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Quel jour sortent les episodes de And Just Like That ?

Quel jour sortent les episodes de And Just Like That ?

Où regarder And Just Like That en Belgique ? Le spin-off de « Sex and the city » sera à voir sur Plug RTL. La série dérivée de “Sex and the city” va bientôt débarquer sur nos écrans ! Diffusée à partir du mois de décembre sur HBO Max aux Etats-Unis, “And just like that” sera désormais proposé sur Plug RTL.19 avr. 2022 Où regarder And Just Like That Belgique ? Le spin-off de « Sex and the city » sera à voir sur Plug RTL. La série dérivée de “Sex and the city” va bientôt débarquer sur nos écrans ! Diffusée à partir du mois de décembre sur HBO Max aux Etats-Unis, “And just like that” sera désormais proposé sur Plug RTL.19 avr. 2022 Comment devenir riche grâce à la crypto ? Il suffit de créer un compte sur une plateforme d’échange comme Coinbase, et de déposer de l’argent en euros ou toute autre devise sur votre portefeuille. Vous pouvez ensuite échanger cet argent contre du Bitcoin ou une autre cryptomonnaie proposée sur la plateforme.14 mai 2022 Est-ce possible de recevoir un virement le lundi ? Il faut savoir qu’en principe le lundi, vous ne recevez pas de virement. Mais, ce n’est pas forcément vrai dans tous les cas puisque cela dépend essentiellement des jours d’ouverture de votre banque. Les délais entre l’ordre et le virement sur votre compte changent donc en fonction de ce paramètre. Quels sont les fruits à ne pas consommer pendant la grossesse ? Toutefois, certains aliments, comme le ginseng, doivent être consommés avec prudence.


Ne bougez pas,ne respirez même pas ! Arrête ! Par ici, suis-moi. On plonge ! Viens, donne-moi la main ! Ça va ? Et toi ? Tiens, prends ça. Qu’est-ce qu’on fait ? Je ne les laisserai paste faire de mal. Je vais réfléchir. Le mieux serait d’attendreque l’hélico vienne nous chercher. S’il arrive un jour. Le signal est parti quand ? II a raté. Super. On sera plus à l’abriau bord de l’eau. Je nous cherche une cachette.Va voir de ton côté si tu trouves du bois secpour faire un feu. Papa ! Q.G. des forces américainesdu Pacifique Des nouvelles ? Rien. L’île n’a émis aucun signal. Pas de nouvelles de Richardson,c’est mauvais signe. C’est vrai.On envoie une équipe sur place ? Contactez Nelson sur le Conroy.Ce porte-avions est sur zone. Qu’il envoieune unité de reconnaissance. Je cherche un certain Stoddard.Où je peux le trouver ? Toujours au même endroit. Jerry, je me demandesi c’est une bonne idée. – On peut s’y fier ?- Il est renommé. On dit même que c’est un pirate. Viens, on va lui parler. Bonsoir.Vous êtes le capitaine Stoddard ? Dieu soit loué, des jeunes mariés !Vous désirez ? Louer votre bateau. Une croisière autour des îles… Voilà qui me réchauffe le cœur. Pas vraiment. Vous voulez pêcher ?La période s’y prête. Les marlins abondent. Il s’agit plutôt d’exploration. Je vois. Seuls sur une île déserte, deux ou trois jours. Ça marche, j’ai ce qu’il faut. On avait une île bien préciseen tête. Laquelle ? Isla Damas. Connais pas. Il y a 5000 dollars.Ça vous revient ? Pourquoi vous voulez aller là-bas ? On y a une mission. Ça m’étonnerait. Avec One Planet. – Écolos ?- Défenseurs de l’environnement. Je vais être très clair, M. et Mme One Planet,personne ne vous y emmènera. C’est une zone militaire interdite. On est au courant.C’est pour ça qu’on doit y aller. Désolé, je risque mon permis. Cet argent, ce n’est que la moitié. Vous aurez le reste au retour. Bien, quand désirez-vous partir ? Vous comptez monter à bordaujourd’hui ? On attend les autres. Ted, par ici ! On va enfin voyageren première classe ! – On le vaut bien !- Allons-y. Vous avez tout ? – Tout est là.