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Qui a lancé l’écriture inclusive ?

Qui a lancé l’écriture inclusive ?

Comment écrire heureux en écriture inclusive ? « Heureux·se·s les pauvres en esprit car le Royaume des Cieux est à elles et eux ; heureux·se·s les affligé·e·s, car elles et ils seront consolé·e·s ; heureux·se·s les doux·ces, car elles et ils possèderont la Terre ; heureux·se·s les affamé·e·s et les assoiffé·e·s de justice car elles et ils seront rassasié·e·s, etc. …31 oct. 2017 Comment écrire fier en écriture inclusive ? « fiers » « joueurs » et plus largement, les mots se terminant en -eur au masculin, -euse au féminin.11 avr. 2020 Comment écrire curieux en écriture inclusive ? 1. « Nombreux·euses » n’est pas préconisé en écriture inclusive ! Première recommandation : « nombreux·euses » n’est pas préconisé en écriture inclusive. Pas plus que « curieux·euses », « joyeux·euses », « nerveux·euses » ou encore « furieux·euses ».11 avr. 2020 Qui se veut inclusif ? Inclusif se dit de quelqu’un ou quelque chose qui n’exclut personne et qui vise à réunir toutes les sensibilités, à inclure chacun. Exemple : L’écriture inclusive permet d’introduire plus de féminin dans la langue française, mais ses détracteurs sont nombreux.5 avr. 2022 Comment parler en inclusif ? On peut adopter différentes stratégies pour écrire ou parler de manière plus inclusive :

Comment écrire en inclusif ?
Comment dire beau en inclusif ?
Quel est le contraire de inclusif ?
Pourquoi être inclusif ?

Comment écrire en inclusif ?

L’utilisation du point milieu en composant le mot comme suit : racine du mot + suffixe masculin + point milieu + suffixe féminin. On ajoutera un point milieu supplémentaire suivi d’un « s », si l’on veut indiquer le pluriel. Quelques exemples : acteur·rice·s, ingénieur·e·s, ceux·elles, sénior·e·s.

Comment dire beau en inclusif ?

*Autre propositions :

Quel est le contraire de inclusif ?

Le contraire du terme inclusif est le mot exclusif. Cet adjectif qualifie en effet une chose qui exclut tout partage, ou une chose qui exclut tout autre chose jugée incompatible.5 avr. 2022

Pourquoi être inclusif ?

L’inclusion signifie une éducation de qualité pour tous. Parce que l’éducation inclusive améliore l’éducation pour tous les élèves. Et c’est ce que nous devons faire, quels que soient leur handicap, leur origine migratoire, leur difficultés linguistiques, leur statut socioéconomique, etc.


