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Quel organe est responsable de la peur ?

Quel organe est responsable de la peur ?

Quel organe tristesse ? La tristesse (You) est associée au Poumon. Les soucis (Si) sont associés à la Rate/Pancréas. La peur (Kong) est associée aux Reins.11 janv. 2021 Comment se débarrasser de sa peur ? Comment se libérer de ses peurs ? Où se situe la peur dans le cerveau ? Ils se situent dans une région du cerveau nommée complexe amygdalien (ou amygdale), structure composée de plusieurs noyaux connue pour être le siège de la peur. L’amygdale est au centre du circuit cérébral de la peur.26 nov. 2010 Comment faire pour lutter contre la peur ? Rester positif en prenant du recul sur la situation et en se concentrant sur les aspects positifs de sa vie et sur chaque effort qui aide à surmonter sa peur ; Lâcher prise en évitant de vouloir contrôler à tout prix sa peur et en prenant conscience qu’il est impossible de tout prévoir ni d’avoir la main sur tout.22 août 2019 Comment se débarrasser de la peur ? Le traitement essentiel de la phobie est la psychothérapie, notamment thérapie cognitive et comportementale (TCC). Certains médicaments peuvent être utilisés, mais ils sont secondaires par rapport à la psychothérapie.

Comment vaincre la peur ?
Quelle partie du cerveau gère la peur ?
Quel organe est touché par la colère ?
Quelles sont les 7 émotions ?
Quel est le meilleur antidépresseur pour l’anxiété ?
Comment vaincre la peur et l’angoisse ?
Comment faire pour ne plus avoir peur ?
Pourquoi on a peur ?
Quels sont les effets de la peur ?
Pourquoi j’ai toujours peur de tout ?
Est-ce que la peur se soigne ?
Quel est le nom de l’hormone du stress ?
Quelle émotion liée au foie ?
Est-ce que la fatigue est une émotion ?
Est-ce que le stress est une émotion ?
Quel est le trouble anxieux le plus grave ?
Comment se sent une personne anxieuse ?
Comment guérir de ses peurs ?
Qu’est-ce qui se cache derrière la peur ?
Quel besoin se cache derrière la peur ?
Comment faire pour se débarrasser de la peur ?
Comment de plus avoir peur ?
Comment savoir si on est épuisé mentalement ?
Pourquoi je me sens si vide ?
Quelles sont les maladies causées par le stress ?
Quelle type de thérapie pour gérer ses émotions ?
Comment faire pour vaincre la peur ?
Où vient la peur ?
Quand le corps ne supporte plus le stress ?
Comment mettre mon cerveau au repos ?
Quand les émotions sont bloquées ?
Comment rester neutre dans la vie ?
Comment faire pour ne plus avoir d’angoisse ?

Comment vaincre la peur ?

Rester positif en prenant du recul sur la situation et en se concentrant sur les aspects positifs de sa vie et sur chaque effort qui aide à surmonter sa peur ; Lâcher prise en évitant de vouloir contrôler à tout prix sa peur et en prenant conscience qu’il est impossible de tout prévoir ni d’avoir la main sur tout.22 août 2019

Quelle partie du cerveau gère la peur ?

Dans le cerveau, l’amygdale, notamment son noyau central (en vert) et son noyau latéral (en blanc), sont le siège des réponses comportementales de peur. Des circuits neuronaux spécifiques dans ces noyaux interviennent soit dans l’apprentissage de la peur, soit dans son expression.26 nov. 2010

Quel organe est touché par la colère ?

La colère lèse le foie. Il est l’organe en relation avec la colère. Lorsque l’énergie du foie est faible, il y a des colères fréquentes. Lorsque l’énergie des Reins est faibles, l’énergie du foie peut s’affaiblir, il y a plus de colères, on parle de montée de l’énergie yang du foie.10 févr. 2020

Quelles sont les 7 émotions ?

Les émotions primaires (ou dites « de ba- se») peuvent être observées chez la plu- part des vertébrés. Leur nombre varie se- lon les études, cependant on en retient généralement six : la joie, la surprise, la peur, la colère, le dégoût et la tristesse (une septième émotion, le mépris, est parfois ajoutée).

Quel est le meilleur antidépresseur pour l’anxiété ?

Trois antidépresseurs ont récemment démontré leur efficacité dans l’anxiété généralisée: la venlafaxine, la paroxétine et l’escitalopram.

Comment vaincre la peur et l’angoisse ?

Six techniques pour surmonter ses angoisses

Comment faire pour ne plus avoir peur ?

La peur est comme l’excitation, mais sans la respiration. Le fait de bien respirer va donc atténuer les sensations et sentiments qui nous font perdre le contrôle. Le plus : Faire un pas de côté pour prendre de la distance est un petit rituel, une démarche psycho-corporelle très forte.22 mai 2014

Pourquoi on a peur ?

Dans le cas de la peur, cela passe par la libération des hormones du stress : la noradrénaline et l’adrénaline. Une fois relâchées dans le cerveau et dans le sang, elles entraînent la modification des paramètres physiologiques du corps, le préparant à agir.9 mars 2020

Quels sont les effets de la peur ?

La peur devient parfois inconsciemment de plus en plus grande et, plus vous vous battez contre elle, plus elle devient menaçante. Votre organisme se tend et l’angoisse devient difficilement contrôlable. Les conséquences sont les suivantes : maux de tête, douleurs abdominales, baisse du niveau d’énergie.

Pourquoi j’ai toujours peur de tout ?

La pantophobie, ou « peur de tout » est souvent associée à un état dépressif. Cette phobie, qui touche plutôt les hommes, est liée à un manque de confiance en soi et peut trouver sa source dans un traumatisme soudain et violent (deuil, accident).3 nov. 2016

Est-ce que la peur se soigne ?

