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Quelle est la plus grande agence de presse aujourd’hui ?

Quelle est la plus grande agence de presse aujourd’hui ?

Quel est le rôle de l’AFP ? L’Agence France-Presse (AFP) est une agence de presse mondiale et généraliste d’origine française chargée de collecter, vérifier, recouper et diffuser l’information, sous une forme neutre, fiable et utilisable directement par tous types de médias (radio, télévision, presse écrite, sites internet) ainsi qu’auprès des … C’est quoi la presse spécialisée ? La presse spécialisée constitue une catégorie regroupant toutes les publications périodiques (journaux, magazines) : qui traitent d’un sujet bien spécifique, comme l’histoire, les sciences… destinées à un public en fonction de son âge (presse jeunesse) ou de ses centres d’intérêts (sport, musique, etc.).10 mai 2022 Qui dirige la conférence de rédaction ? Une conférence de rédaction est une réunion tenue régulièrement par le directeur d’une rédaction afin de discuter et de choisir – avec les chefs de services, les chefs de rubrique, les journalistes et rédacteurs – les contenus qui seront publiés dans la prochaine publication du support (journal papier, télévisé ou … Qu’est-ce que ça veut dire AFP ? L’alpha-fœtoprotéine (AFP) est une protéine naturellement fabriquée par le foie et le sac vitellin d’un bébé en développement. Le taux d’AFP diminue peu après l’accouchement. On ne l’observe normalement pas chez les adultes en santé. Comment utiliser Reuters ? Connexion à Reuters Suivez les différentes instructions pour vous connecter. Vous arrivez alors sur la page principale de Reuters. Le compte reut@ensimag.imag.fr est sur Ensisun, le mot de passe est celui qui vous a été fourni. Si vous communiquez avec Reuters, les messages sont envoyés à cette adresse.

Quel est le but de l’agence France-presse ?
Qui a inventé la presse ?
Quelle est la différence entre un journal et un magazine ?
Quel est le vocabulaire de la presse ?
Comment Appelle-t-on les textes publiés par les agences de presse ?
Pourquoi l’AFP est fiable ?
Quel est le premier Journal du monde ?
Quel est le nom du premier Journal français ?
Qui a inventé la presse écrite ?
Quels sont les différents types de magazine ?
Comment s’appelle la dernière page d’un journal ?
Quels sont les quatre principaux types de journalisme ?
Quels sont les journaux les plus aidés par l’État ?
Quelle est la tendance politique du journal Le Figaro ?
Quels sont les journaux de droite ?
Quel est le quotidien le plus vendu en France ?
Quelles sont les 5 familles de presse ?
Quel est le premier journal du monde ?
Quels sont les deux types de presse ?
Quelle est la différence entre un article et une revue ?
Quel est le nom de salaire d’un journaliste ?
Quel est le salaire moyen d’un journaliste ?
Qui est le propriétaire du journal Le Figaro ?
Qui finance le journal Le Monde ?
Quelle est la tendance politique du journal Marianne ?
Quels sont les 5 principaux médias ?
Quel est le magazine le plus vendu ?
Quels sont les 7 médias ?
Quel est le meilleur magazine de science ?
Quelle est la différence entre le journal et le magazine ?
Quelle est la meilleure école de journalisme en France ?
Qui a été le premier journaliste dans le monde ?
Quel est le journaliste le mieux payé ?
Quelle est la tendance politique du journal Libération ?
Quelle est la tendance politique du Figaro ?
Quels sont les 3 canaux de communication ?
Quels sont les cinq grands médias actuels ?
Est-ce que Science et Avenir est fiable ?
Quels sont les meilleurs journaux scientifiques ?

Quel est le but de l’agence France-presse ?

1.2.1 – La naissance de l’Agence France-Presse En s’arrogeant à lui seul la relance du secteur de l’information, il instaure un contrôle absolu du contenu de la radio et de la télévision (monopole sur la radio en mars 1945 puis sur la télévision en 1949).

Qui a inventé la presse ?

Le premier périodique imprimé au monde, un hebdomadaire de quatre pages, titré Relation (titre complet : Relation aller Fürnemmen und gedenckwürdigen Historien), fut lancé à Strasbourg en décembre 1605 par Johann Carolus.

Quelle est la différence entre un journal et un magazine ?

Le journal est rapide à lire et traite d’une actualité que l’on ne peut pas repousser. Le magazine, lui, permet de se plonger plus longtemps au cœur d’une thématique. Assez longtemps pour s’en imprégner, la comprendre, assez longtemps pour la ride d’autobus matinale.12 mars 2020

Quel est le vocabulaire de la presse ?

Manchette : titre en gors caractères en tête de la première page d’un journal. News : informations d’actualité. Rédacteur en chef : personne à la tête de la rédaction. Rédaction : ensemble des journalistes d’un quotidien, d’un magazine, d’une station de radio ou une chaîne de télévision.21 févr. 2010

Comment Appelle-t-on les textes publiés par les agences de presse ?

Édito. Abréviation d’« éditorial ». Rédigé par le rédacteur en chef ou le directeur de la rédaction, l’éditorial est un texte de réflexion et de commentaire, en réaction à une actualité donnée ou pour annoncer un article.

Pourquoi l’AFP est fiable ?

L’AFP est, avec l’Associated Press et Reuters, une des trois agences de presse qui se partagent un quasi-monopole de l’information dans le monde. Elles ont en commun, à la différence de son prédécesseur Havas, de ne pas avoir d’actionnaire mais un conseil d’administration composé majoritairement d’éditeurs de presse.

Quel est le premier Journal du monde ?

Le premier journal imprimé connu, un hebdomadaire de quatre pages intitulé « Relation aller Fürnemmen und gedenckwürdigen Historien (« Communication de toutes histoires importantes et mémorables », parfois appelé Die Straßburger Relation), est lancé à Strasbourg en 1605 par Johann Carolus.

Quel est le nom du premier Journal français ?

Journal de Paris

Qui a inventé la presse écrite ?

Johann Carolus

Quels sont les différents types de magazine ?

Les types de magazine En version papier ou numérique, le magazine se décline en plusieurs types selon le thématiques, le public cible et bien d’autre critères. Par contre, par rapport à leur forme et leur aspect, il est possible de les catégoriser en magazines de types brochures ou types flyers.

Comment s’appelle la dernière page d’un journal ?

La quatrième de couverture (désignée aussi occasionnellement par le terme technique lodiciquarte, qui est un latinisme) est la dernière page extérieure d’un livre.

Quels sont les quatre principaux types de journalisme ?

La profession se divise en quatre grands secteurs d’activité :

Quels sont les journaux les plus aidés par l’État ?

Ces aides sont ainsi significatives. Les journaux Le Monde et Le Figaro sont les mieux dotés, avec respectivement 18,6 et 18,2 millions d’euros versés.

Quelle est la tendance politique du journal Le Figaro ?

Ligne éditoriale Le Figaro, d’après son directeur, se considère comme un journal de droite et de centre droit. Le journal est le point de jonction de plusieurs grands courants d’idées ancrés à droite ou au centre droit.

Quels sont les journaux de droite ?

C

Quel est le quotidien le plus vendu en France ?

Classement Diffusion Presse Quotidienne Nationale 2021-2022

Quelles sont les 5 familles de presse ?

Voir aussi

Quel est le premier journal du monde ?

Le premier journal imprimé connu, un hebdomadaire de quatre pages intitulé « Relation aller Fürnemmen und gedenckwürdigen Historien (« Communication de toutes histoires importantes et mémorables », parfois appelé Die Straßburger Relation), est lancé à Strasbourg en 1605 par Johann Carolus.

Quels sont les deux types de presse ?

Les différents types de médias

Quelle est la différence entre un article et une revue ?

Une revue est donc une publication sur de grands sujets de réflexion ou d’actualité ou alors elle traite de sujets très spécialisés. Les articles qui la composent sont plus pointus et plus longs que ceux d’un magazine. Une revue peut être illustrée ou non tandis qu’un magazine l’est le plus souvent.10 avr. 2014

Quel est le nom de salaire d’un journaliste ?

Par ailleurs, au bout de deux ans de pratique journalistique, les candidats journalistes obtiennent le RP (registre professionnel) qui fait d’eux des journalistes professionnels.

Quel est le salaire moyen d’un journaliste ?

5 000 €

Qui est le propriétaire du journal Le Figaro ?

Groupe Dassault

Qui finance le journal Le Monde ?

Le journal, qui bénéficie des aides à la presse, est ainsi édité par le groupe Le Monde, détenu en 2021 à 72,5 % par la holding Le Monde libre, dont les propriétaires sont Xavier Niel, Madison Cox, Matthieu Pigasse, Daniel Kretinsky et le groupe Prisa.

Quelle est la tendance politique du journal Marianne ?

Sa ligne éditoriale, souverainiste, antilibérale et laïque, emprunte à la fois à la gauche et à l’universalisme républicain.

Quels sont les 5 principaux médias ?

Ensemble des supports qui relèvent d’un même mode de communication. Les 5 grands médias actuels sont : la presse, la télévision et le cinéma, l’affichage, la radio, l’internet.

Quel est le magazine le plus vendu ?

Classement Diffusion Presse Magazine 2021-2022

Quels sont les 7 médias ?

communication « média » : en utilisant des moyens de communication tels que l’affichage, le cinéma, la presse, la radio, la télévision et maintenant les TIC (dont en particulier le Web).