- J’ai le plus important. Génial. Mais c’est une mission,pas une beuverie. On peut bien s’amuseren sauvant le monde. Mais restez dignes. On a du travail. Le capitaine Stoddardva ranger votre bazar. Le capitaine Stoddardrange le bazar. Vu. Viens, frangine. Je te suis. Merci d’être venue. Si j’ai mon scoop,je vous remercierai. Vous connaissez Carrie ? Comment oublierla star de nos écrans ? C’est pour vousque mon caméraman est venu. Je suis fan, Mlle Evans. Appelez-moi Carrie. Allez, tous à bord. On y va. Installez-vous,le trajet va prendre un moment. – Combien de temps ?- Environ 3 h. J’ai déjà entendu ça. Comment une star de Hollywoodse retrouve embarquée là-dedans ? J’ai rencontré Jerry l’été dernierlors d’une soirée caritative. Sa cause m’a plu, lui aussi. Donc pour vous,ce n’est pas un coup de pub ? Non, pas du tout. On y est presque ? À votre avis ?Vous voyez une île devant nous ? Alors on n’y est pas encore.J’ai une question pour vous. Laquelle ? La journaliste qui vous accompagne,je l’ai vue à la télé. Des gens comme ellese déplacent pas pour rien. Et alors ? Alors je veux savoirce que vous comptez faire là-bas. C’est simple. Révéler la vérité. Voilà Isla Damas. Très bien.Restons pas là, accostons. Vous voyez ces vagues ? Sur ces récifs, une erreur suffit à nous faire couler. On ira quand ? On va jeter l’ancre pour la nuitet on ira demain matin. On va poireauter toute la nuit ? On n’arrivera jamais avant la nuit. Comment vous comptez naviguerdans la nuit noire ? Bien, capitaine.Demain matin, dès l’aube. Écoutez ! – Un hélicoptère.- Regardez, les voilà ! Militaires. Américains ? – On dirait.- Qu’est-ce qu’ils font là ? C’est ce qu’on veut savoir. Il est 21 h. Aucune tracede l’équipe ni de la maison. – Elle se trouve à 5 km de la plage.- Je sais. On doit pas être loin. En avant. C’est inquiétant, major.Il n’y a aucun signe de vie. Même pas d’insectes. Je le sens mal.J’ai pas envie de traîner ici. Je suis bien d’accord avec vous. Marsden et Monroe, vérifiez ce sentier. Lerner, coupe par le côtéavec Patterson. Weeks, avec moi.Si ça bouge, lancez une fusée. Faites gaffe. C’était quoi ? Vous avez entendu ? Affirmatif. Faites attention. Avancez doucement. Reçu. À vos ordres. – C’était quoi ?- Aucune idée. Patterson, Lerner, ça va ? Patterson, réponds ! Vous les voyez ? Non, qu’est-ce qui se passe ? Patterson, réponds ! – Qu’est-ce qu’on fait ?- Par ici, vite ! C’est quoi, ce machin ? Une cible à abattre. Ça lui fait rien ! J’ai mieux. Planque-toi ! – Qu’est-ce qui se passe ?- J’en sais rien, mais on se tire. Demande à l’hélico de se préparer à nous évacuer. C’est quoi ? Sûrement sa mère. C’est ça, Isla Damas ? Non, c’est une plage de Jersey. Où ont pu se poserles hélicoptères ? Ils ont dû larguer des vivres.Difficile d’atterrir sur ce relief. Si c’est un terrain militaire,où sont les gardes, les sentinelles ? J’espère que vous avez bossévotre sujet. Je n’ai pas envie de trouverune simple station satellite. Mes sources parlentd’un projet secret nommé Carnivore. Je trouverai, vous filmerez.Ensemble, on y mettra fin. Une belle victoire pour One Planet. De belles audiences pour vous,pas vrai ? J’espère bien. Dirk, sors la caméra numériquepour tourner l’intro. Jerry, tu es sûrqu’on fait bien d’être ici ? On a vu des hélicoptères de l’armée. – On les dérange peut-être.- Bien sûr, c’est un projet illégal. Mais si j’avais le moindre doute,on serait pas là. Je veux pas me faire arrêterou finir en taule. Poupée, fallait y penseravant d’embarquer sur le bateau. Carrie, ce sont eux qui risquent la prison,pas nous. En les dénonçant,on fera une bonne action et on deviendra célèbres. Je ne suis pas ici pour ma carrière,mais pour toi. Je sais. Mais ne t’inquiète pas,tout va bien se passer. Je suis comment ? Phénoménale. Décale-toi à gauche, je veux voir la falaise. Très bonne idée. Tu es prêt ? Trois, deux, un… À première vue, Isla Damasa tout d’une île de rêve où l’on pourrait espérer lézarder, bien manger et se divertir. Mais à en croire One Planet, ce paradis des mers du suds’est