Le traitement le plus efficace des phobies simples consiste en une thérapie comportementale et cognitive (TCC). Avec l’aide d’un professionnel formé, médecin généraliste, psychiatre ou psychologue, vous apprendrez petit à petit à vous confronter aux situations qui vous font peur.30 sept. 2022

Quel est le nom de l’hormone du stress ?

Lorsque nous percevons quelque chose de stressant, il s’ensuit une cascade d’événements biologiques. Il en résulte la sécrétion d’hormones du stress, tels l’adrénaline et le cortisol.

Quelle émotion liée au foie ?

Selon la médecine traditionnelle chinoise, le foie est associé à la colère et à la frustration. Il faut entendre la colère au sens large du terme qui englobe de nombreuses émotions telles que l’irritabilité, l’agressivité, l’impatience, la rancoeur, l’énervement, l’amertume, la haine, le ressentiment, la rage…30 juin 2017

Est-ce que la fatigue est une émotion ?

Grâce à toutes ces données le cerveau se préoccupe de nous tenir ou plutôt de maintenir notre équilibre vital et crée de la fatigue qui selon Timothy Noakes devient une émotion plutôt qu’un événement physique.

Est-ce que le stress est une émotion ?

Le stress, anglicisme signifiant “tension” issu du latin stringere (“mise en tension”) n’est pas une émotion ni un sentiment mais une réaction biologique et psychique, spontanée, naturelle, en cascade, de l’organisme face à son environnement.

Quel est le trouble anxieux le plus grave ?

L’anxiété généralisée ou trouble anxieux généralisé Elle est en état de vigilance extrême vis-à-vis de son entourage et de son environnement ; différents symptômes physiques (maux de tête, douleurs musculaires, fatigue, insomnies, sueurs, palpitations…).1 juil. 2022

Comment se sent une personne anxieuse ?

L’anxiété se manifeste par un sentiment diffus d’inquiétude qui a des répercussions négatives sur le quotidien. La personne anxieuse est fatiguée, irritable, a du mal à se concentrer et se sent incapable de contrôler les situations qui se présentent.10 déc. 2021

Comment guérir de ses peurs ?

Rester positif en prenant du recul sur la situation et en se concentrant sur les aspects positifs de sa vie et sur chaque effort qui aide à surmonter sa peur ; Lâcher prise en évitant de vouloir contrôler à tout prix sa peur et en prenant conscience qu’il est impossible de tout prévoir ni d’avoir la main sur tout.22 août 2019

Qu’est-ce qui se cache derrière la peur ?

La peur est un sentiment qui accompagne la prise de conscience d’un danger ou d’une menace. Grâce à ce sentiment, le cerveau réagit instantanément en donnant les commandes nécessaires au corps physique afin que ce dernier soit en mesure de faire face à la situation qui représente un danger, une menace.

Quel besoin se cache derrière la peur ?

Expression émotionnelle et besoins Une autre lecture est possible: derrière l’émotion se cache l’expression d’un besoin. La peur exprime par exemple un besoin de sécurité, la colère un besoin de respect et de considération, la tristesse un besoin de réconfort et la joie un besoin de partage.3 sept. 2019

Comment faire pour se débarrasser de la peur ?

Comment se libérer de ses peurs ?

Comment de plus avoir peur ?

La peur est comme l’excitation, mais sans la respiration. Le fait de bien respirer va donc atténuer les sensations et sentiments qui nous font perdre le contrôle. Le plus : Faire un pas de côté pour prendre de la distance est un petit rituel, une démarche psycho-corporelle très forte.22 mai 2014

Comment savoir si on est épuisé mentalement ?

En résumé vous pouvez ressentir :

Pourquoi je me sens si vide ?

Se sentir vide est associé à la tristesse, à la peine. Ce sentiment est souvent dû à une rupture du quotidien, comme nous l’explique Joëlle DENOYER, notre psychologue. On peut alors ressentir l’abandon, la solitude et une sensation de rejet. Un sentiment qui se situe dans le ventre et le thoraxe.8 juin 2020

Quelles sont les maladies causées par le stress ?

Acnés, urticaire, psoriasis, eczéma ; Troubles digestifs, ulcère de l’estomac ; Asthme ; Migraine….Le stress : des conséquences multiples

Quelle type de thérapie pour gérer ses émotions ?

La thérapie centrée sur les émotions (TCE) est un type de thérapie validée de façon empirique et qui aide les gens à identifier, vivre, exprimer, accepter, réguler, comprendre et transformer une large gamme d’émotions.

Comment faire pour vaincre la peur ?

Rester positif en prenant du recul sur la situation et en se concentrant sur les aspects positifs de sa vie et sur chaque effort qui aide à surmonter sa peur ; Lâcher prise en évitant de vouloir contrôler à tout prix sa peur et en prenant conscience qu’il est impossible de tout prévoir ni d’avoir la main sur tout.22 août 2019

Où vient la peur ?

Dans le cas de la peur, cela passe par la libération des hormones du stress : la noradrénaline et l’adrénaline. Une fois relâchées dans le cerveau et dans le sang, elles entraînent la modification des paramètres physiologiques du corps, le préparant à agir.9 mars 2020

Quand le corps ne supporte plus le stress ?

On l’appelle burn out, ou syndrome d’épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.23 janv. 2014

Comment mettre mon cerveau au repos ?

Il est parfois difficile de calmer ses pensées, mais il existe des astuces pour apaiser le cerveau et venir à bout des insomnies.

Quand les émotions sont bloquées ?

Le stress émotionnel, comme celui provoqué par les émotions bloquées, n’est pas seulement lié aux troubles mentaux, mais aussi à des problèmes physiques comme les maladies cardiaques, les troubles intestinaux, les maux de tête, l’insomnie et les troubles auto-immunes.19 janv. 2022

Comment rester neutre dans la vie ?