Quel est le meilleur magazine de science ?

Ils possèdent, il est vrai, les meilleurs titres : « The Lancet » ou « Cell » pour Elsevier, qui totalise autour de 2.500 revues ; « Nature », « Scientific American » pour Springer Nature qui, avant de renoncer à aller en Bourse début mai, était valorisé 3,6 milliards d’euros.19 juin 2018

Quelle est la différence entre le journal et le magazine ?

Le journal est rapide à lire et traite d’une actualité que l’on ne peut pas repousser. Le magazine, lui, permet de se plonger plus longtemps au cœur d’une thématique. Assez longtemps pour s’en imprégner, la comprendre, assez longtemps pour la ride d’autobus matinale.12 mars 2020

Quelle est la meilleure école de journalisme en France ?

L’Ecole de journalisme de Sciences Po est sur la première marche du podium selon le classement des écoles de journalisme établi par Le Figaro Etudiant. Pour établir le classement, Le Figaro Etudiant a établi plusieurs critères : le nombre de prix, bourses et concours obtenus par les étudiants.

Qui a été le premier journaliste dans le monde ?

Les premiers reporters furent Francis Doublier, Alexandre Promio, Félix Mesguich et Marius Chapuis.

Quel est le journaliste le mieux payé ?

Avec 50 000 € par mois, Laurence Ferrari arrive à la première place du classement des personnalités les mieux payées du paysage audiovisuel français, révèle le magazine Télé 2 semaines.

Quelle est la tendance politique du journal Libération ?

De ses débuts situés à l’extrême gauche, Libération évolue vers la gauche socialiste à la fin des années 1970 sous l’impulsion de Serge July, puis vers une ligne éditoriale présentée comme étant « libéral-libertaire » progressiste.

Quelle est la tendance politique du Figaro ?

Le Figaro, d’après son directeur, se considère comme un journal de droite et de centre droit. Le journal est le point de jonction de plusieurs grands courants d’idées ancrés à droite ou au centre droit. Il s’agit principalement du libéralisme classique ou l’éclectisme libéral jumelé avec un conservatisme social.

Quels sont les 3 canaux de communication ?

Afin de transmettre un message à son public cible, une entreprise utilise différents canaux de communication. Il peut s’agir d’une communication média (presse écrite, radio, télévision) ou d’une communication hors média (catalogue, site web, publicité).27 août 2020

Quels sont les cinq grands médias actuels ?

communication « média » : en utilisant des moyens de communication tels que l’affichage, le cinéma, la presse, la radio, la télévision et maintenant les TIC (dont en particulier le Web).

Est-ce que Science et Avenir est fiable ?

Fait-il alors mieux que les autres traitements ? Oui, « les résultats sont impressionnants » pour Sciences et Avenir : « 70 % d’efficacité en moyenne ».4 mars 2007

Quels sont les meilleurs journaux scientifiques ?

Ils possèdent, il est vrai, les meilleurs titres : « The Lancet » ou « Cell » pour Elsevier, qui totalise autour de 2.500 revues ; « Nature », « Scientific American » pour Springer Nature qui, avant de renoncer à aller en Bourse début mai, était valorisé 3,6 milliards d’euros.19 juin 2018