transformé en cauchemar. Ici Sandra Crescent pour Focus, depuis une île,quelque part dans le Pacifique Sud, où des tests sur des animauxont lieu en ce moment, sous couvertd’un projet nommé “Carnivore”. Parmi les opposantsà ces pratiques cruelles, voici les militantsJerry Ryan, Ted Marks et sa sœur Darla. Depuis cinq ans, ils luttent pour protéger la planètedes capitalistes sans pitié. Également présente,l’actrice et mannequin Carrie Evans, qui a participéà la dernière édition d’ Action. Avec mon caméraman Dirk Preston, nous comptons montrerla dure réalité de ces expériences odieuseset désastreuses. Nous vous en dirons plusdans quelques instants. Et notre capitaine ? Oui, vous oubliez Mike ? Laissez tomber, je ne suisqu’un capitaliste sans pitié. Bon, il va falloir y aller.Tout le monde est prêt ? On a de quoi tenir trois jours. On sera de retour avant.Ted, ça baigne ? Ça baigne, mon frère. On y va ! Eh bien, capitaine, vous ne restez pasprendre le soleil ? D’habitude, si.Cette fois, j’ai mes raisons pour faire en sorteque vous rentriez indemnes. – Vos raisons ?- Oui, 5000 raisons. – Je crois qu’on a un problème.- Quoi, major ? L’unité de reconnaissancen’a pas été récupérée. Ils n’ont établi aucun contact radiodepuis hier après-midi. Merde ! Que dois-je faire ? Je n’enverrai aucun homme là-basavant de savoir ce qui s’y passe. Je vais contacter Nelson.Il doit être inquiet pour ses hommes. En effet. Je vais lui demander d’organiserune reconnaissance aérienne. Monsieur, si je puis me permettre, que cherche-t-on ? J’aimerais bien le savoir, major.J’aimerais bien. Ryan, vous savez où vous allez ? Selon mes sources, les bâtimentssont à 5 km à l’intérieur des terres. J’espère que vous dites vrai.Cette balade ruine mes chaussures. D’après le plan, on y sera dans 1 hen gardant ce rythme. Espérons, ma jolie. Rassurez-vous, on va trouver. J’aurais dû rester à bord. – C’est quoi, votre secret ?- Quel secret ? Je ne vois pas une goutte de sueur. Quand j’ai fait Action, on a passésix semaines en Amazonie. À côté, c’est du gâteau. Nom de Dieu ! C’était quoi ? Un truc qu’on n’a pas enviede voir de près. Qu’est-ce qui vous prend ? J’ai dit pas d’armes. Du calme.Vous faites ce que vous voulez, mais on a pas la même vie. Ça m’est égal. Notre seule arme,c’est cette caméra. Je vous paie, vous bossez pour moi. Mon petit, en embarquant avec moi,t’es devenu mon client, pas mon patron. D’après la loi,le capitaine a le dernier mot. Et c’est mon dernier mot. Mais on n’est plus sur votre bateau. C’est simple. Vous voulez peut-êtrerentrer à la nage ? Je me disais aussi… Jerry, c’est bon, détends-toi ! Il a pas tort. Avec ce qu’on vient d’entendre,c’est rassurant. C’est bon. On continue. – Qu’est-ce que c’est ?- Des cultures. – C’est du maïs ?- Tout à fait. Regardez sa taille.Il est haut comme une maison. Dirk, filme ça. Ça marche. Il doit falloir un sacré tracteurpour récolter ça, je vous le dis ! Ça fait partie du projet Carnivore ? À votre avis ? Ça prouvequ’on est sur la bonne piste. Regardez-moi ça !Une maison comme on en rêve. Qui a bien pu construire ça ici ? Ça fait pas très militaire.Vous êtes sûrs de vous ? Maintenant, oui. Jerry, montre-lui la photo. Mon informateur a volécette image classée secret-défense en copiant des documents. Les expériences ont lieu là-dedans. C’est qui, eux ? À droite, je sais pas. À gauche, il s’agitdu Pr William Richardson. Le généticien ? Exact. Ses théories sur le clonagesont reprises dans le monde entier. Pourquoi venir ici ? C’est simple, il a tout fait. De telles expériencessont interdites aux États-Unis. Le gouvernement l’a envoyé ici. Méfiez-vous des rumeurs.D’après ce que j’ai lu, il défend l’environnement. Voyons ce qu’il a à dire. – Une minute ! Et les gardes ?- J’en vois pas. Ça veut pas dire qu’ils sont pas là.Soyons prudents. Allons-y. Ne leur laissons pas le tempsde détruire des preuves. – Vous êtes prête ?