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Où a été tourné Pulp Fiction ?

Où a été tourné Pulp Fiction ?

Comment comprendre Pulp Fiction ? Pulp Fiction, c’est l’histoire telle qu’on rêverait qu’elle se passe. L’histoire telle qu’on rêverait qu’elle se passe revient à braquer un Buffalo grill en couple, à l’image de Serge Gainsbourg & Brigitte Bardot, en repartant sain et sauf avec l’épargne de la caisse. Comme passer entre les balles.16 févr. 2017 Comment traduire Pulp Fiction ? pulp fiction Qui a composé Misirlou ? Misrilou (Thème du film Pulp Fiction)/Compositeurs Qui danse avec Travolta dans Pulp Fiction ? En vidéo, Uma Thurman et John Travolta refont la danse mythique de Pulp Fiction sur la scène des Oscars 2022. Les deux acteurs ont reproduit la chorégraphie inoubliable du film de Quentin Tarantino, sous le regard amusé de Samuel L. Jackson, l’un de leurs partenaires de l’époque.28 mars 2022 Qu’est-ce qu’il y a dans la malette de Pulp Fiction ? Voici à quoi la mallette a pu ressembler sur le plateau Il semble donc clair qu’il n’y avait ni âme ni diamants dans la mallette de Pulp Fiction. C’était en fait une ampoule orange.3 mars 2020

Qui fait la voix de John Travolta ?

Qui fait la voix de John Travolta ?

Mort de Philippe Ogouz, voix française de John Travolta et de Capitaine Flam. Le comédien s’est éteint à l’âge de 79 ans. Il était la voix française de nombreux personnages cultes, mais aussi un acteur de séries télé et de théâtre.27 juil. 2019