bien le bonjour à tous ravis d’avoir trouvé en vrai avec nous aujourd’hui ravis de retrouver également les gens qui nous suivre sur internet pour évoquer les chiffres de l’agencé bio les chiffres 2020 de l’ agence bio c’est un rendez vous un rendez vous important alors vous allez voir que ce sont 2 ce sont de bons chiffres je voulais vous rappelé en introduction un petit peu le contexte de l’année 2020 alors évidemment on est tous conscients d’une année compliquée d’une année qu vide où on a été confiné dès qu’on finira confiné on a changé ses habitudes alimentaires enfin il ya eu un tas de choses qui se sont passées en 2020 on va voir comment ça s’est traduit au niveau des chiffres de la bio autre élément de contexte on a vu resurgir le concept de souveraineté alimentaire d’autosuffisance alimentaire survenue sur deux sur le haut de la pile et on va voir comment l’agriculture biologique répond à cette problématique là seul vieille problématique 1 qui avait été mise en évidence il ya une vingtaine d’années un pas un certain nombre de syndicats agricoles et qui revenue sur le devant de la scène et c’est plutôt très très bien et puis troisième élément de contexte et évidemment lapin qui alors qu’ils continuent évidemment les négociations en ce moment en 2020 mais c’est aussi un élément prendre en compte dans l’actualité d’aujourd’hui alors on va faire une présentation à deux voix avec leur verre d’eau donc la directrice de l’agencé bio et je vais lui laisser la parole pour évoquer avec vous la façon dont on construit les chiffres à l’agencé que vous allez dire quelques mots là-dessus et également tous les angles de marché du bio en 2020 je viens super bonjour à tous dont celle en berne ots j’ai eu je crois certains d’entre vous lors du dernier baromètre et je suis ravi que cette fois ci on puisse et puissent se voir et qu’on puisse du coup vérifier que ce qui a été déclaré par les français qu’on avait interviewé lors de notre baromètre s’avère traduit dans les chiffres réels du marché alors hop alors effectivement moche un peu bisouter vont arriver à lagence puisque c’est l’année cowitz est une année très atypique mais on peut se réjouir que la croissance reste à deux chiffres ce qui est on est loin d’être blasé en vue on est content que ça continue mais jusqu’ici vous qui êtes des habitués ça reste une croissance à qui est à plus de 10% 10,4 pour être exact et donc nous avons désormais un marché 2020 de 13,2 milliards d’euros alors ce marché qu’est ce qui s’est passé aussi ont leur place dans le contexte général donc vous savez l’année qu’ovide un tiers de l’année confiné massif report de la consommation alimentaire à domicile donc il a été particulièrement fort en bio pour la tout ce qui est des achats de denrées pour consommer chez soi donc le marché général si on regarde si on dézoomer quand on regarde le marché général de l’alimentaire il est en croissance alors qu’il était atteint depuis quelques années à peu près 3 3% mais pour ce qui est du bio il est en croissance à 12% on est passé rappelez-vous l’an dernier on était à 6,1 pour cent de l’assiette en bio et on passe désormais à 6 5 % de la dépense alimentaire des ménages donc ça instaure sa corrobore le tout ce qu’on avait évoqué lors du baromètre qui est que le bio est rentré dans les moeurs dans le quotidien des français donc ils sont neuf sur dix ans ont consommé au moins une fois que de temps en temps occasionnellement et donc c’est ça fait partie des circuits dans laquelle le bio est vraiment bien installé en parlera plus tard delà de la restauration hors domicile et donc si on regarde ce segment là la restauration hors domicile elle a chuté effectivement c’est normal avec des restaurants fermés des cantines fermées des cantines en 2011 et elle a enregistré une baisse effectivement de 2 21% à 505 millions d’euros mais en fait la faute au général c’est que globalement le bio se mange à 96% ce soir et à 4% cette année chez hors domicile donc on se réjouit effectivement dans cette hausse domicile et on attend de voir effectivement parce que c’était c’est une année sur le nuage de points c’est une année complètement atypique en rhd on attendra de voir leur établissement 2021 et on parlera des égalise juste après décidément il part à mes frais alors on vous souvenez le dépenses alimentaires étaient allées étaient dans notre baromètre et on nous avait massivement répondu à 80% non on compte maintenir notre dépense de produits bio et on compte même pour 10 % des répondants à augmenter bon bah ça se retrouve dans les chiffres et puisque on a donc une consommation de 188 euros par an et par habitant en moyenne donc on encore on se réjouit d’avoir un marché qui croît de plus d’un milliard voire mène depuis deux dernières années de plus d’un milliard 3 chaque année parce que c’est vraiment la preuve que le bio ça accréditent l’idée qu’on a à lille agences que le monde de demain sera plus bio ensuite la si on regarde l’effectif ans quand les best-sellers en bio c’était toujours des produits effectivement type les oeufs le lait bon ça déferré un petit peu en fonction du circuit que regardait c’était la grande distribution la distribution spécialisée mais là quel que soit le circuit c’est vraiment l’année patrie et sauce tomate qui qui prévoit donc la l’épicerie sucrée salée un registre est effectivement une forte une croissance de 17% mais reste effectivement la base du garde-manger bio et les données de performance remarquable qu’on peut voir en bio c’est la bière bio qui donc a effectivement toutes les micro brasseries qui ont contribué à la biologie c’est l’offre mais il ya surtout le fait que ma ya beaucoup plus le réflexe ce n’est capsules et des bières pendant cette année qu’ovide confinées à la maison donc grosse croissance des de la bière + 33 % et la croissance qu’on trouve intéressante qui prouvent nos toujours dans cette idée que le bio rentrer dans le quotidien c’est que c’est pas uniquement des produits bruts c’est pas aller bio ne sont pas que des mangeurs de légumes qu’ils épluchent et qu’ils font mais je t’ai eux mêmes c’est pour la praticité le surgelé qui s’est envolé en bio cette année avec + 30 % donc en fait ça équilibre une fois de plus le garde-manger entre les produits bruts et les produits transformés et pour le reste vous voyez décroissance qui sont toujours à plus de plus de 2 à deux chiffres donc voilà on est on est très très contents de cette de cette année 2020 sur laquelle effectivement on attendait l’impact qu’ovide sur la consommation de bio pour ce qui est de douai ce qu’on achète des produits bio on a vu ce qu’on achetait en bio ou est ce qu’on achète du bio donc sur l’ensemble du gâteau de bio consommés à domicile la grosse moitié reste effectivement en gms mais là aussi ça corroborent les déclarations permettre la grande distribution et notamment les hypers ça s’est un peu tassé c’est ça croît moins vite donc ça reste effectivement 55% la grande distribution il ya eu des cartons étaient un peu rebattu au sein des différents circuits notamment le drive a gagné trois points sans surprise et les hypermarchés ont perdu trois points donc ça corrobore également c’est toutes ces déclarations qu’on a eue sur j’ai privilégié circuit court j’ai regardé dans le périmètre autour de chez moi ou mon lieu de confinement pour aller acheter du bio directement à la ferme on nous a effectivement on voit un un gros regain d’intérêt pour les circuits courts est comme vous le savez on a plus d’un agriculteur bio sur deux qui va en direct ça a été ça a été un des vents favorables dans les voiles du bio donc voilà donc la croissance de la grande distribution tournoi est au dessus de 11% et celle de la grande distribution spécialisée dont elle veut il enregistré 13 % d’augmentation ils ont une politique effectivement d’ouverture dynamique mais il ya eu effectivement une tendance des français à se tourner vers ses points de vente en moyenne plus petits dont peut-être plus sécurisant au moment de la pandémie voilà la distribution au sein de la distribution spécialisée en tendance qui était déjà à l’oeuvre ce perdure qui est que les chaînes continuent de gagner du terrain et qu’il ya une régression des enseignes indépendantes ce qui s’explique ça y est il ya eu un maillage du territoire par les chaînes spécialisées qui fait que la concurrence n’est plus la même et donc c’était effectivement un contexte plus difficile pour les indépendants et puis il ya eu des croissances tout à fait remarquable pour les intervenants commerçants et surtout pour la vente directe qui correspondra donc 11% des ventes là une fois de plus la vente directe est dans l’adn des agriculteurs bio qui vient en direct la preuve on a même un ici qui pensez vous à la ferme et alors là c’est ma sai préférées et c’est pas pour rien même c’était cd subconscient mais je me suis habillé en bleu blanc rouge peut croire que vraiment j’avais envie de pousser un cocorico bio ce matin qui est le thème de la souveraineté alimentaire à la sauce bio alors on a entendu des chiffres à ses fantaisies ces six derniers mois sur le taux d’importation du bio on a même mieux des chiffres qui était la copie carbone inversée de la réalité on a entendu des gens pourtant très renseigné nous dira mieux le bio vous importez deux tiers de vos produits que nenni et donc le fait est que ça a été vraiment la façon dont on a décortiqué nos résultats en regardant mes la place du bio sur le thème de la souveraineté nationale le bio est donc là on se rend compte que malgré un boom une croissance de la demande année après année les producteurs les transformateurs ont tous mis un coup de collier et ont permis de garder un taux d’importation stable à 33% à 33 5 cette année 33 l’an dernier et donc ça colore même un peu notre travail au quotidien à lagence puisque nous avons donc le fonds avenir bio qui est un fonds de 13 millions d’euros pour que nous avons encore de miser sur les projets qui structure le plus les filières donc c’est une équipe qui est dédié donc à distribuer se font sur des projets collectifs des entrepreneurs se font il a été abordé par france relance ce qui parce qu’elle est effectivement dans la droite lignée de la construction de notre souveraineté alimentaire et c’est d’un pont qui du coup depuis depuis ses débuts à miser sur plus de 160 produits qui permettent de remplir et le garde-manger et le réfrigérateur des français qui veulent manger bio français donc on met vraiment en phase de la de la demande des français une offre alimentaire française donc ça c’est un autre chaîne et plus largement à l’échelle nationale on peut voir que le il ya des filières qui sont l équilibre on a on a vraiment cocher la case suivante alimentaire donc évidemment le vin ça c’était une surprise pour personne c’est d’ailleurs une filière qui exportent tellement tellement souveraine les eaux on est effectivement on a notre offre bus en face de notre demande bio et ce malgré une croissance soutenue tout ces dernières années le lait les produits laitiers également le beurre yaourt on a et quel que soit le type de lait la viande