salut à toutes et à tous aujourd’hui on se retrouve pour parler de l’écriture inclusive mais en abordant cette thématique avec un angle assez particulier celui d’être celui d’un prof en fait simplement pour celles et ceux qui ne le sauraient pas mais je pense que si vous êtes sur cette chaîne vous devez le savoir je suis prof je suis professeur de lettres modernes et je suis également professeur de fle nombre de français langue étrangère et j’ai donc enseigné en tant que prof de fle et en tant que prof de lettres modernes en collèges lycées dans des structures privées et aussi dans le cadre associatif donc en fait ça fait longtemps que j’ai envie de venir vous parler de ce sujet du sujet de l’écriture et inclusive en tant que prof et plus précisément même j’ai envie de dire en tant que prof de lettres parce que l’une des grandes critiques qui et puis aussi je précise bien évidemment ça devrait être logique mais ça ne l’est pas toujours en tant que problème est donc en tant que grande amoureuse de la littérature l’une des critiques qui est le plus souvent adressées à l’écriture inclusive c’est que ça dénature la langue française que ça vient détruire même la langue française et puis alors la grande crainte c’est que cette écriture inclusive se répandent dans l’institution scolaire dans l’éducation nationale on a un ministre qui s’est exprimé à plusieurs reprises de façon très négative à ce sujet et j’ai déjà reçu moi même parmi tous les commentaires super bienveillant que je reçois j’ai aussi reçu des commentaires qui était de l’ordre de quelques pins pauvres élèves avec intel prof pauvres aux élèves avec une prof qui les écritures inclusive pauvres élèves et qu’une prof féministe pauvres élèves pauvres aux élèves pauvres élèves bref j’utilise d’écriture inclusive mais je n’utilise pas toutes les différentes facettes et tout cas tous les différents outils de l’écriture incluses et l’écriture inclusive en fait c’est devenu un terme presque un peu fourre tout on sait plus trop ce que ça signifie et beaucoup s’imaginent que c’est quelque chose d’absolument à freud absolument odieux il ya vraiment un fantasme autour de l’écriture inclusive alors qu’en fait beaucoup de choses que l’on beaucoup peut-être pas gérer pas jusque là mais on fait déjà certaines choses en termes de pratiques langagières qui sont et qui relèvent de l’écriture inclusive vous donner une idée j’ai déjà reçu des mails administratif et d’éveil professionnels qui commençait par chères et chers collègues ou alors ne sais pas moi à toutes et à tous et c’est ça c’est de l’écriture inclusive en fait c’est déjà de l’écriture inclusive étant donné que le but de l’écriture inclusive rappelons le c’est d’inclure les femmes dans nos discours qu’ils soient écrits ou oraux étant donné que la plupart du temps les femmes en sont exclues parce que le masculin est considéré comme neutre par en france en tout cas dans la langue française alors que c’est totalement absurde le masculin ne peut pas être naître étant donné qu’il désigne le masculin et quand bien même on déciderait d’attribuer une double fonction au masculin on est en droit de se poser la question pourquoi est ce qu’on devrait accepter cela et pourquoi est ce que ce ne serait pas plutôt le féminin qui aurait cette double fonction ça peut sembler totalement anecdotique mais en fait ce n’est pas anecdotique étant donné que le langage façonnent notre rapport au monde notre façon de penser les représentations qu’on a du monde l’une de mes citations préférées bon sahara ne pensais pas du tout à ça lorsqu’il a prononcé mais voilà l’une de mes citations préférées c’est la pensée se forme ou se fait dans la bouche de tristan tzara qui est un auteur qui appartient dadaïsme bref essai totalement véridique le langage c’est indissociable de la pensée et attention quand je parle de langage jeune soudain je ne veux pas tu ce n’est pas restrictif à un langage qui serait orale la langue des signes c’est un langage il existe d’autres formes de langage etc qui permettent en fait de penser de représenter d’accéder à l’abstrait d’accéder au passé d’accéder à des représentations et des concepts voilà globalement et forcément quand les femmes sont toujours exclus quand les femmes apparaissent presque jamais on a une