Voici quelques façons de rester neutre.

Comment faire pour ne plus avoir d’angoisse ?

7 conseils de psychiatres pour vous aider à gérer votre angoisse


pour introduire sujet tout simplement d’abord essayé d’acheter à cette notion de peur qui si on en croit raymond aron nous disait que c’était une notion sous politique c’est à dire que ben voilà elle n’avait pas la vertu des grands concepts philosophiques et que a priori elle était un petit peu quantité négligeable chez les philosophes chez les théoriciens souvent les philosophes lui ont préféré la notion d’ angoisse parce que ça renvoyait effectivement à la notion de l’existence à savoir la bise d origine le sens de la vie et que cette notion de peur était déconsidérée parce que elle s’apparentait en réalité un sentiment une émotion d’abord à quelque chose un petit peu plus physique d’ailleurs vous en douter mais la peur se manifeste par des traits physiques tels que les frissons tels que des sursauts et puis dans le domaine de l’irrationnel c’est à dire finalement une notion qu’on maîtrise pas qui nous dépasse qui même parfois nous gouvernent et contre laquelle on ne peut rien donc la peur ça a été un petit peu un impensé politique ou que philosophique et ça semble être une notion en soit pas tout à fait prédominante dans les réflexions passé et contemporaine al’inverse la politique si on intègre dans sa notion philosophique et dans sa notion complexe et la plus noble on pourrait la définir comme étant finalement ce qui est l’objectif de notre constitution la vème république depuis 58 à savoir d’un côté l’organisation des pouvoirs donc gérer le rôle des institutions entre elles à savoir l’ exécutif législatif judiciaire le parlement le gouvernement et cetera et puis également il faut pas l’oublier le rôle du politique en dehors de faire vivre la cité la police s’est également de proposer des symboles et des valeurs de gouverner les imaginaires et pour ça en l’occurrence pour ce qui nous concerne en france actuellement sous la vème république les grands idéaux types de liberté d’égalité de fraternité mais également tout ce qui concerne le bloc de constitutionnalité et qui s’apparente donc à une grande liberté fondamentale donc le politique d’un côté c’est cette capacité de gérer la cité dans ses dents sont dans son acception la plus noble et dansons dans sa globalité et al’inverse la peur une sorte d’émotion primaire première instinctif physiques propres à chacun qui d’ailleurs nous amènerait ci ont tiré ce film individualiste et subjectif vers l’idée de phobies en fait tout simplement chacun ayant ses petites peurs tranquille c’est petit faux billets en quelque sorte et donc ça ne concernerait que le freudisme et toutes les théories psychanalytiques bon bah nous l’objectif est avec vous moi l’objectif c’est de vous proposer de réconcilier ces deux notions de voir comment elles communiquent puisqu’en réalité loin d’appartenir à des mondes à des catégories ou à des concepts opposés elles sont intimement liés qu’on le veuille ou non historiquement et de manière contemporaine alors justement en arrive à ce point je vais je vais vous montrer que la peur est au service du politique en deux grandes parties qui va structurer on va dire la réflexion d’un côté les deux premiers points qui concerne donc la peur aux fondements de l’état et les instruments des régimes politiques pour vous montrer que la peur en réalité est au fondement du fait politique voire même de l’état et puis dans un deuxième temps allez un petit peu plus une réflexion contemporaine actuelle en se demandant si nous vivons actuellement dans la peur et on intégrera donc des dimensions de réflexion très très actuel autour de trois thématiques centrales en lien avec la société du risque que sont bien évidemment les questions environnementales les questions sanitaires et également les questions de sécurité terrorisme donc voila un petit peu l’idée d’abord un recours un petit peu plus philosophique et historique et progressivement des engins peut plus contemporain alors pour vous démontrer que que la peur est au fondement du politique il faut d’abord revenir un petit peu à ce qu’a été la politique notamment dans l’antiquité et au moyen-âge le la politique avait pour objectif d’abord de s’inscrire dans une recherche de la vertu c’est à dire d’abandonner lévis les principes les bases instincts humains et de proposer au contraire un idéal alors l’idéal chevaleresque par exemple dans une vision un peu romantique du moyen-âge et cet idéal chevaleresque finalement postuler que la peur était une mauvaise passion qu’il fallait complètement relégué notamment parce que le pouvoir politique n’était pas autonome du pouvoir religieux c’est à dire que le religieux influent et regarder parfois même maîtrisé le politique le roi étant par exemple le lieutenant de dieu sur terre donc il est à la fois observée par ses contemporains par le peuple mais également par dieu et que les mauvaises passions sont à proscrire voir ne doivent pas guider la réflexion politique le sociologue webber en fait tu parles de ce qu’on appelle les types de conviction donc à cette époque c’est bien les principes moraux qui guide l’action politique voire guide les existences les philosophes antiques réfléchir à la notion peur et ils vont se dire c’est une mauvaise passion contre laquelle il faut lutter au nom de son antonyme de son opposé que serait le courage le courage patriotique chez aristote ou justement un autre mauvaises passions la témérité donc on avait cette impression que la peur il fallait s’en débarrasser et qu’elle n’avait pas sa place ou du moins qu’il fallait la reléguer le maximum possible bon la modernité politique c’est à dire la moderne et qui commence avec la renaissance et qui s’imprime historiquement avec la révolution française on va nous faire changer le monde elle va entrevoir la peur cette émotion et va plus que l’entrevoir va décider de la manipuler et de l’utiliser alors pour quelle raison grâce à un grâce à un homme un homme dont vous connaissez forcément le nom puisqu’il ya un adjectif courant de la langue française a été tirée de cette personnalité c’est machiavel qui a donné donc qu’est ce que ça signifie que machiavel en fait décide de rendre autonome le politique du religieux est en quelque sorte lui propose cette fois-ci d’utiliser