fraîche et transformé et un peu moins pour les légumes mais on peut quand même s’en prévaloir 78 % de notre de nos légumes sont bio son hexagone attend donc le garde-manger bio est un il est en cours de construction mais il est déjà il arrive vraiment à satisfaire faire du bio le l’élève l’acteur incontournable de la souveraineté alimentaire donc voilà ça c’est pour c’était au global et maintenant si on zoome un petit peu sur le type de produits importés et qu’on enlève les produits tropicaux les bananes le thé le café etc eh bien on se retrouve à un garde-manger qui est à 80% français ce que le taux d’importation chute à 21% donc voilà cauxcorico cauxcorico bio cette année c’est vraiment ce que ce qu’on a envie de retenir et parce que c’est la voie de la bio doit être portée dans l’ordre de toutes les discussions qui parle de souveraineté alimentaire on a vu fleurir les appels à projets c’est vraiment haut au coeur des préoccupations et donc on est très contentes de pouvoir apporter notre pierre à l’édifice de la souveraineté alimentaire française voilà je laisse la parole à philippe qui va pouvoir mettre en valeur les données qu’on construit l’équipe de d’arrache-pied parce que nous recevons donc la matière première de ces données donc c’est à peu près le croisement de 50 sources différentes c’est l’objet aussi de discussions avec des instances régionales pour être sûr qu’on a vraiment une donnée qui qui est consensuelle et donc l’équipe récupère c’est le temps fort au premier m toutes les données des organismes certificateurs donc qui sont au nombre de douze qui ont joué le jeu et donc qui nous c’est eux qu’il a là décrypte analyse la vérifient la retraduit c’est donc je laisse philippe présenter ses magnifiques résultats que nous on nous construit l’équipe production ce qui est très important c’est que nous ayons une bio qui se construit sion deux jambes une jambe consommation une jambe production avec le plus d’autonomie d’autosuffisance leur revient de l’aborder sur la question de marcher on va voir ce qu’il en est sur les questions de production les chiffres sont bons vous avez dû voir tout de suite je propose de commencer par voir qui sont les acteurs il commence à se développer si je commence par là par l’impôt on va parler des producteurs vous aviez en 2019 caron séduit producteurs engagés en bio aujourd’hui vous en avez 53 53 mille producteurs en bio en france et 12 % des agriculteurs 12% alors je vous rappelle que certains d’entre eux le ca leblanc mission d’offrir une et sérieux à la hauteur de 15% l’aï salué à hauteur de 15% il sera difficile à atteindre elle a reconnu longtemps c’est vrai qu’on n’est pas tout à fait à ces chiffres la part d’autres par contre sur le nombre de producteurs on est à 12 passes en 38 2022 qu’on risque d’approcher les biens cependant brise qui couvrait été hâtivement à 15% c’est une bonne nouvelle pour quoi parce que ce sont les forces vives souterrain et ses forces vives qui vont permettre le développement plus vous avez de forces il est plus un peu plus ça peut se développer que vous avez une petite ferme au procès je suis fan de tout ce court sans changement une micro vous m’entendez là vous m’entendez oui je vous m’entendez là c’est bon voilà on parle de chiffres conversion plus les chiffres on va voir tout à l’heure le détail on va rentrer tout à l’heure dans le détail donc 112 % d’agriculteurs la dynamique elle a été également au niveau des entreprises plus de 1700 entreprises qui sont rentrés dans le circuit bio donc une vraie dynamique de ce côté là également + 12 % et puis quand vous regardez les petits les petites nos petits dessins ben vous apercevez que 12 % d’agriculteurs en bio c’est 18 % de l’emploi agricole pourquoi parce que c’est une activité qui est dans son emploi du temps ce que la moyenne des exploitations agricoles et c’est très important parce que c’est des emplois qui sont répartis partout sur le territoire on va voir dans la slide suivante la détails mais c’est des emplois partout dans le monde rural essentiellement ce qui permet de créer des emplois là où il y en a bien besoin vous en avez pas ici vous voyez que l’essentiel de ces deux cent mille emplois vous retenir ce chiffre deux cent mille emplois aujourd’hui en bio il est essentiellement des emplois directs dans les fermes donc comme je l’aï dit tout à l’heure répartis partout sur le territoire dans des régions qui en ont bien besoin et également des entreprises c’est souvent des pme vingt-six mille emplois dans ces pme là et c’est souvent des pme qui sont implantés aussi dans le monde rural là on a besoin d’eux content d’avoir de l’emploi donc on est vraiment dans une dynamique vertueuse en termes de création d’emplois et puis vous avez évidemment la distribution alors c’est des emplois évidemment plus urbain évidemment très satisfait aussi des emplois se créent à ce niveau là 60 % d’emplois en plus depuis 2016 en agriculture biologique regardons maintenant ce qu’il en est des surfaces les surfaces sont aujourd’hui 9 5% la hesse a eu la surface des terres cultivées en bio ses 9,5 pour cent de la surface totale des terres agricoles françaises si vous regardez l’évolution abaléa si elle est quand même assez intéressante pour monter à 15 ans en arrière 15 ans est passé pas si loin que ça finalement en 2005 on avait cinq cent cinquante mille hectares aujourd’hui on en a deux millions cinq cent cinquante donc c’est une très belle prose et progression ces dernières années on a progressé en gros de 250 260 mille hectares par an c’est une très belle c’est quasiment un département français qui se convertit à la bio en france et vous voyez la part je fais référence à la question tout à l’heure vous voyez là la part qui enquille et en agriculture biologique cela par verte la part dieu qui est la part en conversion sont que ce sont les gens qui sont un petit peu dans l’antichambre de la bio puisque quand il se convertit s’ils respectent le cahier des charges bio mais mes mains à vannes accords pas leurs produits le vendent au bout de deux ans c’est ça la période de conversion d’ouvriers qu’il ya cinq cent mille hectares 600 milles quasiment qui vont arriver là prochainement et puis c’est influencer le flux s’est pas arrêtée a continué quand on regarde les chiffres on a des notifications notamment et sur les quatre premiers mois de 2000 21 on est sur une dynamique qui se poursuit donc ses pouvoir d’achat ce qui sont qui vont vraiment dans le bon sens voilà pour ce qu’il en est des ce qu’il en est des terres cultivées en bio alors maintenant on va rentrer dans le détail finalement se sentent ils production c’est cette dynamique là vous voyez que nous avons d’appui dans trois ans les grandes cultures qui sont qui était un petit peu les parents pauvres de la bio jusqu’à présent mais qui ont vraiment bien rattrapé un peu moins de 5000 hectares aujourd’hui un premier à notre conversion en grandes cultures c’est très certain très bon site c’était un marché qui était déficitaire c’est un marché qui en comptait en train de 2 déséquilibrée entre offre et demande donc c’est plutôt vraiment un bon signe et puis une semaine dynamique importante en vigne mais ça ça fait depuis longtemps c’est le cas ça continue en vie on aime le vin bio au levain français on aime le vin bio français on est même le vin bio français à l’étranger nous avons des voisins qui est une très bonne dynamique et puis les légumes frais alors je fais un petit zoom sur les légumes frais rapidement parce que vous voyez que c’est une croissance de 19% et quand vous allez regarder votre dossier de presse d’aller voir que la croissance la consommation étaient 12% lors vous a dit tout à l’heure la colo taux de couverture était 78% qu’est ce qu’on est en train de faire on est en train de combler ce déficit en légumes c’est dire que c’est une production française qui vient satisfaire une consommation française donc c’est plutôt bon signe c’est très très bien et puis voilà un petit peu pour les peaux alors c’est chez moi si ça marche c’est bon ok merci donc un petit zoom sur une filière particulière vous retrouverez les chiffres en détail dans le dans le dossier de presse une filière particulière qui sont les protéines végétales vous en avez forcément entendu parler vous savez que que le gouvernement un plan protéines et qui souhaitent développer ce type de culture que ce soit des protéines à destination de l’alimentation humaine ou des protéines à destination de l’alimentation animale et vous voyez que les légumes secs produits en france 46 % des légumes secs produits en france sont des légumes secs produits en bio pourquoi pour deux raisons 1 parce que ce sont des légumineuses et que les légumineuses sont très intéressants dans nos rotations ce sont des plantes qui enrichissent le sol donc on en a besoin nous qu’ils n’utiliseront pas d’encre et de synthèse nous avons besoin de ces plantes là pour enrichir le sol les légumes secs ça tombe bien et ça tombe bien pour une deuxième raison ce sont des légumes ce sont des produits dont on sait les vertus en termes de santé ce sont des produits qui sont recommandées par le programme national nutrition santé donc ce sont des produits qui sont appelés à un bel avenir et la bio est très bien placé on est vraiment dans la ligne de ce qu’il faut développer en termes de 2,2 de protéines végétales voilà pour le premier élément deuxième élément vous retrouvez que les fruits à coques torse et pas forcément des légumineuses mais des fruits à coques sont au chaud aussi au très très bien placé puisque 43% la production française de fruits à coque est une production bio tout ça dans un contexte global où nous sommes très largement déficitaire en fruits à coques et en légumes secs en france donc on prend le bon chemin en bio puisqu’on cherche à couvrir ça et puis quand 6,6 pour les plus curieux d’entre vous qui iront voir le petit tableau qui fait référence à sa vous verrez aussi que sur les protéagineux c’est à dire les protéines qui sont essentiellement à destination de l’alimentation animale vous verrez que nous cultivons aujourd’hui entre 5 et 6% de sur la surface céréalière mes confrères de protéagineux nous sommes à tous pour cent pourquoi parce que dans nos rotations en bio pour des raisons agronomique nous cultivons plus de protéines en proportion que la cud puisqu’on fait en agriculture traditionnelle et c’est une bonne chose puisque nous avons besoin de protéines à destination de l’alimentation animale notamment pour pour nourrir nos poules pondeuses nos cochons et éventuellement non ruminants donc on est aussi sur la bonne voie il ya des choses encore à faire bien sûr sur ses deux succès sur ses filles l âme et nous sommes sur la bonne voie en matière de protéines répartition des surfaces maintenant vous voyez que traditionnellement nous avons en gros la france se couper en deux le sud qui est dynamique depuis très longtemps en bio qu’il est toujours au jour d’aujourd’hui avec des régions fort comme l’occitanie comme nouvelle aquitaine comme la l’auvergne rhône-alpes ou comme paca qui sont encore évidemment