représentation de notre société qui est forcément masculine et quand les femmes sont systématiquement exclus des postes supposément prestigieux ça bien effectivement aussi renforcer une certaine structure et de certaines organisations de la société pareil lorsque il ya des insultes qui sont beaucoup plus féminine ou que le féminin est toujours d’autres bannières utilisé pour rabaisser les indices ça aussi ça bien formés forget tout un imaginaire d’un ensemble de représentations collectives qui sont extrêmement misogyne et qui fonctionne au détriment des femmes bref tout ça pour vous dire que voilà pourquoi on utilise d’écriture inclusive et que l’écriture inclusive elle revêt des formes diverses certaines formes qui font déjà partie en fait de pratiques qui sont relativement habituel qui ne choque personne mesdames et messieurs c’est inclusif les jeunes femmes et les jeunes hommes c’est un vif cher potes à vous toutes et tous ou vous tout vous tous et toutes bref c’est vaincre et cif bon là où les esprits commencent à s’échauffer c’est quand on va un petit peu plus loin dans l’écriture inclusive et quand on va commencer à remettre en cause certaines façons d’écrire qui sont extrêmement normalisée et qui avec lesquels on a grandi l’idée de rajouter par exemple un e à professeur qui est quelque chose que je fais ça peut choquer certaines personnes qui alors ça peut choquer certaines personnes parce que idéologiquement en fait ça allait débecte d’imaginer que on pourrait rajouter un e à professeurs bon j’ai envie de dire détendez vous détendez vous peut aussi parfois choquer certaines personnes qui pensent que c’est une erreur voilà tout simplement une erreur d’orthographe une erreur d’accord ce n’est pas une erreur en fait professeur je l’écris avec un parce que je suis une femme et qui a aucune raison que je ne met pas de e en réalité tout simplement donc par exemple voilà féminisé enfin féminise et féminisé ce genre de termes bien évidemment l’utilisation du mois aux tris alors ça on en a parlé en long en large et en travers rappelons vite fait un que au tri ce n’est pas un nouveau mot c’est un mot qui existent et qui a été dégagée de la langue d’entre guillemets par l’académie française qui est une institution extrêmement sclérosé ancien réactionnaire mais machiste et pas du tout en fait au service de la langue d’ailleurs parce que prenez le temps de vous intéresser à ce que fait réellement l’académie française en fait ça ne fait pas grand chose pour la langue française soit dit en passant ou alors encore bien évidemment le point médian le point médian c’est peut-être celui qui a attiré le plus les foudres de la population parce qu’effectivement le point médian syntaxiquement sa faim pas syntaxiquement visuellement on va dire plateau c’est peut être tout sauf tactique visuellement ça vient nous perturber voilà on n’a pas du tout l’habitude de ce genre de de construction de langue des phrases et des démos quoi c’est très bizarre pour nous d’avoir ce point de médian soit disant ça viendrait compliquer enfin compliquer la lecture bon effectivement je pense pas que tout une lecture avec un point médian qui reviendrait tous les trois mots serait ultra agréable mais en fait un point médian même ne reviendrai pas tous les trois mots mais ça peut aussi en fait passer par des règles d’accord on a aussi parlé mais la règle de proximité par exemple si je dis je ne sais pas moi pierre et corinne et nathalie sont belle ou beau là la question se pose dans mené que le français est une langue qui va changer même au niveau des adjectifs là il ya deux choses qui ce qui qui qui sont effectivement en question c’est le le masculin l’emporté sur le féminin il ya un seul permis à deux jets ont oublié les noms virginie et corinne je crois pas que c’était ça mais bon c’est pas grave malgré tout on devrait quand même utilisé le masculin parce que un seul homme l’emporterait sur une infinité de femmes rendez vous compte quand même de l’absurde de cette règle ce n’est ni logique ni plus facile ni cohérent et en fait c’est uniquement parce qu’on a une vision du masculin on a voulu en fait masculiniser la langue peut être là le travail de soi disant féminisation de la langue qui se fait c’est plutôt un travail de des masculinisation