la peur pour gouverner alors la peur entre hop parce qu’en réalité machiavel écrit à travers le prince en fait une oeuvre de conseil aux gouvernants notamment en italie et leur dit vous pouvez utiliser de dollar us vous pouvez utiliser la peur pour faire valoir l’intérêt politique et surtout pour vous maintenir au pouvoir alors on pourrait caractériser macarel un peu facilement de cynisme politique on pourrait réduire ce bouleversement comme étant finalement l’application du de l’adage selon laquelle la fin justifie les moyens quelque sorte et bien c’est en partie vrai puisque c’est une pensée pragmatique on sort de cet idéal chevaleresque on sort de cette idée que la peur est à proscrire pour rentrer dans un modern hits et qui rend le pragmatisme et la survie collective comme étant prédominante alors au secours de de cet auteur la digression sera pas trop longue mais elle est importante pour appris comprendre les enjeux de terroristes pour comprendre et des raisonnements un peu plus contemporain il faut bien voir que un autre auteur va venir un peu au théorisé machiavel et va venir expliquer la raison pour laquelle l’eau le le roi où le gouvernant le prince se doit d’utiliser la peur tout simplement up nous dit les hommes sont naturellement mauvais ils sont faits pour s’entretuer c’est notre peau logis négative très rythmée par les guerres de religion de l’époque est finalement le seul moyen qu’on a pour que les hommes ne s’entretuent pas et n’est pas un sentiment de défiance et de peur permanente notamment la nature c’est de mettre en place une institution vers laquelle ils vont transférer à la fois leur violence et à la fois transféré leur souveraineté up nous propose de mettre en place l’état l’appel léviathan et ce léviathan va donc avoir la possibilité d’user de la ruse d’user de la peur pour justement éviter que les hommes entre eux n’ait peur et se fasse violence tout simplement une manière concrète il s’agit pour nous d’éviter de d’avoir une violence inter individuel avec votre voisin de palier ou avec quelqu’un vous croisez dans la rue tout simplement parce que vous avez une certaine défiance certaine peur à l’égard de l’état est son bras armé qui est d’un côté la police et de l’autre par la suite la justice donc finalement on a transféré cette peur on a utilisé cette lâcheté humaine et cet aspect querelleurs qu’ont les hommes entre eux au profit de la mise en place de l’état est d’ailleurs weber nous définir à l’état comme étant une institution qui a le monopole de la violence légitime et comme son nom l’indiqué c’est le seul le monopole qui peut imprimer de la violence et de la peur à l’égard des populations pour éviter que les hommes entre s’entretuent et qu’il vive selon la loi du plus fort et qu’on puisse régner dans une certaine paix civile ou une certaine concorde donc on voit bien que cette justification à la mène à dire que l’état s’il est trop fort risque certes de nous écraser mais que pour autant sans lui les hommes sont rien et que les sociétés humaines ne peuvent pas vivre entre elles cette théorie de up c’est de machiavel de manière un peu plus concrète pour vous la représenter on pourrait l’illustré par le patriot act américain c’est de dire certes les états unis où certains gouvernements ont mis en place des mesures qui visent à créer un état de surveillance de suspicion sur des communications mais tout ça au nom de la lutte contre le terrorisme c’est à dire du risque de dilution et de dissolution de notre société on peut restreindre les libertés on peut faire vivre les populations dans un état de peur relative puisque en réalité cela permet de vivre tous ensemble et d’éviter la fragmentation de la société donc cette ce cynisme ce pragmatisme politique qui prend des formes différentes en fonction des époques il est encore présent et guides en partie lusage que fait le politique de la peur pour pouvoir gouverner les populations et pour pouvoir permettre la concorde collective dont ici on vient de comprendre que la peur avait un lien direct avec nos institutions avec l’état et avec ce qui constitue donc la loi ou tout simplement qui nous permette de vivre ensemble le la deuxième étape de la réflexion c’est se demander si le politique où il se base sur la peur mais de savoir si tous les régimes politiques dans leur fonctionnement quotidien font usage de cette émotion ou manipulent cette émotion humaine pour pouvoir asseoir leur pouvoir pour pouvoir tout simplement gouverner alors manière un petit peu évidente ou simpliste on pourrait se dire que les régimes totalitaires et autoritaires se caractérise par un usage de la peur et puis que al’inverse les régimes démocratiques eux ont recours à des vertus beaucoup plus noble 1 à des émotions et des idéaux types comment il est exposé en introduction beaucoup plus proche des libertés humaines alors on va faire un petit point rapide parce que pour le coup je pense que ça semble assez évident on peut analyser rapidement comment les sociétés autoritaires et totalitaires plus de la peur au quotidien elle use de cette peur au quotidien à travers trois expressions et trois idées la première est la plus évidente c’est bien évidemment une peur de l’état contre les citoyens c’est à dire que ce principe fondamental de pop à kelly pour intimider le peuple pour créer en lui la concorde le régimes totalitaires et autoritaires va pousser ce curseur en disant que plus que de l’intimidation pour la concorde c’est de l’intimidation pour pouvoir contrôler son existence et surveiller son existence dans la totalité cette cette pression elle passe par de nombreux acteurs on connaît un que sont les polices politiques alors ça peut prendre l’aspect de la guépéou en l’air soviétique ça peut prendre dans évidemment le l’aspect de la gestapo de llovera en italie fasciste toutes les modalités sont possibles pour faire de cet état de surveillance est et a finalement big brother une sorte d’intimidation et de peur perpétuelle à l’égard des populations c’est intéressant de voir qu’au si cette peur elle est véhiculée entre les populations entre elles c’est à dire qui est un phénomène d’auto surveillance une société de la délation on pense bien évidemment au rôle qu’a pu avoir comité de salut public sous la période robert peary ce qui incite et finalement les gens à dénoncer leurs voisins