développement et c’est très très bien sûr beaucoup de productions et puis vous avez vous avez une extension de la conversion en tout cas une extension du bio qui remonte au nord qui remonte au nord dans des régions qui traditionnellement était beaucoup moins bio mais qui sont en train de rattraper leur retard donc c’est plutôt une très très bonne nouvelle on a une dynamique partout la bio aujourd’hui c’est partout en france et si vous regardez un petit peu les progressions vous les voyez évidemment au sud mais vous voyez également au nord je pensais à ma région celle du grand est à la franche comté à côté vous à penser aussi à l’ouest de la france et dans le nord de la france je fais un petit zoom sur les oat france les outrances était vraiment la région un peu en retard sur le bio bien évidemment une grande région agricole française mais sur le bio et les un petit peu en retard et franchement ils sont ils sont vraiment en train de s’y mettre alors eux ils ont en plus gros nomique mans ils sont plein de possibilités on fait des légumes dans les outrances ont fait de l’élevage en fait beaucoup de cultures ils ont un potentiel agronomique intéressant et ils sont en train de passer en bio c’est vraiment un bon signe alors voilà un petit peu ce qu’on pouvait dire ce matin sur sur les productions bio française alors je vous propose d’aller voir ce qui se passe un petit peu en europe en termes de production voilà sur cette slide vous voyez un petit peu comment se positionne la france sur en matière de bio je vous rappelle le contexte un objectif de 25 % de bio en 2030 une robe kaki qui est bio dans dans qui est vraiment bio dans quatre ou cinq pays vous voyez que la france en termes de conversion dernièrement est très bien placé puisque deux cent soixante mille hectares de conversion le deuxième pays c’est l’espagne 108000 alors il ya un petit en termes de données on compare pas tout à fait les mêmes années vous le voyez d’ailleurs à sur votre droite 2019 2020 donc c’est vrai qu’on a on compare deux années un petit peu différente messieurs que vous pouvez voir en prolongeant les courbes vous pouvez voir que la france l espagne grosso modo tiennent là tiennent le haut du podium en termes de entre m de surfaces cultivées en bio donc c’est vraiment une c’est vraiment une bonne chose et puis vous avez certains pays qui évidemment suivre grands pays comme l’allemagne l’italie et l’autriche qui en surface sont des pays moins important que la france mais ce sont des pays qui traditionnellement laisse une grande place à l’agriculture biologique voilà ce qui ce qui se dessine aujourd’hui en europe donc une france très bien placée en termes de surfaces agricoles cultivées en bio je laisse la parole alors pour évoquer les aspects oromia européen mais là pour le coup sous les aspects marché et donc une fois de plus cocorico nous sommes les premiers en surface agricole et on continue d’être très bien placés alors c’est pas pour rien qu à chaque fois on aborde production et consommation parce que c’est vraiment nos deux axes à lagence c’est vraiment le deux missions qui sont à la fois de d’observer les deux est de faire en sorte de contribuer à ce qu’elle grandisse et harmonieusement et consommation et production d’où ce taux d’importation stable et alors si on regarde maintenant sur les marchés européens donc on a une allemagne qui effectivement a été encore plus haut cette année qui arrive à presque 15 milliards de marché 1 de marché bio et nous nous l’avions dit nous sommes à 13 milliards d’oeufs alors après un toutes proportions gardées rappelons nous que c’est un pays à 83 millions d’habitants et nous sommes à 67 millions d’habitants mais du coup on nous restons quand même le 1d une des locomotives de la consommation de bio puisque si on regarde le total du marché en fait c’est un gros gâteau à 48 milliards d’euros en europe le bio est effectivement les locomotives son premier chef l’allemagne rappelez vous on était vraiment au touche à touche l’an dernier là ils ont vraiment bien progressé mais nous aussi et donc nous sommes avec 13 milliards 2 les deux les deux moteurs et juste derrière on tombe quand même à 4,4 milliards 4 milliards pour pour la consommation de l’italie pourtant produit trop de pays plutôt exportateurs et puis alors là bon le royaume uni entre temps les a perdus avec le veut le break site qui qui sont effectivement des contributeurs en marché mais je ne suis pas sûr qu’on les aura pas de la même façon dans nos dans nos chiffres l’an prochain voilà je pense qu’on a fait à peu près le tour de l’ain de nos chiffres de notre matière première de ce matin donc vraiment merci à l’équipe à l’ensemble de l’équipe de l’ agence bio mention spéciale à l’observatoire nationale de l’agriculture biologique merci aussi à toutes les doses interlocuteurs régionaux qui en ce moment-même sont dans la hotte france une région qui qui ce qui est très dynamique en bio puisque ils sont en train du coup de suivre sont les interviews mais on était avec eux hier pour justement faire en sorte que la que ce soit à l’échelle régionale ou à l’échelle nationale à laon puissent tous être en ordre de marche pour faire croître le bio si on regarde du coup sûr ce qui va sur ce qui va se dérouler là dans l’est dans les prochaines semaines donc pour ce qui est du deuxième semestre on a les temps forts du bio qui sont les nattes expo le salon des maires de france qui est assez clé est là et reste aux deux salons resto qu en septembre qui sont clés pour le quota de le fameux quota de 20 % de produits bio dans les cantines alors ça j’aimerais juste et revenir un instant parce que effectivement cette année on va pas pouvoir parler vraiment de ce 20 % puisque là encore ça une année de totalement atypique mais ce qui nous fait nous rend confiants et notamment sur la place parmi les marchés européens c’est qu’on a on a un atout en or qui est grâce à la loi et galim ses 20% pourquoi parce que là jusqu ici on était entre 5 et 6% en 2019 et si on fait juste un tir le trait enfin produit en croit on se rend compte que si demain d’un coup de baguette magique on était assez 20% le marché du bio montrait tout de suite d’un milliard 4 donc c’est vraiment le la prochaine le prochain circuit qui va être investi par le bio nous on le voit au quotidien on avait remontée du terrain avec des agriculteurs des producteurs qui nous disent voilà avec la loi et gally mais ce que est ce que je me mets à produire ma crème fraîche impôts de 5 kg plutôt qu’en 250 g est ce que c’est un marché ben oui c’est un marché et et on voit que ça commence à vraiment percolé dans les priorités des chefs d’entreprise et dans l’est dans l’esprit des agriculteurs que de pouvoir servir ce marché qui est ouvert et qui n’attend qu’à être qu’à être comblés donc ça ça vraiment on s’en réjouit sont celles à la botte secrète de la france d’avoir cette loi cette loi galim et puis bon ça on se sera une nouvelle frontière mais ce sera la restauration commerciale qui est là aussi se remettre de son années 2020 et qui sera un peu la nouvelle frontière pour pour accueillir du bio dans les assiettes de la bistronomie de du resto conte du quotidien et ça c’est vraiment quelque chose qu’on va regarder dans les prochaines années à lagence donc du coup nos prochains temps forts il ya bien sûr s’étale ces salons nous on aura l’occasion d’en reparler mais nous agence bio on va fêter nos 20 ans en octobre juste avant d’être exposé et puis surtout il ya une grand-messe de la bio qui va se dérouler c’est la france qui l’accueille la dernière c’était il ya trois ans en inde c’est le congrès mondial de la bio donc on attend la confirmation de intervenants de premier plan du gouvernement ça sera à partir du 6 septembre avec l’ouverture officielle 7 septembre pendant plusieurs jours tous ceux qui font vivre la bio que ce soit au niveau académique que ce soit au niveau de l’entreprise tout le monde va se retrouver à rennes c’est un congrès un peu et breen en digital et en présentiel et ça va vraiment être l’occasion de faire le point de se réunir de ceux de se compter et ça va être la grand messe sous de la bio sous le patronage ailleurs de nicolas hulot et donc voilà ça va être sans doute le temps forts et on salue les équipes qui sont en train de l’organiser où nous contribuons d’ailleurs nous agence nous avons nous avons trois contributions voilà eh bien écoutez je vous remercie je pense que là on est bon pour passer aux questions oui n’hésitez pas à un hashtag est sûre bio blanc rouge on y tient parce qu’on a vraiment un peu monomaniaque du cocorico aujourd’hui voilà merci beaucoup j’ai quelques questions l’augmentation de la confiance de la part des biens de ces hausses toussaint pour la viande bovine et porcine alors où se trouve la viande de volaille c’était pas contenue dans ces sites est bien écrit plus la viande bovine et porcine augmentation de 11% à vous parle on a une croissance assez effectivement flat puisqu’on est à 0 7% pour le poulet de chair donc effectivement cette croissance est essentiellement portée par les bovins et le portant c’est stable en volailles [Musique] c’est effectivement une hypothèse qu’on va pouvoir creuser une réponse qui est la rhd dire qu’il ya un certain nombre de volailles qui sont utilisés en rhd compagne ce débouché là cette année donc c’est un élément de réponse pardon alors les cantines scolaires utilisent notamment cette viande l’acte pour la raison que vous avez évoqué en termes de coûts elle n’est pas très très très onéreuse est bon les cantines et en fermer la moitié de l’année voilà ça joue ça a joué alors alors il ya effectivement ces produits tropicaux qu’on peut pas qu’on produire dans l’hexagone alors on a les dom-tom bien sûr il ya quelques initiatives autour de la banane qui sont plutôt de bonne augure donc donc voilà qui couvre un petit peu c’est pour la production de produits tropicaux mais c’est effectivement café sucre également alors on a une production de betteraves à sucre qui se met en place mais traditionnellement en bio on importe du sucre de canne dans notamment du brésil donc on a un certain nombre de produits qu’on peut pas produire en france et puis on a des produits j’ai cité tout à l’heure les fruits et légumes on est presque à la couverture mais on ne le fait pas totalement on importe aussi des légumes d’espagne vous le savez vous voyez bien dans les rayons quand vous allez dans les magasins acheter vos produits bio vous voyez bien qu’ils aient encore de l’importation de légumes c’est en train de se couvrir mais ça reste encore et puis vous avez des secteurs comme les produits de la mer je pense et au saumon en notamment et voilà qu’ils sont des sondés secteur on est vraiment déficitaire pour le coup c’est ça qui fait le déficit aujourd’hui à l’essai sur cds ces produits là qu’il faut travailler on ne dira on continuera d’apporter des produits tropicaux j’espère qu’on continuera d’exporter plus en plus de 20 de fromages des produits d’export pour vous donner c’est essentiellement le 20 mai c’est la photo la même photo que l’agriculture français