Se demander s’il y a des références dans les films de Tarantino et plus particulièrement dans “Pulp Fiction”, c’est un peu comme demander si… l’eau ça mouille. C’est une question rhétorique. Quand on est un cinéphile comme Quentin Tarantino, il y a forcément pléthores de références dans chacun de ses films. Et rien que pour cette seconde réalisation, deux ans après “Reservoir Dogs”, le gars en tartine des tonnes de “Oui moi j’ai quasi vécu dans un videoclub”. Oui bon vous êtes pas venus sur cette chaîne pour mes talents d’imitation hein. Si on y décèle quelques clins d’oeil à ses premiers amours qui sont le western et les films de kung-fu, “Pulp Fiction” a su rendre hommage à peu près tout ce qui est possible et imaginable en terme de genres cinématographiques. Mais pour cette vidéo, je vais pas pouvoir vous lister toutes les références, donc j’ai envie de me concentrer seulement sur quelques scènes pour lesquelles j’ai trouvé des similitudes… parfois assez étonnantes. Commençons par le commencement. Voilà, le début avant la fin. Dans cette première scène, Pumpkin et Honeybunny, joués par Tim Roth et Amanda Plummer, se disent que ce serait lolilol de braquer le resto dans lequel ils sont en train de siroter un ptit café. Plusieurs références au cinéma américain se mêlent rien que dans cette scène. Déjà, notre petit duo a comme des airs de Bonnie and Clyde, la classe de Faye Dunaway et de Warren Beatty en moins, certes, mais la longue conversation dans un resto en commun. Ensuite, cette idée de dévaliser les clients d’un lieu, d’un endroit public, pourrait être une référence à “The Great Train Robbery” d’Edwin S. Porter, un film datant de 1903 dans lequel des mercenaires attaquent un train et volent les larfeuilles et autres objets de valeur des passagers. Bon, cette référence n’a pas été avérée par Tarantino lui-même, mais le film était si ancré dans l’Histoire du Cinéma américain, il y a moyen que l’idée ne soit pas venue de nulle part. Et enfin, la construction de la scène, avec cette préparation au casse et surtout, un arrêt sur image avec le début du générique, c’est un clin d’oeil à l’un des films préférés de Tarantino lui-même, “La Horde sauvage” de Sam Peckinpah, qui commence avec le cambriolage d’une banque pour le coup. L’histoire de “Pulp Fiction” tourne autour d’un objet bien mystique : la mallette.Ce McGuffin, en gros c’est un objet qu’on sait pas trop ce que c’est, ni ce qu’il contient mais qui est important dans l’histoire, se montre sous l’aspect d’une mallette qui rayonne quand Vincent Vega l’ouvre dans l’appartement des petiots qui l’ont volé à Marcellus Wallace. Cette idée du rayonnement tout droit sorti de l’attaché case, on la doit à “Kiss me deadly”, un film de 1955, dans lequel le protagoniste trouve également une mallette qui irradie. Mais à cause de substances radioactives qu’elle semblerait contenir pour le coup. On ne sait pas ce qu’il y a dans la mallette de Pulp Fiction, et on le saura sans doute jamais. Perso, j’aime l’hypothèse qu’il s’agirait de l’âme du Marcellus Wallace, qui se serait extraite de l’arrière de la tête du gars où on voit un pansement. Bon en fait, il semblerait que l’acteur Ving Rhames se soit juste coupé en se rasant et donc voilà, c’est un cache misère en gros. C’est vachement moins mystique dit comme ça. On avance un peu dans le film au moment où Vincent Vega, joué par John Travolta, amène la femme de son patron, Mia Wallace, qu’interprète magnifiquement Uma Thurman, dans un resto pour casser la croûte. Ce magnifique plan de l’arrivée de la voiture, avec ces néons qui se reflètent dans le pare-brise, n’est pas totalement anodin. C’est en fait un hommage à de précédents films de Travolta, dont Tarantino était méga fan avant de le faire jouer dans son film. Mia d’un côté, Vincent de l’autre, ce plan est une reprise trait pour trait de la scène du drive-in de “Grease”, dans lequel Travolta joue le bg Danny Zuko. Plan qui est également une reprise du second film de l’acteur, sorti en 1976, “Carrie au bal du diable” de Brian De Palma. John Travolta, une bagnole, une ptite gonz avec laquelle y’a anguille sous roche, on rajoute du lait et des Chocapic et paf, on obtient un hommage à un immense acteur américain.Bon, passons toutes les références présentes dans le Jack Rabbit Slim’s parce que sinon on est pas sortis de l’auberge, surtout que là, bah ça va être l’heure de grailler. Vous vous rappelez de l’histoire que raconte Mia à Vincent, ce pilote de série dans lequel elle a tourné ? Et bien le pitch vient d’un film datant de 1976, connu sous plusieurs titres comme “Ebony, Ivory & Jade”, “She Devils in Chains” ou encore… “FoxForce” Une sorte de Charlie’s Angels ou Totally Spies mais érigé sous le pavillon de la blaxploitation et d’un kung-fu exécuté en pat d’elf. So 70’s… Bon, je vous vois venir ceux qui vont déjà commenter “Ui