- Toujours. C’est parti. Dirk, moteur. Nous y sommes,c’est l’heure de vérité. Un petit groupe de militants cherche à dénoncer un secret d’État et grâce à Focus, vous saurez tout. Ici Sandra Crescent. Nous entrons. Alors ? C’est fermé. Faisons le tour. Ça a l’air vide. Vous avez de la visite ! Je vais voir à l’étage. Où ils sont ? Je sais pas. Allons voir par ici. Le labo n’est peut-être pas là. S’il y en a un. Ils nous attendaient ? Impossible. On va les trouver. – Dirk, coupe.- Comme tu voudras. – Je peux m’en griller une ?- Prends ton temps. Votre informateur s’est trompé. Non. Le labo est sur l’îleet on va le trouver. Mon petit, on a affaire à l’État. Ces gens sont loin d’être idiots. S’il y avait eu des sentinelles,on serait pas arrivés ici. Et à mon avis, c’est pas de nousqu’ils ont eu peur. Ah bon ? Et de qui, à votre avis ? Vous voyez comme moi.Regardez la cuisine. Les assiettes sont entamées. Ça doit faire deux joursqu’ils sont partis. Personne, que des lits défaits. Ils ont pris la fuite.On devrait faire pareil. Excellente idée. Qui êtes-vous ? Étant armée,je vous retourne la question. Nous sommes membresde One Planet. Ça vous autoriseà violer une propriété privée ? Désolé, on n’a pas vu d’interdiction. Ça prend pas. Si vous saviez lire une carte,vous sauriez que cette île est interdite au public. Écoutez, Mlle… Richardson. Mlle Richardson,nous partirons volontiers. Si vous avez un bateau, quittons cette île immédiatement. Il y a quelque chosequ’on ne doit pas voir ? Si vous traînez, vous le verrez. – Je le savais.- Ferme-la, Ryan. Notre canot est sur la plage,on peut partir sans attendre. Non, on est pas venus làpour faire demi-tour. Parlez-moi de ce trucqu’on ne doit pas voir. Pour la survie de tous, je vous proposeque nous partions tout de suite. Bien. Sage décision. La caméra ! Mon Dieu, c’est Dirk ! Sandra ! La caméra ! Sandra, la caméra ! Au secours ! Toutes mes balles l’ont touché.Apparemment, il sentait rien. Il faudra plus qu’un.38pour arrêter ça. Les clichés d’Isla Damassont arrivés. Voyons ça.Les spécialistes ont regardé ? Ils y travaillent. Il n’y a rien de très intéressant,à part ce monticule, ici. On dirait un gros rocher. Je suis assez d’accord,mais le pilote jure qu’il bougeait. Qu’ils y retournentpour faire des vidéos. Une vidéodepuis un avion de chasse… Exécution ! Pour la suite, j’attends de savoirce qui se passe exactement. Ici Sandra Crescent,depuis Isla Damas, où une expérience scientifiquea mal tourné. Elle peut pas faire ça du bateau ? Pourvu qu’elle fasse vite. Je savais que c’était louche,mais pas à ce point. On peut rentrer ? …a créé d’horribles mutants. L’un d’eux a tué le chercheuret presque toute son équipe, ainsi que mon caméraman et ami, Dirk Preston. Il faut qu’on parte maintenant ! Je vais te tirer de là.Ça va aller, on va s’en sortir. Le monde doit connaître la vérité. Je veux rentrer. Nous allons rencontrerla fille du Pr Richardson, Susan, la seule rescapéede l’équipe scientifique… Assez, on doit se protéger ! Ce monstre revient ? Non, un autre. Suivez-moi ! Rentrons dans la maison. Non, une maison ne l’arrêtera pas.Venez ! Arrêtez. Ne bougez pas. Ne bougez pas d’un poil. Sauvez-vous ! Vite ! Darla ! Ted, arrête ! Ouvrez la porte ! Servez-vous de ça ! L’ascenseur ! Tous à l’intérieur ! Il faut descendre au niveau -3. Venez ! Par ici. Allez-y. J’étais sûr que cet endroit existait. C’est bon,on est à l’abri de cette créature. J’en suis ravi ! Maintenant,dites-moi ce qui se passe. – Même question.- Je vous l’ai dit. C’est le projet Carnivore. Des expériencessur des animaux sans défense. – Ils ne sont plus sans défense.