d’une manière générale avec un petit peu de fromages et de produits laitiers en plus donc on peut espérer que ce qui est un développement de ce côté là les produits des produits français ont plutôt bonne cote et les produits bio français en aussi bonne qu’au talent oui on est on est on est on est à peu près pas avoir à quelques zéros près on est à peu près comme les allemands le marché – grand effectivement en france du fait de la différence de population mais par personne c’est effectivement comme ça qu’il faut le regarder par personne effectivement on est on est on est comme les allemands toute bonne chose oui et ben écoutez c’est simple on a un indicateur dans le pôle dans le dans le plan ambition but on avait un indicateur phare qui était la surface agricole à convertir pour 2022 l’objectif était de 15% est toujours d’ailleurs de 15% ça ça n’a pas changé voilà il faut savoir c’est un chiffre qu’on n’a pas donné mais que je pense qu’il est intéressant en hausse de 2,2 de savoir c’est que les exploitations bio sont en moyenne 20% plus petit que les exploitations françaises en moyenne donc voilà donc vous éprouvez haber plus d’agriculteurs bio mais une proportion qui est pas là même si c’est un élément qu’il faut qu’il faut qu’il faut prendre en compte dans cette les objectifs de course de surface était de 15% en 2022 il nous reste deux années pour faire 5 % donc on aura du mal à les aider les exploitations sous peu et puis on aurait pu convertir on est sur un taux de conversion un peu léger dit tout à l’heure à peu près 1 et qu’un d’un département français si on regarde si vous projetez en 2038 un peu plus loin que le plan ambition bio parce qu’il faudra bien poursuivre 2022 c’est demain 2030 faut accélérer si vous regardez les conversions va falloir passer de 250 me à 400 mille ha si on veut si on veut réussir donc il ya un vrai enjeu là aujourd’hui à mettre en place une politique publique qui accompagne la conversion de ces quatre cent mille hectares alors effectivement on est dans le moment de la construction de la nouvelle pac ça vous le savez tous on a des éléments qui sont plutôt intéressants en particulier l’augmentation de l’envelope à la conversion s’est rejoint exactement ce qu’on vient de dire c’est à dire qu’on passe de 250 à 340 millions d’euros pour pouvoir avoir des aides pour 400 mille hectares 450 mille hectares entre 400 et 450 mille hectares très bonne chose de le gouvernement a prédit a prévu salord a évoqué tout à l’heure la loi et galim on est aussi sûr en gros il faut que la bio pour croître et un marché en face et on fait en sorte que les marchés publics puissent l’être c’est-à-dire la restauration collective donc ça c’est une bonne chose via un amendement est peut-être quelques-uns d’entre vous qui sont au courant de ça il ya un amendement qui est passé au sénat sur la révision de la loi et ghalib et qui dit qui fait plus référence au bio alors aussi affolé un peu hier ou avant-hier je me souviens qu en disant attendez attendez c’est pas possible de ne plus faire référence à ces 20 % de produits bio en restauration collective on y tient fort le gouvernement a donné un avis défavorable à cet amendement est on en train d’alerter les parlementaires pour que cet amendement évidemment ne passe pas parce que c’est un recul donc il ya ces éléments là et puis après il ya la pac effectivement il ya la question de la pac en tant que tel qui est une question compliquée peut-être prendre votre question puis je vous réponds sur la pac 1 c’est pas pour éluder oui alors la question du retard n’existe plus elle a été en a eu un retard de deux ans voire plus ça a posé plein de problèmes plein de difficultés enfin il ya idée il ya eu plein de difficultés que technique à des gens qui ont touché des aides on les a on leur a demandé de rembourser parce que c’était pas les mêmes programmation je rentre pas dans la mécanique de la pac c’est une mécanique xtrac extrêmement compliqué mais franchement ça a été un moment donné du grand n’importe quoi ça s’est résolu aujourd’hui c’est résolu et oui alors après vous aviez effectivement vous aviez des régions les aides n’étaient pas les mêmes dans toutes les régions parce que vous aviez des régions qui accompagne et mieux les producteurs bio que d’autres donc effectivement vous avez des régions est aujourd’hui mais visiblement les régions sont pas forcément à la main voilà roi des menteurs de filières agricoles quand cet état d’un ralentissement du marché bio ces derniers mois est ce que vous l’avez compte est constatée par an [Musique] alors des éléments pour vous répondre je ne sais plus si c’est expliquer tout à l’heure mais en tout cas quand vous regardez la croissance du marché alimentaire français dans sa globalité il a effectivement crû de 3% il ya eu après après quelques années de régression il a augmenté de 3% la croissance des produits bio étaient 12% on a tiré cette croissance on a tiré en partie bénéfices de la croissance de la consommation alimentaire française et c’est très bien comme ça et puis votre dès ce deuxième question elle m’échappe à l’instant ah oui oui oui alors effectivement effectivement on a quelques signes sur certaines filières je pense à la filière oeuvre que je connais bien on est producteur de chez nous c’est vrai qu’aujourd’hui on a quelques signes de ralentissement de croissance il faut le dire comme ça un peu plus tôt le dire comme ça mais ça j’ai envie de dire ça arrive régulièrement la filière bio vous pouvez pas avoir une une croissance de la consommation et de la production qui sont complètement linéaire et vous avez des phases je vais prendre la production laitière vous avez des phases il ya un grand manque les laiteries demandent à leurs producteurs de se convertir en bio donc vous allez un moment donné on l’a vu en 2018 avoir une grosse marche cube est franchie par les producteurs et puis après ça se tasse un petit peu ça continue de la consommation continue de croître mais il ya une grosse marche est franchie ça se tasse un peu ça dure six mois un an ou les laiteries disent bon on a besoin d’un peu moins de lait d’oeufs bio et puis ça reprend moi j’ai vu ça fait 25 ans je suis dans la filière bio j’ai vu ça pendant 25 ans donc c’est un signe évidemment si on regarde ces signes de près comme tout le monde mais je ne crois pas qu’il soit structurelle ils sont conjoncturelles comme ça déjà eu lieu dans le passé et voilà on le voit sur l’oeuf au jour d’aujourd’hui on le verra peut-être dans d’autres filières puis les croissances reprendront quand on a demandé notamment aux enseigne de gms dans quelle mesure elle voyait ces signaux là non on dit en fait c’est beau et là ils nous remontent surtout d’acteurs qui ne sont pas contractualise de façon pluriannuelle en fait plus on est long termiste plus on contractualise sur trois cinq voire 12 ans on a vu le cac en or plus on a tendance à considérer ces éventuels ajustements comme effectivement des petits frémissements sur une sinusoïde qui reste quand même ascendante donc de ce côté là effectivement on est on est on a réuni pas mal de d’après deux présidents de commission bio on a eu effectivement des signaux rien qui ne remettant en cause c’est pas de retournement de marché c’est quand t’es pas 30 filières comme celui de sel celui des fruits et légumes 10 on arrête les conversions parce que là il ya un déséquilibre de marché pour vous c’est pas c’est pas inquiétant et on a eu effectivement des discussions à la suite d’ arriver là non pour nous il ya de toute façon de l’appétit en bio et que ce soit à l’horizon six mois douze 12 mois ou deux ou trois ans il va falloir total comble et donc on est sûr de sûr des reds justement derrière justement on nous on n’est pas en fait on est sur un autre horizon temps c’est dans bio la temporalité du bio elle est différente on il faut trois ans pour se convertir les versions les étangs sur cinq ans pareil les contrats sont pas du tout d’une année à l’autre donc on est sur une autre temporalité donc effectivement réagir sur de l’année à l’année c’est pas forcément de notre ressort merci en europe c’est l’objectif européen du green deal absolument c’est l’objectif et robien oui bonjour yvon lokeren ov pour agrapresse moi j’avais une question sur les petits labels qu’on voit émerger nature et progrès demeter ces choses-là savoir si vous aviez des tendances un petit peu sur l’évolution de ces labels ont et ça a eu un marché et deuxième question pardon c’était de savoir aussi si le confinement fins et pearl avait pu jouer sur les reprises d’exploitations sur la demande de conversion qu’est ce que ça vous chez les producteurs vous pensez que ça a pu entraîner comme comme type de réaction je sais pas j’ai pas compris la deuxième partie est ce que cette période là de 18 mois un peu difficile économiquement a pu ralentir les demandes de reprises d’exploitations ou les demandes de conversion enfin est ce que dans dans le secteur professionnel on a peut-être plus hésiter à prendre ce risque là parce que la conjoncture ou pas forcément alors j ai fait allusion tout à l’heure on le voit pas d’un haut taux de notification en tout cas nous nous vous savez que vous savez peut-être pas quand l’agriculteur en opérateur veut faire de l’agriculture biologique qui se notifie à l’ agence bio donc on a une base d’années qui est une base de données chemist mises à jour en continu et sur les quatre premiers mois jusqu’au mois d’avril qui sont les mois important parce que c’est avant les déclarations pac on voit le même fluo quasiment même un peu plus de sueur 2021 donc pour répondre à votre question on ne voit pas on ne voit pas d’effet à neko vide sur les conversions c’est plutôt plutôt un bon signe quant à votre question sur les labels l’autre label mieux disant puisque nature pôle nature et progrès vous avez cité nature et progrès il y en a d’autres aussi on n’a pas en moi j’ai pas çi foulera de leur demander directement j’ai pas de chiffres directement de ces labels là mais par rapport aux labels bio c’est des labels des labels qui ont qui regroupe – agriculture beaucoup moins même émoi une consommation ça c’est sûr demeter pareil voilà le deuxième label vous avez cités c’est celui d’aimer terre et c’est pareil c’est des labels qui sont qui sont qui sont connus dans le monde la bio qui sont connus aussi des consommateurs mais qui sont beaucoup moins connu que le label bio d’une manière générale oui bonjour julien commandeur pour fld et légumes distribution j’avais deux questions la première c’était leur disaient les consommateurs de bio ne sont pas que des mangeurs de légumes brut donc est ce que vous pourriez nous en dire un peu plus sur cette filière de transformation est ce que vous avez des éléments qui sont les transformateurs est ce que ce sont des petites pme bio est ce que ce sont des grands groupes industriels conventionnelle est ce qu’on importe à ce que voilà et les produits que le marché attend le plus voilà ça c’est la première question est la deuxième question c’est est-ce que vous pourriez nous donner votre budget de l agence bio et comment il est