mais dans Kill Bill…”. Attendez, ça vient. On en arrive à mon moment préféré du film. Celui où ça se trémousse sur du Chuck Berry après avoir digéré son milk-shake à 5$, c’est parti, c’est le concours de twist. Comme vous pouvez le voir, je suis pas une experte en danse, ni en chant, on en est sûr maintenant, mais il paraît évidemment que la chorégraphie de cette séquence contient plusieurs mouvements assez distincts. Alors déjà pour commencer, cocorico, c’est un film français qui a inspiré Tarantino. Pour préparer ses danseurs, le réalisateur a avoué leur avoir montré le film “Bande à part” de Jean-Luc Godard et sa célèbre scène du Madison. (extrait) Et l’hommage va encore plus loin parce que Tarantino était si fan du film, qu’il a nommé sa société de production en son honneur, A Band Apart. Sauf qu’en faisant mes recherches sur cette info, j’en ai trouvé une encore meilleure. Lors d’une interview, Godard, donc le réalisateur de “Bande à part” a confié de manière tout à fait polie qu’il était pas trop d’accord sur le fait que le ptit ricain lui pique le nom de son film sans lui filer un sou. Allant jusqu’à le traiter de… faquin. Il vous intéresse Tarantino ? Allez, si tu en es arrivé à ce moment de la vidéo et que tu kiffes ce que je te racontes, poste un ptit “faquin” en commentaires. Faquin… J’adore ce mot ! Je vais appeler mon chien comme ça : FAQUIN ! Bon, on a la base de la chorégraphie, mais d’où a pu bien s’inspirer la grande Uma Thurman pour ce fabuleux déhanché ? Et bien, d’après Tarantino lui-même, ça devient d’un chat. Et je dirais même… “Tout le monde veut devenir un cat”. Et oui, le ptit mouv de Mia Wallace vient bien des Aristochats des studios Disney. Même Travolta y est allé de sa petite référence, au Batusi pour le coup. Mais Mélanie, c’est quoi le Batusi ? Et bien tu prends “bat”, tu enlèves “usi”, tu y rajoutes “man” et tu as un mouv tout droit inspiré de la série “Batman” des années 60, que notre chauve-souris préférée exécute ce petit pas de danse lors   d’une soirée costumée. Donc la prochaine fois que tu iras sur le dancefloor et que tu agiteras tes doigts en V devant tes yeux pour faire comme le classieux John Travolta, dis-toi qu’en fait que tu ressembles juste à un simili-Batman en collant de lycra. Oh alors juste un plan que je trouve très stylé dans sa référence à un des plus grands thriller du cinéma américain. Lorsque Butch, le boxeur joué par Bruce Willis, vient de récupérer sa montre et rentre tranquillou chez lui pour s’échapper ensuite en soum soum avec sa gonz, il s’arrête en bon citoyen à un feu rouge et croise malheureusement la route de Marcellus Wallace, son ancien patron. Cet échange de regard, on l’a déjà vu dans “Psychose” du maître Alfred Hitchcock, lorsque Marion Crane essaye aussi de s’échapper de son boss. Bien sûr, on ne peut pas parler de Quentin Tarantino… sans parler des autres films de Quentin Tarantino. Je pense qu’il existe un Tarantino Cinematic Universe dans son cerveau, parce qu’il aime se faire des références à lui-même. Rien que pour son personnage de Vincent Vega, qui ne serait autre que le frère de Vic Vega, joué par Michael Madsen dans “Reservoir Dogs”, son premier film. À l’origine, Tarantino voulait même développer une histoire sur la fratrie mais bon, c’est tombé à l’eau. Par contre, y’a des gens qui, lorsqu’ils étaient jeunes et innocents, ont réalisé un mash-up de Pulp Fiction et Reservoir Dogs et dont c’est la première vidéo de leur chaîne et qui raconte cette histoire autour d’un concours de danse. J’dis ça, j’dis rien. Mais jugez pas trop svp, c’était y’a longtemps… Quand je l’ai déjà dit, Tarantino aime s’inspirer… de Tarantino. Aucun orgueil là-dedans bien sûr. Et quand il y a une expression que Tarantino aime… bah on la retrouve partout. Comme le terme “a tasty beverage”. Cette expression qui signifie “une savoureuse boisson” est dite en tout premier par Jules aka Samuel L. Jackson lorsqu’il se délecte d’un ptit Kahuna Burger en plein service. Et elle est donc reprise quelques années plus tard dans “Boulevard de la mort” par… Tarantino lui-même. On l’entend même encore une fois dans un des films mineurs du réalisateur, puisqu’il a été fait à 8 mains, avec les copains copines Robert Rodriguez, Alexandre Rockwell et Allison Anders. Ce film, c’est “Four Rooms” et dans le segment réalisé par Tarantino, “Man from Hollywood”, l’expression est donc reprise encore une fois. Et… par Tarantino. Encore une fois bis. Le gars est toutpar. On ne peut évidemment pas parler de ces autoréférences sans citer “Kill Bill”. Revenons au fameux pitch de la série de Mia Wallace. Une bande de nana casse-cou et armées jusqu’aux dents ? Et oui, on les retrouve toutes dans les tueuses à gage de Bill, qu’il faut tuer donc, vu le titre du film. Dans le pilote de sa série, Mia Wallace les liste : une blonde qui joue la chef, check