- Vous pouvez nous expliquer ? On ne vous a pas invités.Rien ne m’oblige à vous parler. Peut-être,mais on a perdu deux personnes. Ça mérite une explication. Oui, capitaine. Pardon. Ni moi ni mon père n’avons voulu ça. Ce projet ne visait pasà créer des monstres. Nous élaborions un catalyseurafin d’accélérer la croissance des plantesavec de l’ADN animal. Au début, c’était une réussite. Mais encore ? Avec un bon dosagedes isotopes de mon père, 4000 m² de maïs géantont poussé en une semaine. Assez pour faireun million de galettes. Oui, on a vu vos travaux en venant. Croyez-moi, ce n’était qu’un début. – Papa !- Oui, chérie ? Incroyable ! Le sol où a poussé le maïsa gardé 93% de ses nutriments. Si on en cultivait 2000 hectares, on pourrait nourrir le monde entier. On croirait entendre ta mère. Dans la famille, l’optimisme est roi. Tu sais comme moi qu’il nous reste des tests à faireavant de diffuser ça. Prête pour la parade ? Le général vient ? J’ai vu son hélico atterrir.Il doit être en chemin. – Je préviens les autres.- Qu’ils resserrent leur cravate. Vas-y, ma puce, je te rejoins. Les salauds… Ma foi, des félicitations s’imposent. À mon sens, vos expériencessont un immense succès. Merci, mon général. Mais quelque chose me ditque vous ne venez pas que pour ça. Non, en effet. Vous serez ravi d’apprendrequ’après consultation du Pentagone, nous avons décidéd’étendre votre mission. Ah bon ? Comment ça ? Eh bien, pour commencer, nous pensons tripler votre budget. Qui dois-je assassiner ? Personne. Mais nous envisageonsque vos découvertes aient des applications militaires. Des applications militaires ? Voyons si j’ai bien compris.Ne me dites rien. Je dois modifier la matrice ? Pour l’administrer à vos ennemiset les voir exploser comme des ballons… Je ne dois pas être loin. Ne soyez pas ridicule. Votre matrice de croissance a un potentielqui dépasse l’agroalimentaire. Bien sûr. Elle peut tuer des êtres humains. – Papa…- C’est rien, ma chérie. Mon général, je crois savoir où vous voulez en venir. Ni moi ni mon équipene vous suivrons dans cette voie. Vous avez fait le déplacementpour rien. Vous vous trompez. Nous ne vous demandons pasde créer une arme redoutable. Nous voulons seulementque vous testiez le potentiel de votre matricesur des animaux vivants. Et de quels animaux s’agit-il,mon général ? Lieutenant ? S’il vous plaît. Pour l’instant,vous pouvez commencer par ça. Malgré les réticences de mon père, on a débuté les tests sur des cobraset des dragons de Komodo. Pourquoi pas un chien et un chat ? Parce qu’il s’agit d’amphibiens résistants aux maladies humaines. Avec leur ADN,l’armée voulait créer un vaccin pour immuniser les soldatscontre les armes biologiques et les rendre plus fortset plus agiles. Mais ça a mal tourné. Très mal. Pendant plusieurs mois,les injections n’ont rien donné. La semaine dernière,à l’heure du repas des animaux, il est arrivé quelque chose. Impossible d’appeler à l’aide,notre tour radio avait été détruite par ces créatures. Des ingénieurs sont partis en hélicoau sommet de l’île pour réparer, mais ils ont disparu. Le lendemain,le dragon nous cherchait. Et après ? Nous nous sommes dispersés.Il y a peut-être des survivants… mais je sais que mon pèreet son assistant sont morts. J’ai regagné le bunkeren attendant l’inévitable. C’est-à-dire ? C’était un projet top-secretet très sensible. Nous devions donner des nouvellestoutes les 24 h. Vous êtes en retard. Oui, nous avons 36 h de retard. D’ici peu, Washington prendra peuret mettra un terme à ce projet. Et alors, ils nous évacueront ? Dans l’armée,mettre un terme à une mission, ça veut dire autre chose. En effet. Ils vont sûrement détruire l’île, point final. Et tout ce projetsombrera dans l’oubli. Écoutez. C’est quoi ? – Des chasseurs.- On est en sécurité ? C’est du béton armé. Tout dépend des munitions utilisées. C’est fait ? Non, on aurait senti l’explosionet l’onde de choc. – C’était une reconnaissance.- Regagnons le bateau et partons. Difficile, avec ces deux prédateurs. Les deux qu’on a vus. Y en a d’autres ? Selon leur réaction,ils pourraient être dix, douze de chaque espèce. Chacun dévore tout ce qui vitpour se nourrir. On fait partie du menu. Je pars pas. Je reste ici. Je reste ici. – Je prends le risque.