réparti merci ok alors effectivement le canton dit en mange moins de produits bruts c’est valable en fête bio ou pas bio du maire générale la tendance de l’alimentation en ce moment enfin depuis plusieurs années à l’oeuvre c’est qu’on mange plus de produits transformés et – produits bruts plus de frites et moins de pommes de terre pour faire court donc ce que ce qu’on avait vraiment à coeur de partager avec vous c’est que il ya des comportements alimentaires qui sont complètement si mais en fait le monde n’est pas divisé entre des gens qui vont faire leurs courses tout en bio et des gens qui vont faire leurs courses tout en gms est beaucoup plus mixtes et bola prêta beaucoup plus flou je crois que cabinet billau topia nous disait qu’il ya moins de 10% des consommateurs de bio qui ne vont que en magasins bio donc en fait le client y slalom cours de c2c de ses courses et effectivement ce qu’on peut regarder c’est que le bio répond dans ses modalités puisqu’il ya de plus en plus de produits transformés c’est pour ça qu’on soulignait le boom des surgelés répond aux enjeux aux besoins de praticité c’est vrai que ça aurait été dommage que la consommation de bio soit freiné parce qu’il n’y avait pas une offre de produits transformés en face et d’une manière générale le motive historique du bio c’est évidemment les pme qui sont les qui ont émergé notamment dans les années soixante dix qui étaient les plus militants les plus riches historique et qui ont tiré la croissance du bio on a vu et on a tous à l’esprit des grandes marques qu’on associait pas du tout à la notion de bio qui sont déclinés en bio des banques de grands groupes avec avec moult espaces publicitaires achetés pour le dire nous ce qu’on constate c’est quand même que le cours de la croissance de l’innovation des propositions justement praticité est le fait des pme du bio mais historique les puristes et des débuts mais aussi celles qui sont venus progressivement et qui ont converti que moi j’ai vu dans une vie antérieure commencé à développer une gamme bio et puis basculer progressivement bio réfléchir à leur approvisionnement et une approche très typique des pme qui est vraiment de réfléchir quand on fait une ratatouille en provence de très haute qualité m’a effectivement de réfléchir à avoir des courgettes du coin plutôt des courgettes espagnoles et donc c’est vraiment ça qui fait que la consommation qui est en hausse entraîne des produits transformés dans son sillage qui elle-même en traîne le les pme en traînant mm le bio donc voilà c’est un peu la spirale vertueuse que nous on voit côté agence bio l’attrait pour les pme locale et familiale était un signal à prendre en compte donc si en plus elles sont bio c’est c’la sens de la transition alimentaire en ce moment quand on l’a bien vu dans la drôme d’ailleurs je crois vous étiez donc le studio ou peindre à huy sur le budget en rose que pour les grosses masses que vous devez avoir à l’esprit et l’ agence bio c’est à la fois en gros deux millions et demi un peu plus pour le budget de fonctionnement et deux à la fois pour remplir ses missions et puis pour nos équipes donc rappelons à l’occasion de cela les missions de service public nous sommes donc un groupement d’intérêt public nos missions d’intérêt général c’est quoi c’est construire toutes proportions gardées être l’insee du vous avez l’équipe de l’observatoire là au fond c’est de collecter de d’analysé de décrypter dirt trier parce que les données parce que vous avez des données qui nous remontent par exemple d’un océan à l’autre ça peut varier quand il nous faut mettre la catégorie autres d’un océan à l’autre on est obligé de retrait et de regarder derrière donc ça c’est un travail de bénédictin qu’on mène donc ça c’est notre mission chiffres et notre autre grande mission c’est la communication la communication c’est outillés le grand public le citoyen et les consommateurs sur toutes les vertus tout l’état des connaissances sur les vertus de la bio qu’elle soit environnemental on a vu que c’était vraiment ça que les jeunes allaient dit 24 ans ou en tête quand ils se mettent à manger bio que ce soit l’impact sur la gestion des ressources sur la biodiversité sur le bien-être animal d’ailleurs le fait est que certains labels revendique d’être sans pesticides de synthèse que ce qui est un peu son associé est spontanément au bio et du coup c’est l’émergence de ces nouveaux labels ça nous aiguillonne parce qu’on se dit il ya beaucoup de choses qu’il faut porter à la connaissance du grand public qui sont le rapport au sol nous chez nous en bio les lieux mais ils sont pleins champs sont gorgés de nutriments c’est effectivement le bien être animal le la polyculture élevage qui est prévalente en bio parce que c’est ça qui donne l’autonomie des fermes et qui leur permet d’équilibrer leurs coûts puisque vous n’avez pas payé l’aliment est puni le fertilisant donc ça c’est pour la mission donnée la mission communication pour justement passer les messages qui sont le plus en résonance et qui permettent aux clients et aux consommateurs de faire leurs choix éclairé parce que quand on avait on a vu certaines études qui montrait que certains français ne comprenait pas par exemple pourquoi un produit bio était plus cher il faut du coup qu’on puisse leur donner tous les éléments pour le comprendre qu’on leur montre les coulisses donc ça c’est mission de communication on a la mission effectivement de gérer ce magnifique fonds avenir bio qui a été abondé par france relance et où on a une équipe qui est dédié on a quatre personnes qui décortique tous les dossiers qui nous arrive candidature donc le fonds avenir bio qu’est ce que c’est le temps je sais de mise et chaque euro public sur les projets les plus porteurs et les plus structurants sur le long terme des filières donc je vous disais c’est qu’on soit le garde-manger alimentaires bio en france donc on voit des entrepreneurs qui viennent avec un projet collectif où ils disent ben voila moi je voudrais faut répondre à la demande yaourt de chèvre j’ai quelque chose de hasard j’ai sécuriser les éleveurs de chèvres je sais combien je vais en convertir et les combien je vais emmener embarqué avec ma croissance g sécurisé mais débouchés j’ai besoin de vous pour financer tel ou tel bâtiment de laiteries ou tel matériel et là dessus nous équipe décortiquent avec l’ensemble du club des financeurs il ya d’ailleurs des représentants dans la salle il ya à la fois les fonds publics et les fonds privés que ça fédère et donc ça c’est notre mission formidable rongère une enveloppe de 13 millions d’euros avec notre équipe et puis on a aussi cette mission qui nous prend du temps au quotidien qui est d’être une instance de dialogue et de concertation puisque on a effectivement dans notre conseil d’administration d historique et des puristes du bio comme les sit in à 10 comme le synabio comme la fnab et puis on a des on-dit souvent que le bio de demain sont les conventionnels d’aujourd’hui donc on allait les chambres d’agriculture on a le la coopération agricole qui sont là aussi et ça nous permet par exemple de signer des contributions commune d’aligner en gros là l’équipe de france du bio d’aligner les visions de se parler au sein de l’ agence et puis par ailleurs il ya autre chose que vous devez avoir à l’esprit c’est que l’ agence année après année postulent pour des concours européens qui parfois quand on les obtient peuvent est au fait entre jeu peut-être aux alentours d’un million par an le budget de communication et là par exemple nous mettons en place est carrément l’équipe d’europe du bio nous nous mettons par exemple en partenariat avec nos homologues en belgique ou en wallonie pour promouvoir le bio en général et notamment vous n’êtes pas sans savoir qu’un nouveau règlement rentrer en vigueur au 1er janvier 2022 il est en train d’être finalisé et c’est très important de d’expliquer quel est ce les tenants et aboutissants de ce nouveau règlement c’est l’occasion de le rappeler ce que c’est que le cahier des charges en bio donc donc nous avons une bonne partie qui est allouée à la communication une bonne partie qui a alloué à la collecte des données et bien sûr la gestion qui va avec le fonds le fonds avenir bio voilà on est une 18 personnes à peu près à la halle agence une question complémentaire donc florence rabut trop vg table par rapport aux chiffres donc je reviens petit peu sur les chiffres est ce que vous pouvez nous recontextualiser un peu donc on voit bien où est en croissance chaque année voilà il ya des déchets vous l’avais dit il ya des paliers de croissance aussi est ce que je sais pas on peut on peut se reprojeter sur les cinq dernières années où je ne sais pas si c’est les dix dernières années pour justement mieux appréhender ces sauts au palier de croissance et quelque part est ce qu’il ya quand même pas eu un effet qu’ovide même même si a priori non enfin de ce que j’ai entendu alors peut-être pour pour vous éclairer un petit peu nous avons je parle sous sous contrôle de dorian qui au fond de la salle qui est un homme essieux chiffres de l’ agence nous avons doublé en cinq ans nous avons en cinq ans doubler les surfaces bio en france voilà si ça parle ainsi ça vous parle plus voilà un petit peu comment ça s’est passé sur le marché c’est la même chose et j’ai en tête alors que ça me reviennent mais aussi un 6,7 qui doit dater milliards d’euros qui doit dater 2015 ou 2016 et on est aujourd’hui à plus de 13 milliards d’euros voilà pour vous donner la dynamique pour rentrer dans le détail de est-ce qu’il ya quand même eu une influence coville ou pas c’est assez compliqué là pour vous répondre je vous avoue que c’est un petit peu compliqué pour être dans le détail fin c’est vrai qu’on on est attentif sur des éléments par exemple de vente directe mais quand vous regardez vous voyez que la vente directe grosso modo à le garde sa part de marché elle est un peu avec à la fois donc voila moi les éléments que je peux vous donner par rapport j’ai pas sûr on est dans une année 2021 qui a encore compliqué elle est encore compliqué donc on voit la rendre c’est difficile et de difficile de tirer des enseignements et on est quand même dans la construction de nos chiffres on est quand même prudent sur des chiffres partiels ont évidemment on est attentif on l’a dit tout à l’heure sur les marchés en dire attention signe par exemple sur les oeufs effectivement se posent des questions mais on est attentif quand même de regarder ça un petit peu sur un patent un peu plus longs et de façon à bien pouvoir consolider les shows ça on est très très très très attachés à cette méthode là j’ai une petite question sur la restauration collective vous avez dit que c’était là aujourd’hui votre un gros relais de croissance pour le oui pour la filière es ce que vous pouvez nous en dire un peu plus sur la façon dont vous travaillez avec les grands acteurs de ce marché pour essayer voilà d’atteindre ses 20% voilà sur quels types de produits en particulier oui alors sur la reste au coude alors simple agence bio donc nous communiquons là dessus c’est notre