c’est à dire à vivre dans l’intimidation et la peur perpétuelle afin d’établir en fait un contrôle social on pourrait aller un petit peu plus loin pour analyser le rôle de la peur dans les fonctionnements totalitaire en reprenant la réflexion de dana à rennes qui apporte le trouve un éclairage assez intéressant puisque elle se questionne en se demandant finalement est-ce que les dignitaires nazis moment notamment du procès eichmann sont en soi des êtres mauvais guidés par le mal et qui correspondrait à une forme de monstruosité contemporaine allen réponse à cette cette réflexion qui est l’expression de la banalité du mal et en fait elle explique que ce ne sont pas des individus qui sont en soi mauvais au monstrueux bien que je relativise elles indiquent qu’ils soient responsables eux mais ce sont également des individus qui participent à une société de la peur à une cascade pyramidale de la peur où chacun est à la fois bourreau et victime alors ce qui je le répète ne remplit pas une dilution de la responsabilité et permet de comprendre que finalement les sociétés autoritaires et totalitaires ou un fonctionnement permanent de l’aps sur la base et sur la peur et que chacun finalement en fonction de sa situation et son rôle dans la société est amené à reproduire cette peur pour pouvoir se maintenir pouvoir exister pour pouvoir évoluer c’est donc un problème systémique et non on va dire une psychologie ou une psychanalyse des dignitaires nazis qui expliquerait leur rapport au totalitarisme et leur rapport à la destruction en quelque sorte donc voilà ce qu’il en est pour les régimes totalitaires c’est assez on va dire évident mais on peut voir qu’il ya quand même des subtilités pour bien comprendre l’omniprésence de la peur dans ces régimes et on peut d’ailleurs réfléchir à cette idée un peu aussi contemporaine de savoir si des régimes politiques contemporains à utilisent cette délation cette crainte de tous contre tous en permanence pour pouvoir justement gouverner par la peur on y viendra un tout petit peu plus tard là le troisième point est donc que je voudrais aborder en lien avec cet usage de la peur en politique c’est également de questionner le rapport des régimes démocratiques et libéraux a priori ici on va plutôt se tourner vers la france en l’occurrence au 19e ou 20e siècle qui à la fois se caractérise par des régimes plus ou moins autoritaire en fonction des époques mais globalement est entré en même temps qu’un grand nombre de pays occidentaux dans un processus de libéralisme politique ici on va quand même voir que la peur est présente qu’elle est présente historiquement de deux manières elle est présente tout d’abord de la part d’une certaine forme d’élite à l’égard du peuple et réciproquement une peur de la part des élites de la part du peuple pardon à destination des élites pour qu’elles pour quelles raisons en réalité il faut bien comprendre et c’est du pirée qui nous explique sa queue une grande partie du régime des régimes libéraux et démocratiques sont basées sur une opposition stricte entre l’élite et le peuple alors dans la lecture marxiste ça donnera bien évidemment d’un côté la bourgeoisie de l’aude le prolétariat dans une lecture un peu plus républicaine y aura les puissants et les le peuple et les gouvernés donc quelles que soient terminologie employée on a quand même cette séparation stricte du gouvernant et du gouverner et on peut analyser cette séparation stricte non pas sur un principe de fonctionnalité politique pour que ça marche il faut que les deux soient séparés on peut l’analyser en réalisant qu en réalité l’élite a construit cette séparation avec le peuple l’a assigné 1re de production ou de vote épisodique dans les démocraties les plus avancées eux parce que justement le peuple se le gouvernement se méfier du peuple qu’ils avaient peur du peuple il ya ce qu’on appellerait une agoraphobie politique le peuple est considéré dans cette lecture et on retrouve effectivement dans la construction de la république notamment de la troisième république selon cette idée sur laquelle le peuple serait motivé par deux émotions majeurs que sont la colère et la peur et qu’il faudrait se méfier de ce qu’on appelle alors non plus le peuple ou le demos puis ce qu’on appelle la plèbe c’est à dire cette masse informe totalement irrationnelle qui ne peut pas choisir raisonnablement et en conscience et qui donc doit céder sa souveraineté populaire au profit de ce qu’on appelle une souveraineté nationale c’est à dire au profit d’une élite qui sait mieux qui s’est pensée et qui sait prévoir on a une logique en fait un peu élitiste un peu aristocratique voir aujourd’hui technicienne il ya ceux qui maîtrisent les débats et qui donc peuvent gouverner puis à ceux qui ne comprennent pas bien qui sont manipulables et dont il faudra alors les écarter du fait politique et du rôle politique bon on voit bien que ça ça a rythmé une grande partie de l’élite républicaine et des régimes libéraux 1 malgré les avancées libéral certaine qu’on pu apporter ces régimes notamment pour réduire l’incertitude dans laquelle vivaient les populations notamment en termes de confort matériel ont permis l’état providence est permis des systèmes de sécurité sociale qui ont bien évidemment réduit la peur quotidienne pas dans les régimes totalitaires et autoritaires qu’ont expliqué précédemment mais pour autant il ya cette défiance il ya cette assignation est ce rapport un petit peu permanent de peuples d’ailleurs pour faire un petit peu de digression contemporaine on se doute bien on voit bien que de l’actuel président de l’acro depuis le début de son mandat a subi des vagues de contestation de la réforme des retraites en passant par les jeunes jusqu’à la contestation du pass sanitaires et qu’ il a une certaine peur du peuple et même en partie peut-être une peur physique notamment par les dernières dernier actualité qui l’ont vu menacer sa son intégrité donc on voit que cette agoraphobie politique ali présente dans les régimes libéraux et démocratiques et on peut réfléchir aussi à linverse en voyant que le peuple à l’égard des éditos s’y développe une certaine défiance ou que moins un discours populiste se base dans les démocraties sur cette peur et cette crainte de l’élite qui pour le coup apparaît comme corrompu rythmée par ses ambitions et donc dont il