de la langue une masculinisation qui a été entre eux qui a débuté il ya déjà plusieurs siècles et qui à l’heure actuelle effectivement avec quelque peu freiné mais quand on voit à quel point aussi il ya une une tension au niveau de cette des masculinistes à sion quand on voit là la réponse en fait de beaucoup d’universitaires de beaucoup de prétendus intellectuels de beaucoup de personnes qui sont pouvoir on voit bien que la masculinisation de la langue est entre guillemets arrêté mais qui a une énorme défense de cette masculinisation de la langue donc c’est ça pour vous dire que quand on est face à sète à cette phrase là déjà il ya sept pros cette problématique de ya deux femmes pour 1 homme pourquoi est-ce qu’on devrait accorder au masculin mais il ya une autre problématique qui est celle de en tout cas peut-être de la logique qui vient même un petit peu perturbé l’oreille c’est à dire que ce serait plus logique de dix rebelles ce qui serait le sujet donc en général c’est un nom commun ou un nom propre qui est le plus proche du verbe est en fait féminin et à l’oreille c’est plus normal plus naturelle plus cohérent devenir a accordé cet adjectif avec son sujet le plus proche c’est ce qu’on appelle la règle de proximité règles de proximité qui était utilisée j’ai déjà dit dans la dernière vidéo mais qui étaient utilisés par des auteurs tels que racines elles n’étaient pas utilisés de manière systématique mais quand l’auteur ou loterie ce même si bon peu dotrice entre guillemets ont pu réellement exercer leur activité d’autres hills avant le 19e mais elle existe et si jamais ça vous intéresse vous encourage vraiment à aller regarder la chaîne littéraire parce que je parle de ce sud de ce sujet à plusieurs reprises mais bon bref l’auteur ou l’autre is s’il avait envie d’utiliser la règle de broc l’accord de proximité ils utilisent et l’accord de proximité ce n’était pas un problème donc vous voyez ça c’est la multitude en fait d outin et dispositifs et des formes que peut qu’ils sont là caché à leurs seuls mots de l’écriture inclusive maintenant en tant que prof qu’en est-il en tant que prof moi j’ai utilisé l’écriture inclusive mais bien évidemment je les utiliser avec parcimonie et en gardant à l’esprit que je suis mandaté entre guillemets pour faire un certain travail et que je prépare mes élèves à des examens même si ils étaient où elle était comment dire qu’on s’entend je vais pas encourager des élèves à avoir des pratiques à l’écrit qui pourrait effectivement leur porter préjudice lors d’examens ça n’a aucun sens on est bien d’accord donc même si j’ai par exemple utilisé à quelques reprises notamment avec ma classe de seconde le pronom yellow pluriel lorsqu’il y avait des îles et les ailes et qu’en fait je ne voulais pas écrire iv elle parce que ça va vraiment je trouve que c’est très laid et que je ne voulais pas non plus en fait encore plié est utilisé il alors qu’il y avait autant de femmes voir plus de femmes j’ai déjà utilisé moi en tout cas dans mon cours lorsque je dicter le cours ou lorsque je l’écris les au tableau j’ai déjà utilisé le pronom yale avec un ace en expliquant nos élèves et en recontextualise en bien c’est à dire que je leur disais ce pronom ne l’utilisait pas lorsque vous serez en examen ne l’utilisé même pas lorsque vous allez faire des devoirs sur table avec d’autres professeurs mais moi dans mon cours je l’utilisent et je vous explique pourquoi et je suis pas passé avec une trique en bois derrière chaque élève pour vérifier s’il avait écrit elle mais au moins ça les fait réfléchir il se pose la question et puis après on peut enchaîner même sur des questions d’accord sur les questions de genre et c’est aussi une manière de se réapproprier la langue de réfléchir à la langue est d’abord un regard différent sur les langues va sur notre langue en tout cas ça c’est un exemple c’est peut-être entre guillemets l’exemple le plus choquant je pense pour certaines personnes ensuite j’ai également pris l’habitude toujours d’utiliser le mot autrice alors ça en fait c’est tout à fait logique vu que c’est le mot qui existe c’est comme si d’un coup au lieu de 10 directrice je voulais dire directeur au directeur la battance le mot directrice existe nous l’utilisons directrice actrice