- Ted… Tu déconnes. Si tu restes ici, t’es foutu. Il a raison. Viens avec nous. À quoi bon ?Pour finir comme Darla ? Écoute. On est tous désolés pour ta sœur. C’était une fille formidable. Mais crois-moi,elle voudrait que tu partes. En restant ici,tu risques de finir enterré vivant. Je suis ton ami,je dois t’en empêcher. Ça baigne ? Ça baigne. C’est bien. Viens, on se tire. On a 4 ou 5 h de jour devant nous. Si on rencontre pas vos bestioles,on devrait y être avant la nuit. Mon père stockait des munitions. – Tant mieux, j’en aurai besoin.- Je suis sceptique, mais c’est toujours mieux que rien. Je suis plus à l’aiseavec une arme chargée. Tu me suis, Jerry ? – Les vidéos sont arrivées.- Bien. Regardons ça. Mon Dieu ! Je ne rêve pas ? Des dragons de Komodo. Oui, mais ils sont aussi grandsqu’une maison. – Qu’est-ce qui s’est passé ?- Je ne sais pas. Mais je peux vous affirmer que le projet Carnivorea sérieusement dérapé. – Attendez…- C’est quoi ? On dirait un yacht privé. Ou un bateau de pêche.Que fait-il là ? Je ne sais pas,mais ça sent mauvais. Il serait perdu ? Ça ne présage rien de bon. Quelqu’un veut volernotre découverte. Il risque d’avoir une surprise…Qu’est-ce qu’on fait ? Je leur laisse jusqu’à demain midipour se manifester. Et s’ils ne se manifestent pas ? S’ils ne se manifestent pas, je veux voir cette îleréduite en cendres. On ne sait pass’ils sont morts ou vivants. Major, je refuse que n’importe quis’approprie le projet Carnivore. Et le bateau ? Appelez Nelson sur le Conroy. Qu’il coule ce rafiot avant la nuit. On en a pour longtemps ? Une heure, 45 mn,ça dépend de notre allure. – Accélérons.- Du calme ! Un faux pas nous serait fatal. Très bien. – La lumière baisse.- Ça va, on approche. On va y arriver. Je peux vous aider ? Non, merci, je la tiens. Si on doit courir,mieux vaut l’abandonner. Pas question.Ça fera décoller ma carrière. – Si c’est diffusé.- Ça le sera. Dès qu’on retrouvera la civilisation,cette bande ira à l’antenne. Elle ne vous servira à rien,dans le ventre d’un monstre. Bougez pas. Vous entendez ? Mon Dieu, Pr Michaels ! De l’eau ! Tenez. Qu’est-ce qu’il a ? La teigne ? Non, c’est pas la teigne. Où est ton père ? Il est mort.Je suis la seule rescapée. Il faut le faire savoir au monde. Quoi ?Que s’est-il passé à la tour ? En arrivant, on a vuque la tour était endommagée. On voulait la réparer. On s’est posés à proximité,dans une clairière. Et là, il nous a foncé dessus. Hankowski a été le premier.Il s’est fait happer. Henderson franchissait la barrière quand il a été tué. Je me suis caché,mais j’étais couvert d’une sécrétion. Ma peau me brûlait et se décollait. C’était quoi ? Sûrement la salive. La salive ? Du dragon. Même petit, un dragon de Komodosécrète une salive toxique. Chez ces géants, ce doit être pire. On aurait dû refuser. On n’aurait pas dû joueravec la nature. On le paie cher. Alors ?À votre avis, c’est contagieux ? Non, ce n’est pas viral.Mais ouvrez l’œil. Il peut y en avoir partout. – On l’enterre ?- Non, il va faire nuit. – Le temps presse.- On va le laisser pourrir ici ? Il est biodégradable. Si tu veux,creuse sa tombe et la tienne. Moi, je me tire d’icile plus vite possible. Il a raison. On n’a pas le temps.En route. Regardez, le Zodiac ! Il n’a pas bougé. Allons-y. Venez ! Voilà un joli navire, capitaine. Je l’ai jamais trouvé aussi beau. – Merde, alors !- Comment on va faire ? Va-t’en ! – Mon Dieu !- Sauvez-vous ! Ted, fous le camp ! Viens, c’est trop tard. Laisse tomber. On se tire ! Alors, c’est dans la boîte ? J’espère que vous avez raison. Ce sont des animaux à sang froid. Ils ont besoin de chaleur.Ils ne se déplacent pas la nuit. Nous non plus. On aura besoin d’une solutionavant le lever du soleil. Par exemple ? Construire un radeau. – Ça prendrait du temps.