faudrait perpétuellement se méfier voir se défier voire possiblement transformer cette peur et ce sentiment de honte de colère en révolution effective on va pas rentrer là dedans mais il y aurait quelque chose à creuser sur justement le rôle que peut avoir la peur pour permettre un processus révolutionnaires manipulés par des démagogues ou non d’ailleurs enfin pour conclure cette parenthèse sur le libéralisme un auteur que je vous présenterai à la fin du bio corbineau enfin nous permet de penser et de distinguer deux choses la démocratie et la société libérale prévoit dans la séparation des pouvoirs un processus législatif une légalité mais ne dira en rien que cette légalité ne sera pas appliquée par l’intimidation et la peur il ya une des multiples citer d’exemple encore contemporain d’ailleurs qui prouve que le la loi peut être légal elle peut être le fruit d’un processus électoral voire même d’un processus de participation directe politique du peuple mais qu’elle peut pour autant s’appliquer par la peur je prendrai pour exemple en août un article là qui expliquait que notamment pendant le confinant un certain nombre de drones étaient là pour surveiller les populations et pour en appeler à ce que à ce qu’elle rentre que je les aide dans le cadre du confinement et cet article expliquer que finalement ce drone avait pour rôle d’être une intimidation puisque chaque individu avait peut-être une bonne raison d’être dehors avec le phénomène d’attestation ça a été légalement en droit d’avoir recours à sa liberté de mouvement mais que le drone était là pour intimer une pression politique intime et une peur et en rien décidé et pouvoir discerner du bien fondé de la présence des individus donc la peur peut s’exprimer la peur peut être un moyen pour appliquer des lois même si dans leur principe elles sont peut-être bénéfique pour la collectivité est pour et pour la globalité donc voila un petit peu cette première partie que je voulais conclure un peu conceptuel un petit peu un petit peu théorique mais pour vous montrer que la peur et non pas seulement un principe personnel et émotionnel elle est au fondement de la construction de nos institutions et même de l’idée même d’état ce qui caractérise la modernité politique finalement dans laquelle nous vivons et que plus encore aujourd’hui elle est un instrument au service bien évidemment parfois des idéologies totalitaires qui a buzzé qui compte qu’ils font de la peur system un système de deux modes de vie des populations mais également des sociétés plus libérales et démocratiques qui ont recours parfois l’intimidation voire même parfois à des dictatures libéral pour reprendre certaines situations en amérique latine pour imposer leur despotisme et qui est en quelque sorte donc voilà pour cette pour ses trois premiers points je vais maintenant passer à une réflexion un petit peu plus en lien avec la situation que nous vivons et le monde dans lequel nous nous évoluions alors pour quelle raison ce que je veux dire précédemment s’applique un petit peu moins il est il ya encore applicable il permet encore de penser la peur politique pour autant on peut considérer que l’occident où la france en ce qui nous concerne a changé d’époque elle est sortie de la modernité pour rentrer dans ce qu’on appelle la postmodernité cette post modernité est le roi les cartes et elle nous présente cette fois ci non plus la peur comme étant un objet une émotion que une élite ou peu des populistes ou que des individus sont capables rationnellement de manipuler elle nous fait rentrer dans une ère qui fait de la peur un système permanent c’est à dire ce qu’on appelle une société du risque nous vivons tous en permanence dans la post modernité à l’heure de l’incertitude de la menace du risque du danger aussi bien dans l’acte de gouvernement mais plus encore dans notre vie de tous les jours et ça c’est intéressant puisque du coup le politique va devoir se repositionner vis-à-vis du sentiment de risque de sentiments de peur que nous vivons au quotidien et donc proposer une nouvelle politique en fonction de ça c’est ce qu’on va analyser ensemble alors la société du risque pour vous là pour vous la présenter même si c’est celle dans laquelle on évolue selon des ouzbeks et pour qu’elles soient tangibles elle le considère que tous les objets qui nous entourent sont potentiellement facteurs de risque et de menaces porno ça passe aussi bien par notre alimentation que par les produits que nous utilisons par l’endroit où nous habitons le lieu où nous travaillons on est rentrés dans l’ère de la gestion du risque au travail la gestion du risque au domicile la gestion du risque à tous les étages cette gestion du risque elle est omniprésente parce que elle est paradoxalement absente invisible et c’est le principe même du risque le risque est une potentialité non acté le risque n’est pas encore avéré un sinon sa sinistre en quelque sorte c’est un rôle de l’imaginaire qui projette quelque chose qui pouvait arriver qui n’est pas et cette société du risque allait décupler finalement par aussi le fait que ces risques soit invisible ce soit par des produits chimiques dans l’alimentation que ce soit par dépôt lui par des phénomènes de pollution eu un ensemble comme ça délai d’éléments que l’on peut ressentir dont on peut subir les effets mais qui au quotidien ne sont pas perceptibles par nos organes et notamment par les organes humains à partir de là finalement on voit bien que l’enjeu du politique ne va plus être comme ça l’était auparavant de gérer des questions propres aux grands idéaux de justice de répartition de la richesse mais vont être de traités justement du risque et du risque qui touchent à des enjeux surtout sociétaux de plus on voit que cette société du risque qu’elle va abolir complètement l’idée d’une société de classe puisque le paradoxe c’est que finalement quelles que soient vos revenus quels que soient vos positions sociales que vous soyez reprendre la terminologie pourvoit aux prolétaires que vous apparteniez à la jet set ou corps intermédiaires que vous soyez dans la fonction publique ou dans le privé vous êtes potentiellement soumis tout autant aux risques nucléaires par exemple que votre voisin qui a un niveau de revenus différents ce qui signifie que cette abolition des classes sociales va amener le politique à ne plus