factrice autrice point barre en fait il ya même pas de question à se poser est en réalité c’est une fois qu’on a compris qu’on a bien réalisé là la logique de la chose la normalité de la chose et que ce mot existe et même très choquant de voir d’autres profs ne pas l’utiliser j’ai aussi utilisé le point médian encore une fois je n’ai pas forcé mes élèves à le faire mais pour mes cours ça n’entrave en rien la compréhension au contraire ça élargit la compréhension c’est une représentation lexical beaucoup plus précise de la réalité étant donné que le point médian permet en effet de montrer qu’il y avait des hommes et des femmes concernées est l’une des autres façons que j’avais d’utiliser une écriture inclusive c’est que je n’allais jamais vous savez quand on est prof de français on va souvent avoir des phrases du genre le lecteur comprend donc que l’auteur s’adresse aux lecteurs c’est un pacte qui se crée avec le lecteur mais en fait dans mes classes il avait plus de filles que de garçons dans les facs de lettres il ya plus de filles que de garçons le lectorat est extrêmement féminin alors pourquoi devrais je dire le lecteur pourquoi est ce que le lecteur masculin serait encore ici une fois un symbole ou une représentation du neutre alors quand en plus si on devait même avoir une vue plus généralisante et plus globale il serait beaucoup plus opportun d’utiliser le féminin au vu des camps des réalités numérique bon ben je disais toujours les lecteurs et lectrices les spectateurs les spectatrices les auteurs les autres hills voilà tout simplement ça c’est quelque chose que je fais religieusement j’ai envie de dire je n’oblige je n’oblige pardon pas mes élèves à chaque fois à écrire lecteurs lectrices mais je le dis je leur montre aussi qu’on peut écrire lecteurs cela joue points ris je leur dis qu’ils peuvent aussi choisir d’écrire juste lectrices après tout pourquoi pas je répète encore une fois que c’est dans le cadre de mon cours et je n’ai jamais eu de problème avec les élèves pourquoi parce que je ne les ai jamais forcé deux ça n’a jamais entravé la compréhension de mes énoncé ni des textes 3 ça semble tout à fait logique et parfois même les élèves val d’izé effectivement en fait il ya cinq femmes et un homme c’est vrai que c’est pas logique de faire l’accord au masculin et enfin je pense que pour beaucoup de d’élèves si c’est aussi extrêmement intéressant ça leur permet de réfléchir ça leur permet d’être beaucoup plus présente dans les cours d’être moins exclus sans avoir même le sentiment de l’exclusion c’est tellement habituel en fait qu’ on ne se sent même plus exclu on est exclu de fait on n’a même plus le temps de sentir qu’on est exclu j’ai n’ai jamais eu le moindre problème à ce sujet là en tant que prof alors maintenant pour vous montrer un exemple différent cette année je suis prof de fle j’enseigne le français des élèves allophones certains étant francophone c’est leur langue seconde ou en tout cas une langue qui est parlée dans leur pays mais qui n’est pas leur langue maternelle etc des élèves qui ont énormément de difficultés à l’écrit parce que ce sont des élèves qui n’ont jamais été scolarisées auparavant pensez vous que je m’amuse à leur imposer ou alors su que je n’ai jamais imposé mais alors suggéré une écriture inclusive lors de la prise de notes de la prise de courant lors des exercices bien évidemment que non par contre c’est vrai que c’est aussi un petit peu un dilemme étant donné que je suis souvent face à des élèves qui ont des problèmes avec le genre dans la langue française c’est hyper compliqué en fait pour beaucoup de personnes le genre dans la langue française et je suis obligé de bain leur enseigner certaines règles pour qu’ils puissent effectivement avoir un niveau à l’écrit qui est correct et qui leur permettent à près d’évoluer d’avoir une vie professionnelle de décrocher des stages de pouvoir faire des c ap donc c’est toujours un petit peu un pincement au coeur mais encore une fois l’idée selon laquelle il y aurait je ne sais pas moi des profs absolument ou des profs ou des profs absolument fou et folle à lier qui serait là en train de détruire la lande de ne tue dié aucun texte classique parce que ce n’est pas écrit en écriture inclusive c’est faux c’est un fantasme qui