- Trop longtemps. – On serait des proies faciles.- Vous avez mieux ? Marcher jusqu’au sommet de l’île,trouver l’hélico et partir. Vous pilotez ? J’ai passé sept ansdans l’armée de l’air. Comment savoir que ce monstren’a pas détruit l’hélico ? Pas moyen. Mais pour moi,c’est la seule option valable. Et je vais tenter le coup. Suivez ce baratineur.Mais si l’hélico est mort, on est foutus. Vous avez vuce qu’est devenu le bateau. Pardon. Alors, qu’est-ce qu’on fait ? Si j’avais ma guitare,on chanterait Kumbaya. “Viens ici, mon Seigneur.”La situation s’y prête. Ne vous inquiétez pas.On va s’en sortir. Je vais chercher du boispour faire un feu. Tu ne peux pas toujours avoir raison. C’est trop risqué.Ce fumier peut aussi se planter. Je sais, mais on ne pourra pasconstruire un radeau pour cinq personnes.Par où commencer ? Vous avez besoin d’aide ? Non, y a pas une branche sèchedans cette jungle. Mon dernier feu de camp,ça remonte à la fac, aux États-Unis. Ça devait être bien. Oui. Aucune émission de télé-réaliténe s’approche du drame qui s’est abattu sur cette îleperdue dans le Pacifique Sud. S’il est une îledont on voudrait être éliminé, c’est bien celle-ci. Je ne peux qu’espérer que le destinviendra à notre secours. Nous avons vu périr devant noustrois membres de l’équipe. Ce qui devait n’être qu’un scoop a donné lieu à une lutte cruellepour notre survie. Il y a assez de bois.On peut utiliser nos vêtements. – Ce sera sommaire, mais on…- Jerry, arrête ! Tu as vu comment a fini Ted. Avec ce monstre,on n’a aucune chance. On a une chanced’atteindre le sommet ? Tu te fies à mon intuition, non ? Oui, c’est vrai. Je suis sûre que l’hélico est làet qu’il nous sauvera. Ça baigne ? Ça baigne. Des études ? Après le lycée, l’armée. Comment vous avez fini ici ? Je suis retraité de Pearl Harbor. Je n’ai pas de famille,alors j’ai acheté un bateau. J’ai perdu mon bateau…et me voilà. Vous êtes du genre discret,toujours armé, baroudeur des mers… Un vrai boucanier. Il ne manque que la gnôle ! “Le capitaineet sa bouteille de rhum…” À vrai dire,vous me rappelez un pirate. Barbe Noire ? Non, Capitaine Kidd. Je plaisante. Ça surprend, une belle savantequi a le sens de l’humour. Sans ça, je serais devenue folle. On devrait y retourner. Les monstres que vous avez vus ne sont pas l’œuvred’un studio hollywoodien, mais la conséquence bien vivantede l’égoïsme des hommes qui ont enfreint avec inconscienceles lois de la nature. J’espère que ce documentsera retrouvé et qu’il évitera que cette tragédie ne se reproduise un jour. Ici Sandra Crescent.Je vous remercie. Bravo. Dormons,une dure journée nous attend. Oui, mon général.Je vais rester là toute la nuit. Je vous tiens informé,ainsi que le Président. Au revoir. – Alors ?- Le navire a été détruit. – Personne ne se trouvait à bord.- Mais encore ? Il avait été affrété de Bora-Bora et appartenait à un dénomméMichael A. Stoddard. – Des infos ?- Ancien militaire, pilote d’hélicoptère retraité depuis 1998. Pas le profil d’un terroriste. Non. Que faire ? Fouillez. Tentez de savoirqui a affrété son bateau. – Ce serait un bon début.- Mais… Mais quoi ? Si vous permettez,s’il y a des civils américains, on devrait savoir qui ils sontavant de les bombarder. Des élus trop curieuxou une équipe de journalistes… C’est une possibilité. Franchement, même si tout le Capitolepassait ses vacances sur cette île, il faudrait la raseravant demain midi. – Bon, c’est à quelle distance ?- Là-haut. Derrière l’arête Mutari.Mon père parlait du “géant endormi”. – Ça doit prendre 3 h.- Plutôt 4 ou 5, si tout va bien. – On y arrivera.- C’est raide. Un hélico peut s’y poser ? Il y a un plateau sur l’autre versant.C’est facile à trouver. Ne perdons pas de temps. Bien. Le feuillage est densele long de la plage. On y sera à l’abri jusqu’à la grotte. De là,on grimpera sur la face nord-est. Bien.Je préférerais mener la marche. Pas de problème. Si tu dois tirer,essaie d’éviter mon dos. Rassurez-vous.On n’a qu’une planète. Hélas, vous en faites partie. – Il faut monter par là.