une japonaise maître de kung-fu, recheck ! une femme noire qui tabasse, voilà, ça continue la Frenchie douée au lit, on l’a également et enfin, une nana ultra forte au couteau que Mia Wallace devait jouer et qui n’est autre que Béatrix et son katana que Uma Thurman joue justement. On peut donc affirmer que… tout est liééé. Des acteurs qui restent accrochés à leurs rôles, y’en a. Et quand t’as joué dans “Pulp Fiction”, faut croire que ça te colle à la peau.C’est le cas par exemple pour John Travolta dans le film “From Paris with love”, dans lequel il joue un agent des services secrets au crâne rasé au poil. Lors d’une étrange transaction, son personnage, Charlie Wax, récupère un sac en papier. Et qu’est-ce qu’il en sort ? Et oui, quand tu viens grailler Domac à Paris, tu respectes le système métrique, merci ! Dans le même genre d’accroche sentimental à son ancien rôle, Bruce Willis est plutôt fortiche. Dans “Die Hard 3 : Une journée en enfer”, après avoir été suspendu, John McClane se plaint de passer ses journées à Cette phrase ne sort pas de nulle part puisque c’est une parole de la chanson “Flowers on the Wall” des Statler Brother’s que Butch, le boxeur que joue Bruce Willis dans “Pulp Fiction”, chantonne juste avant de rencontrer par hasard Marcellus Wallace. Et allez, le domino d’la ref, on enchaîne !Même Disney, et oui, s’est inspiré de “Pulp Fiction”. Vous souvenez de l’agent de la CIA Cobra Bubbles qui s’occupe de Lilo et Nani dans “Lilo & Stitch” ? Alors oui, on va tourner cent ans autour du pot, il est complètement inspiré de Marcellus Wallace, Bon, il y a une certaine logique là-dedans puisque l’acteur qui le double dans la version originale n’est autre Ving Rhames. Donc qui a réellement inspiré qui ? Voilà. Tant qu’on est toujours sur du dessin-animé… générique ! Les Simpson l’ont fait, oui ils l’ont fait oui les Simpson l’ont fait !  On peut trouver des références dans plusieurs épisodes mais j’en ai sélectionné seulement deux dans lesquels c’est assez obvious. Dans un épisode de la saison 7, “22 shorts films about springfield”, ils ont complètement repris l’idée de la scène dans laquelle Butch et Marcellus Wallace sont enfermés et bâillonnés dans un sous-sol, sauf que bon là il semblerait que Milhouse ait interrompu la petite fête à cause d’une grosse envie de pipi. Il est gênant Milhouse ! Et, je pense que c’est un peu une consécration à la Simpson, il existe un épisode d’Itchy et Scratchy avec une ref à Pulp Fiction. Bon de base c’est plutôt un hommage à “Reservoir Dogs” avec le coupe-coupe de l’oreille, mais au vu du ptit déhanché, on se retrouverait presque sur la piste de danse du Jack Rabbit Slim. Pour finir, c’est pas une référence affirmée que je vais vous raconter, mais plutôt une théorie de fan que je trouve, pour le coup, vraiment intéressante. Un an tout juste après la sortie de “Pulp Fiction”, on pouvait voir en salles “Usual Suspects” de Bryan Singer. Je vais rien vous spoiler bien sûr, mais juste évoquer un personnage. Celui de Redfoot, un receleur avec lequel la bande de braqueurs d’Usual Suspects font affaire. Ce perso est joué par Peter Greene. Peter Greene, qui a joué donc l’année précédente dans… et oui, “Pulp Fiction”. Il y incarne Zed, le fou furieux qui enferme Marcellus Wallace et Butch dans son sous-sol. La théorie de fan que j’ai découvert donc, affirmerait qu’il y a de très grandes ressemblances entre les deux personnages, que ce soit donc par l’acteur, mais aussi par le style et même le dialogue. Un terme en particulier revient. Le “gimp”, qui dans “Pulp Fiction” est cet espèce d’esclave sexuel de Zed, est repris dans “Usual Suspect” par Red Foot. Ça pourrait passer inaperçu, mais qu’un acteur joue un personnage très proche de son ancien rôle à un an d’écart, y’a comme anguille sous roche. Est-ce que Christopher McQuarrie, le scénariste d’Usual Suspects, a vu Zed dans “Pulp Fiction” et s’en est inspiré créer Redfoot ? Est-ce l’acteur lui-même qui a voulu que son personnage soit sur plusieurs timelines ? ou alors insinuer qu'”Usual Suspects” serait une suite de “Pulp Fiction”, en tout cas pour son personnage ? pulp fiction en tout cas pour son personnage à lui je sais pas trop or tout cas j’adore cette   Je sais pas, mais j’adore cette théorie ! Voilà, j’ai pas pu parler de toutes les références de Pulp Fiction parce qu’il y en a beaucoup trop, donc n’hésitez pas à mettre en commentaires d’autres que vous connaissez. Si vous avez aimé la vidéo, abonnez-vous et partagez-la, c’est comme ça que vous pouvez vraiment le mieux me soutenir bon après si vous avez envie de me soutenir   encore un petit peu plus vous pouvez aller faire un tour sur mon Tipeee ou mon Utip Ce serait le top du top ! Là là, ptit level ! Et sur ce on se dit à très bientôt pour savoir si vous avez la réf !

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