deux extraits de traits de deux très jolis films qui sont osons l’égalité et l’égalité par les livres tout de suite les films dans leur intégralité merci et à bientôt