est je pense celui d’une minorité qui par contre est partagée par beaucoup pour influencer des perses des des masses concrètement par contre à l’oral je fais bien attention de toujours le faire ou lorsque l’on va faire des exercices de conjugaison je n’écris jamais juste il j’écris toujours il est long et parfois je fais l île on est lorsque des élèves parce par exemple semble les m me le demandez des fois au collège donc c’est la france est cette fois ci lorsque les élèves m’aider mais madame est ce que je peux écrire juste il je leur répondais non en fait ou alors tu écris juste elle en général ça leur plaisait pas trop je redis ben voila tu vois pas de raison d’écrire uniquement il une question un petit peu annexes mais qui vient se rattacher à ça quand même c’est la littérature alors la littérature c’est un vaste sujet je pense qu’on pourrait en parler tu es dans une autre vidéo mais pour vous la faire courte je ne suis pas pour personnellement je ne suis pas pour l’utilisation g de point médian dans la littérature ça ne regarde que moi c’est une préférence qui peut-être aidé à évoluer à l’avenir mais voilà je j’ai du mal à imaginer ce que pourrait donner j’allais lire proust mais alors ça fait vraiment le summum de la snob mais j’aurais du mal à imaginer ce que ce serait flaubert mon amour avec des point médian d’accord après honnêtement est-ce qu’ il ya réellement besoin aussi de l’écriture inclusive dans les très bons textes j’en suis pas sûr tant donné que par exemple si je prends flaubert madame bovary effectivement y’a pas l’écriture inclusive dans madame bovary mais les femmes sont là les femmes sont représentées les femmes sont diversifiées leurs personnages sont complexes sont extrêmement bien construit les personnages féminins existe sans même la présence des personnages masculins leur intériorité et développer bref énormément de choses donc voilà il n’ya pas que le recours à ce point médian qui en fait signifierait forcément que ce serait une inclusion réussi où ce serait une représentation intéressante des personnages féminins des femmes des réalités des femmes de l’histoire des femmes etc après il est évidemment possible d’expérimenter d’innover et de proposer des expériences littéraires des expériences syntaxique des expériences esthétiques même en fait avec l’écriture inclusive qu’elles soient en fait tu parles que ce soit par le point médian que ce soit par une multiplication en fait par une toux qu’à chaque fois une précision dès qu’il ya un mot qui pourrait être uniquement masculin la littérature elle s’est aussi constitué avec des expériences d’expérience qui n’ont pas forcément vocation à être étendues et imposer à l’ensemble des écrivains et des écrivaines vous pouvez totalement je ne sais pas imaginer que un livre un poème un recueil de textes pour être très intéressant en fait avec une écriture inclusif poussé un petit peu à l’extrême ou pas forcément même à l’extrême j’ai envie de dire si vous regardez surréalisme ce qui est mon mouvement littéraire préféré si vous regardez le dadaïsme si vous regardez l’eau lipow bref il ya beaucoup de mouvement en fait dans l’histoire de la littérature qui sont des mouvements qui repose sur des pratiques expérimentales est ce que ce serait plus adhérent de proposer un texte qui viserait à replacer de féminin au centre ou en tout cas à égale mesure avec le masculin dans toutes les catégories rutto dans tous les types de maux pourquoi ça ce serait plus aberrant en fait que l’écriture sous hypnose ou que le cadavre exquis pardon des surréalistes ou que d’écrire tout un texte sans utiliser une lettre bref ouais ce que je veux dire c’est je pense que on peut très bien imaginer aussi que l’écriture inclusif fasse en réalité réfléchir beaucoup d’auteurs et d’autres is peut-être sur les représentations qu’ils vont avoir des personnages féminins et des personnages masculins c’est pas forcément l’utilisation de l’écriture inclusive telle qu’elle est telle qu’à mon sens il serait très très bon enfin qu’on le fasse dans des textes plus tôt destexhe que des textes pédagogiques didactiques au des textes journalistiques que des textes politiques la littérature c’est un autre espace en fait c’est une autre utilisation de la langue la littérature même si