avoir politique d’émancipation au nom de grands principes et de grande valeur comme peut proposer le social-libéralisme chacun avec son credo mais va au contraire se repositionner de voir proposer une offre politique qui à la fois s’adresse à tout le monde et qui surtout s’adresse à notre quotidien et aux éléments qui appartiennent thématiques ciblées à savoir la santé l’environnement et le terrorisme on va y venir alors justement c’est notre cinquième point ce ce politique face à cette société du risque se rend bien compte que le leitmotiv devient ce qu’on appelle le principe de précaution le principe de précaution il faut bien voir que c’est apparu dans les années 70 et que à l’image de ces termes de gestion du risque de prix ou de principe de précaution toutes ces nouvelles langues qui s’applique à la fois dans les administrations et que dans les reprise ce principe de précaution finalement il est assez particulier parce que il se distingue de la prudence le principe de précaution postule qu’il ya un risque non avérée certes hypothétique mais qu il va quand même falloir anticiper il se distingue ainsi de la prudence et le rôle du politique va être de mettre en place des principes de précaution en toutes circonstances dans des endroits où potentiellement il n’y a pas de risque mais où ils pourraient être accusés de ne pas avoir répondu aux attentes justement de cette société si jamais tel était le cas et qu’il s’avérait qu’il y avait pour le coup une problématique ou un risque qui ce qui arrive est donc ce nouveau positionnement et ce principe de précaution il va amener justement le discours politique à avoir une réaction ambivalente d’un côté il va y avoir une prolifération du discours hyper scientifique penser aux qu’ovide ou de certains certain nombre de médecins interviennent pour justement donner des chiffres scientifique attester de la dangerosité de tels médicaments de telles maladies ou de tels virus ou de tel variant et en même temps on va avoir une recomposition du politique qui face à ce discours technique va de plus en plus joué un rôle de prophète pourquoi puisque face à des menaces globales face à des menaces finalement perte permanente est latente que constitue un virus une explosion industrielle ou encore un risque lié au nucléaire face au risque d’ apocalypse parce que ça nous est présenté comme ça et c’est potentiellement d’ailleurs depuis yeux depuis le développement du nucléaire ce qui se pose comme questionnement face aux hommes face à ces situations là le politique va devoir contrebalancée par un discours de rédemption face à l’apocalypse le paradis retrouvé il va ne va peut être question des petites mesure d’émancipation ou des petites mesures liées à la sécurité sociale à ce qui faisait la politique au 19e ou 20e siècle c’est une politique de la vie une positive une politique positive c’est une politique de la peur au sens de la sécurité qui va être mise en place et cette sécurité finalement elle fonctionne de manière prophétique on peut remarquer que toutes les époques ont mobilisé le risque d’ apocalypse ce qu’on appelait le millénarisme au moyen âge pour pouvoir contrebalancer et faire advenir ont souhaité de leurs voeux une renaissance une rédemption et un renouveau politique et on voit bien que justement aujourd’hui le corps politique face à une situation mondiale déplorable qui nous menace tous nous propose des solutions retrouvez d’ailleurs tirer c’est intéressant finalement d’une spiritualité un peu recyclé alors chacun va y aller de sa petite solution à l’échelle du monde la décroissance l’autogestion l’exode de l’espèce vers une nouvelle planète pour certains pour les scientifiques un petit peu moins ambitieux ça sera tout simplement la nouvelle tesla ou la possibilité d’avoir une voiture un peu moins polluantes donc chacun face aux hauts risques latents qui touche va devoir trouver une solution politique et c’est ce qui va parler de plus en plus au peuple qui ne se perçoit plus en catégorie politique comme je vous l’expliquais mais qui se perçoit comme masse qui vit dans la peur l’angoissé le risque et le sentiment de danger permanente et on comprend ainsi un la place que prend de plus en plus d’ailleurs parfois à raison et parfois à tort les enjeux écologiques les enjeux sanitaires est également le terrorisme alors justement je voudrais terminer par le dernier point qui cette fois ci aborde la question du terrorisme et de la géopolitique parce que finalement même s’il est un peu plus évident il est assez intéressant et il rythme aujourd’hui le calendrier quand même politique et rythmes aussi le rôle du politique à l’égard de la cité donc je voudrais distinguer les deux situations d’un côté le terrorisme donc ça pique on va dire un petit peu plus à une situation de sécurité intérieure de la géopolitique qui postulent plutôt des relations internationales entre entre les états et le rôle que je vous la peur dans les relations internationales alors on va commencer par les relations internationales on est rentré dans un nouveau monde là encore certes la peur a toujours fait partie de la géopolitique il ya toujours eu une diabolisation de l’ennemi ça pue être l’ottoman au 19e siècle ça a pu être le russe ou le soviétique au 20e siècle c’est devenu depuis la chute de l’urss le l’extrémiste islamiste et à chaque fois son lot de vérité et son autre caricature correspond à ses nouvelles cibles désignées c’est d’ailleurs le fondement même de l’état de désigner un e un autre pour pouvoir renforcer le nous et pour pouvoir faire justement ciment social donc là dessus pas vraiment une nouveauté bien évidemment que la peur au combat comme la peur pour comme principe géopolitique est présent ce qui est intéressant c’est de voir qu’il ya quand même une évolution du rôle de la peur en pot vide en géopolitique puisque les états jusque là était quand même organiser pour qu’on appelle dans droit à la guerre a dans un cadre légal prévoir des risques de conflits tu alité et de se faire la guerre en cas de légitime défense dans le cadre d’un mandat de l’onu et une codification toute relative puisque on est dans du droit international mais des relations entre les pays ce qui fait que chacun est amené normalement selon de bonnes raisons une raison légale à s’en prendre un autre on a vu se développer des nouveaux concepts