rôle comme comme l’a dit alors sur sur la façon dont on procède pour arriver à ces 20% on a des relais qui s’appelle les interviews notamment dans la plupart des régions françaises et qui ont mis en place des structures pour porter cette dynamique là je pense à nous une initiative de leur part qui est notamment vrai dans le sud de la france mais pas qu’eux qui s’appelle territoire bio engagez vous avez la métropole de bordeaux par exemple qui aujourd’hui livres 35 % de ces europe 1 il ya 35 % de bio dans ses repas sur 25000 euros par jour la ville de bayonne ses 68 % de produits bio à la ville de bayonne dont vous avez des initiatives de ce type là qui sont notamment portés par les interviews vous avez aussi des intérêts bio et d’autres groupements qui ont monté des plateformes parce qu’il s’agit pas de évidemment voile introduire des produits mais encore faut-il les produire sur place et encore faut-il pouvoir les distribuer avec une logistique pertinente vous avez un certain nombre de plateformes compter mise en place en france et nous on accompagne on communique on accompagne ces gens là pour pour développer vous avez tout aussi une une pédagogie quand vous voulez développer la restauration collective ya un noeud absolument essentiel qui est celui des cuisiniers il faut que vous ayez convaincu les gens que des intérêts de 10 mètres des produits bio alors voilà vous que vous arrivez à convaincre les élus tant mieux mais il ya un maillon aux techniques extrêmement important c’est un verrou il ya toute une démarche qui sont mis un petit peu partout dans toutes les régions de france je pense aux hôtes france entre autres où il ya des formations qui sont mises en place pour convaincre les cuisiniers de l’intérêt du bio et c’est intéressant parce que vous voyez des cuviers qui vous qui vous disent la même chose que ce qu’on que ce qu’on dit quand on en arrive en bio on retrouve le goût de notre métier quand en arrière agriculture et ben c’est pareil pour les cuisiniers un certain nombre de cuisiniers 10 on retrouve le goût de notre métier donc nous on accompagne tout ça de façon à arriver arriver à ces 20% votto les taux de croissance que je m’étais posé la même question que vous et on s’était fait un tableau de récapitulatif effectivement l’an dernier la une fois de plus nous on voit pas de voix que un monde de plus bio avec des gens qui veulent encore plus de bio et l’an dernier c’était 16% cette année on est à 15 % pour les taux de croissance de surfaces en bio l’année d’avant on était à 10 9% ont donc effectivement on partait aussi de très peur à la fondation de l’agencia 20 ans on avait 1 % de bio il faut bien recontextualiser qu’à l’échelle de notre alimentation c’est quand même assez récent tout ça et pour ce qui est des taux de croissance du marché on était attrait et demi l’an pour cent l’an dernier avec la restauration collective qui est la dune coup nous a fait défaut on est à 10 4 cette année et on était à 15,4 depuis 2018 donc il faut bien garder à l’esprit que en fait on est en croissance mais il ya bien un moment où on commence à avoir une taille critique n’est pas encore mais et du coup je voudrais rebondir sur la restauration collective effectivement nous on a tout un enjeu voilà à l’agencé on a une commission d’ailleurs qui est que l’on copréside avec l’association des maires de france effectivement il faut que ça puisse percolé de des élus et de ce qu’ils disent est ok on va faire du bio jusqu’à ce qu’ils vont finir par le découper dans la cuisine et donc à plusieurs axes que l’on met en oeuvre déjà il ya un outil de monitoring commun parce que c’est difficile de savoir où dessus où on en est dans les objectifs et là il ya notamment une start-up d’état qui réfléchit à un reporting commun ce que chacun sinon chaque cantine fait son fichier excel dans son coin donc il ya tout intérêt à jouer collectif là dessus il ya la traduction en fait on a ce groupe de travail à traduire en langage opérationnel on a fait vraiment de la traduction française français traduction de la loi en en réalité opérationnelle du quotidien pour quelqu’un qui gère une cantine pour l’économat pour pousser ses interlocuteurs là donc ça c’est aussi un des travaux de la commission à rio dont je vous parlais et puis il ya aussi tout un enjeu de formation de la fonction publique territoriale et donc ça il ya eu j’ai plus le chiffre en tête mais un nombre substantiel d’heures de formation dispensée à la fonction publique territoriale qui pour qu’elle puisse se saisir elle traduire au quotidien après c’est c’est vraiment de d’outiller c’est comment on fait le lundi suivant quand on se dit massa on se remet l’objectif des 20% sur sa to do list et comment est ce qu’on fait pour le traduire dans l’assiette alors sa balle à l’année 20 2020 on l’a pas chiffré on aura sans doute des chiffres en fin d’année puisqu’on est en le l’étude est en train de se mettre en place pour avoir un baromètre récurrent mais quand on en 2019 on était entre 5 et 6% de l’assiette donc c’était le fameux montant qui nous permettait de déduire que si on était à 20% on avait ce marché d’un milliard 4 qui ouvre les bras aux producteurs bio français vous avez épuisé bonjour olivier coste ils demandent du bio gourmets vous avez évoqué la réforme de la pac mais vous avez un petit peu glissé dessus ou est-ce qu’on en ait ce sujet là sachant qu’il ya un enjeu de conversion mais il ya aussi un enjeu de maintien des agriculteurs bio en place alors on a fait une contribution communale agences lors vous à vous a dit tout à l’heure que noter les étions un lieu de concertation nous avons fait une contribution commune au psn à la déclinaison française de la pax et s appelle le psn plan stratégique national avec trois éléments 1 qu’il fallait mettre l’argent ce que j’ai dit tout à l’heure pour convertir 400 à 450 milles hectares premier point je vous ai dit tout à l’heure que c’était quelque chose qui était dans les tuyaux c’est plutôt une bonne nouvelle deuxième point nous avons nous avons évoqué la question d’un pse bio nous avons souhaité que soit mise en place dans le cadre de la panne a grimpé ce bio c’est à dire un paiement pour service environnemental affecté au bio pour les aménités positif du bio vous savez tous je vais pas rentrer dans les détails si vous voulez jouer où je vous indiquerai tout à l’heure mais en tout cas que l’agriculture biologique et les vertueuses pour la protection de l’eau pour la protection de l’air pour la protection de la biodiversité et pour le changement climatique ça vous laisse vous le savez et il ya une boutique s’appelle les pse paiement sur plan services environnementaux qui sont déjà mis en place dans certaines agences de l’eau d’ailleurs et on voulait que ce soit quelque chose qui soit inscrit dans le cadre de la pac ça c’était la deuxième le deuxième point que nous avions évoqué ensemble signé par quatre familles l’apc à la fnab lé synabio et les coop de france et puis le troisième point c’est que nous souhaitions que les aides soient cumulatif des producteurs bio puissent avoir accès par exemple à des aides concernant la biodiversité ou à toi à tout cet ace qui n’est aujourd’hui pas le cas dans le cadre du 2e pilier de la pac vous pouvez pas forcément cumuler les aides c’était c’était notre revendication alors je n’ai pas vocation à commenter commenter ce que les décisions politiques par contre ce qui me ce qui me chagrine ce qui me chagrine vraiment moi qui fais suivent depuis 25 ans en bio c’est que nous avons des défis immenses devant nous qui sont changement climatique et la biodiversité qui vont impacter l’agriculture bio comme pas bio d’ailleurs et nous sommes devant une politique publique au jour d’aujourd’hui qui n’est pas à la hauteur de ses deux saisons je la mets qu’ils ne l’aient franchement pas qu’ils ne l’aient franchement pas ni en france ni en europe moi je suis inquiet moi je suis inquiet parce que mes enfants mes petits enfants demain auront une dette climatique qui va être compliquée qui va être plus compliqué que la dette financière parce que la dette financière c’est un peu le gérer entre nous entre humains on peut gérer une dette financière quand on aura été dans des trucs irréversible demain et ben comment ils vont faire nos enfants et nos petits-enfants et là les politiques sont pas là et la pac n’est pas là là dessus voilà ce que je peux vous répondre et moi je suis pas content ça fait 25 ans je me bats si je vais arracher des chardons à la main dans mes champs je le fais je le fais avec mes enfants cette semaine s’il ya des gens qui vont arracher de l’herbe à la main dans des carottes ou c’est plus facile d’admettre un produit je vous le dis eh ben ça mérite mairie de rémunération ça mérite un soutien ça mérite qu’on les défende voilà ce que je peux vous dire sur la pac donc le combat continue quoi mais bien sûr plus que jamais s’il vicariat du journal les marchés est-ce que vous pouvez donner des idées des échanges entre la france et l’allemagne donc quel type de produits et dans quel sens sont échangées et comment ça évolue alors moi je suis la région grand-est connais un petit peu les échanges qui peut y avoir avec nos voisins où on est on est on est plus près de l’allemagne que de la bretagne peut vous donner c’est alors en termes de flux c’est parce qu’on a à l’agencement pouvait éventuellement vous faire suivre un certain nombre de chiffres ou peut-être qu’il y en a déjà mais ce que je peux vous dire ce qui se passe chez nous c’est que nous avons un flux d’exportations en allemagne notamment en terme de main et en termes de fromage là comment ça se passe au jour d’aujourd’hui et puis après vous avez des flux entre régions c’est à dire que nous nous sommes je vais prendre l’exemple de ma coopérative nous allons faire fabriquer du malt en allemagne mais j’ai envie de dire si on travaille avec des étrangers mais qui ne me qui ne nous sont pas étrangers donc voilà il ya des flux on va dire régionaux majorité des producteurs de légumes qui sont adhérentes violent de viande c’est une marque allemande très connue en matière de produits bio et vous avez des frontaliers qui sont qui sont sur cette marque là on a on a un fluide ans plus tôt dans ce sens là après les produits allemands vendus en france j’avoue que là je sèche un peu sur ce sujet là il y en a sans doute qu’ils avaient par un moment mais c’est ça a disparu il y avait des céréales il ya un flux de céréales ou la france importait des céréales mais ça c’est du temps anciens donc c’est révolu alors il ya des échanges moi je pense à des meuniers qui viennent acheter de l’épeautre en france par exemple mais c’est des petits marchés mais c’est vrai que c’est intéressant votre question intéressante et c’est vrai qu’on on serait intéressant qu’on voit autant autant on a une idée du flux entre l’espagne et la france on sait très bien qu’un certain nombre de légumes espagnols bio qui viennent en france autant avec le flux avec nos amis allemands e on le connaît sans doute un peu moins [Applaudissements]

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