bien évidemment encore une fois ça influe énormément sur notre façon de voir le monde nous de réfléchir d’acquérir des connaissances et cetera mais l’écriture inclusive en tant qu elle existe aussi en tant que sujet de débat en fait pour la littérature ça peut enclencher des réflexes différents d’écriture et ça peut aussi être une occasion d’expérimenter avec la langue au delà l’écriture inclusive vous savez qu’il ya aussi la féminine universel alors ça c’est un autre sujet mais en réalité la féminine universel n’est pas plus absurde que ce qu’on appelle désormais l’écriture normal qui tend vers une écriture relativement masculine universel et c’est ce renversement en fait du paradigme ce renversement des normes ce renversement des valeurs associées à ces normes parce que bien évidemment yassa derrière la langue c’est pas uniquement descriptif celle-ci normatif et prescriptif ça nous permet de prendre conscience de comment dire de quel point ce monde et masculin quoi c’est là entre 17 h un petit peu l’écriture inclusive mais regardez en fait imaginer un monde où vous substituez en fait à toutes les représentations masculines des représentations féminines ou l’ inverse en fait vous vous retrouveriez avec un monde où les politiques sont à 90% voire plus des femmes vous retrouveriez dans un monde où la plupart des grands auteurs des grands musiciens et pas au sens où ces seuls qui ont la valeur mais c’est eux seuls qui sont reconnus j’ai envie de dire seraient des femmes vous vous retrouveriez avec des percées les personnes les plus riches de la planète qui d’ailleurs ne devrait pas être aussi riche mais voilà qui serait uniquement ou presque des femmes et vous auriez de l’autre côté par contre des pubs ultra sexuelle et sexiste avec des hommes vous auriez un monde où la plupart des paires fin des personnes qui effectuent un travail de manutention enfin bamanans sommet de nettoyage par exemple seraient des hommes vous auriez un monde où la plupart des 1 où toutes les personnes ou presque qui sont trafiqués et vendus dans le monde très des hommes où la plupart des personnes qui n’auraient pas le droit d’aller à l’école très des hommes par foyer s’est imaginé en fait si on inverse la vous prenez conscience je trouve de la masculinisation du monde alors l’écriture inclusif franchement est ce que c’est vraiment quelque chose d’horrible est-ce que ça va détruire notre langue non bien évidemment que non est ce que c’est un crime non en fait c’est plutôt même remédier à quelque chose qui en soi n’est pas criminel bien évidemment mais est presque un petit peu criminel parce que quand on va avoir un texte historique si vous voulez qui va retracer je ne sais pas moi l’évolution du prolétariat n’est ce pas et qu’on va avoir alors les prolétaires c’est bien parce que c’est épicène savignan il n’y a pas de problème est qu’on va voir les travailleurs alors heureusement souvent maintenant de travailleurs et travailleuses mais c’est pas le cas pour tout le monde et en tout temps c’est horrible les prisonniers et les prisonnières alors c’est un petit peu tué une deuxième fois oublié une deuxième fois assassiné je trouve une deuxième fois ensevelies deuxième fois l’existence de femmes qui déjà avait du mal entre guillemets à exister dans les sociétés qui ne laissait pas être et en faisant ça on inhibe aussi beaucoup de talent beaucoup de qualités beaucoup d’élan chez une des générations plus jeunes qui n’ont pas conscience mais ce travail se fait bel et bien voila voila je pense que j’ai beaucoup parlé je crois que j’ai dit à peu près tout ce que je voulais dire voilà sur ma pratique en tout cas de l’écriture inclusive en tant que prof je serais vraiment intéressé de savoir s’il ya d’autres profs dans les commentaires qui l’utilisent aussi un petit peu et dans quelle mesure et comment es tu sais faire vraiment ça m’intéresse beaucoup et puis aussi des élèves d’ailleurs je serai très curieuse de savoir s’il ya des élèves qui ont des avis là dessus qu’ils aimeraient qu’on utilise plus ou des profs ou s’ils ont des preuves si les ailes ont des preuves qu’il utilise bref voilà je vais vous laisser je vous remercie d’avoir regardé cette vidéo et puis je vous dis à très bientôt

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