dans les années 70 et encore ça correspond à la société du risque appliquée à ce qu’on a vu tout à l’heure et au principe de précaution à ce qu’on appelle les guerres préventives les guerres préventives et ses guerres en fait sont un peu à l’image du principe de précaution mais appliqué la géopolitique elle postule l’idée selon laquelle finalement si vous pensez qu’il ya un risque que potentiellement vous soyez attaqué par un autre pays vous avez le droit de lui faire la guerre on voit qu’au nom de ce principe tout le monde peut faire la guerre à tout tout le monde peut suspecter un autre pays d’avoir la volonté de le détruire et donc si on pousse ce principe et on sort du cadre juridique justement que prévoyait jusque-là les conventions de genève notamment on bascule dans un risque d’affrontement généralisée de guerre compte de tous contre tous à l’échelle planétaire et ça c’est une réalité parce que cette cette société du risque cette société de la tension c’est aussi une société de la tension géopolitique qui risque de provoquer des guerres et qui provoque des guerres sur des motifs parfois fallacieux voire parfois inventés et au nom d’une manipulation justement des populations on pense bien évidemment à la guerre d’irak et rôle qu’a pu jouer colin powell notamment avec des fameuses armes de destruction massive inexistant mais censé susciter la peur dans la population pour justifier une intervention militaire à l’étranger donc ça c’est ce qui concerne la géopolitique c’est intéressant d’analyser d’ailleurs ce qui se passe actuellement en afghanistan et ce qui s’est passé en afghanistan selon ce nouveau principe je voudrais maintenant terminée par eux par le terrorisme parce que le terrorisme aussi nous amène à une réflexion et à une permanence du sentiment de peur et donc un nouveau rôle du politique on a vu que le politique qui s’était réadapter ses terres et adaptée à cette société du risque qu’ils tentaient d’en cerner les enjeux il tentait d’y répondre parfois par des discours prophétique parfois par des discours technique qui tentait comme ça aussi de s’adresser à une globalité à décloisonner les classes sociales en réalité cette société du risque on peut voir et le terrorisme à mon sens il illustre d’autant plus cette société du risque échappe aussi aux politiques il n’en est plus le maître ni le manipulateur ni à l’origine il est tout simplement aussi dans la peur et il vit aussi en permanence le risque comment est ce qu’on fait ça avec le terrorisme on voit bien que le terrorisme pose une question fondamentale qui est de se dire que cet événement a pour objet premier certes la destruction des corps mais surtout le contrôle des esprits qu’il génère et sept principes de ce qu’on appelle la guerre de quatrième génération il génère des effets beaucoup plus dommageable sur la psychologie des populations que malheureusement même si c’est aussi le cas que sur les victimes quantitativement quelques les actes terroristes font sur ce principe c’est une gare de sidération c’est une guerre de terreur qui eux basculent les populations dans un état de sidération permanente et qui oblige l’état justement à subir cette sidération et a essayé de compenser de courir après le risque potentiel et d’au mieux l’éviter et au pire de me désigner des responsables voire de rétribuer ceux qui vivent ces préjudices actuellement on assiste au procès donc de salade et cela notamment lié aux attentats de 2015 est en cours de réflexion la création d’un statut juridique qui donnerait le droit donc dédommagement sur le principe selon laquelle des individus auraient vécu les terroristes n’ont pas dans leur chair mais psychologiquement si vous aviez été derrière votre écran le jour des attentats et qui vous donne droit potentiellement s’est pas encore acté mais c’est en cours de réflexion un dédommagement donc on voit bien que ce risque là tellement été généralisée par le terrorisme que l’état est obligé de créer des nouvelles catégories pour essayer justement de faire face à ce sentiment de peur permanente qui inondent les populations notamment à cause du terrorisme je ne détaille pas tout ça qui nécessiterait en soit une une réflexion mais il ya eu une évolution historique du terrorisme qui visait d’abord le tyrannie 6 puis plus globalement l’élite et des dommages collatéraux et aujourd’hui des populations on voit bien que le faits terroristes évolue aussi qu’il est encore plus une menace d’ampleur voir une menace internationale et qu’il véhicule donc à l’image du risque sanitaire est à l’image du risque écologistes bien que ce soit fondée sur des des motifs différents ils véhiculent cet état de sidération c’est de menacer de risques permanente que chacun éprouvons quel que soit finalement notre situation où notre classe sociale donc j’en arrive au terme de cette de cette réflexion de cette présentation sur la peur et donc le politique la peur en politique pour résumer un petit peu ce qu’on a vus ensemble de manière un peu schématique on a bien compris que la peur loin d’être un simple sentiment qu’on peut renvoyer d’un revers de la main avait tout à voir avec la question des institutions et avec la question des idéaux et des valeurs aux menus par le politique que cette peur avait été au fondement de l’état est au fondement de l’état moderne et de la société et était un outil un instrument au service de régimes politiques divers et variés en fonction des époques en fonction des lieux et puis on a pu aller dans une réflexion un peu plus contemporaine en voyant que le politique et la peur c’était une relation est un enjeu beaucoup plus actuelle qu’on pouvait l’imaginer malgré le relatif sentiment d’être arrivé au bout de l’histoire au bout d’un régime politique évident que serait le libéralisme et la démocratie on voit bien qu’en réalité ce sentiment de peur compris comme société du risque est omniprésent qu’il recompose le débat politique qu’il recompose le positionnement de l’offre politique vis-à-vis de ces nouveaux enjeux et que plus largement encore demain il le menace à la fois la vie en société et la concorde de tous avec tous besoin de cette défiance et cette peur panique mais également les relations internationales au vu de cette géopolitique de la peur promu par certains états dont nous

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