- Et l’eau ? – Il faut la traverser ?- On dirait. Et s’il y a le serpent ? C’est vrai. Ça l’aurait réveillé. Ça m’a réveillée ! Ça a l’air peu profond.Tenez vos sacs pour les garder au sec. Et si je disparais, arrêtez-vous. Ryan, ça devient profond.Garde l’arme au sec. À vos ordres, patron. Quoi ? J’ai le dos en feu ! – Le serpent !- Je crois pas. – Aidez-le !- Faut que je sorte. – Rejoignez la rive. J’y vais.- Faites attention ! On y est presque, allez ! Doucement… Qu’est-ce que j’ai ? C’est quoi ? Des sangsues,mais d’une sacrée taille. Vous avez un briquet là-dedans ? Tenez-le. J’essaie de la détacher. Vite, j’ai envie de vomir. Bien. On passe à la suivante. Sois raisonnable. Même un écolo peut supporterqu’on tue trois limaces. – Maintenant, on finit.- C’est quoi ? Du bon whisky irlandais,ça fait mal au cœur. Pour quoi faire ? Ça va atténuer la douleur. Ça marche pas ! Pour moi, ça marche toujours. Appliquez ça sur les plaies pour tuer les bactéries, d’accord ? – Ça va aller.- De la pénicilline. – Veillez à ce qu’il en prenne.- Merci à vous deux. Est-ce qu’il y a une créatureque vous n’ayez pas modifiée ? Malheureusement,ce milieu est symbiotique. Un moustique,un insecte ou même une sangsue qui se nourrit d’un des géantsrisque d’être contaminé. Donc tout être normalqui touche ces monstres peut devenir géant à son tour ? La sangsue en est la preuve. Ça met longtemps ? Avec des doses injectéesdirectement dans les animaux, il a fallu environ 15 jours. Une contamination résiduelleserait moins efficace, mais peut-être exponentielle. Toutes les formes de viesur cette île deviendront géantes ? Si leur ADN accepte la matrice, oui. Une mouette ou un poissonpourrait contaminer le monde entier ? C’est pourquoi l’armée n’hésitera pasà anéantir cette île. C’est peut-être trop tard ! Dites-moi… Je peux être contaminé ? C’est possible.Il est trop tôt pour le dire. L’effet est le mêmesur les hommes ? Mystère. Super… Si l’hélico a disparu, tu pourras peut-être nous porterjusqu’à Bora-Bora. Allez, faut pas traîner. – Je peux vous parler librement ?- Allez-y. Vu ce que nous savons, nous devrions exfiltrer ces gensavant le bombardement. Négatif, trop dangereux.J’ai perdu assez d’hommes. Si les médias apprennentqu’on a délibérément éliminé une journaliste et des écologistes,l’addition sera salée. Et s’ils apprennent que nous avons crééune horde de monstres par accident, ce sera encore pire. Ce sont des êtres humains,des civils innocents. Ils ont enfreint la loi ! Ils ont violé le périmètred’une zone militaire américaine. Ils sont sûrement morts. Et s’il y a une enquête ? Je m’en suis déjà occupé. Le projet Carnivore relèvedes mêmes archives que les ovnis. Si jamais on a un problème, j’exprimerai mes regretset présenterai mes condoléances. – Vos condoléances…- Major, ce sera tout ! Si ça ne vous dérange pas, demandez à Nelsonde préparer les avions. Le bombardementcommencera à 12h. Bien, à vos ordres. Disposez. Attendez. Jerry doit se reposer. D’accord, cinq minutes de pause. Vous pouvez faire quelque chose ? Comment ça va ? Pas très bien. Vous êtes fiévreux ? J’ai des vertiges. J’augmente la dose de pénicilline. Faites voir votre bras. C’est terminé. Merci. Comment il va ? Pas bien.Je ne peux pas en faire plus. Vous avez fait le maximum. – Bois ça.- Non, garde-la pour toi. – Tu en as besoin !- Arrête. Je regrette tellement. Je n’ai jamais voulu ça. – C’était une énorme erreur.- Non, Jerry. Tu as fait ce que tu croyais bien,comme moi. C’est pour ça que je suis là.Je crois en toi. Je t’aime, Carrie. L’hélico se trouve où ? Pas loin, à environ 400 mètres d’ici. Le seul problème,c’est la pente qui mène au plateau. Il n’y arrivera pas. Si, je vais l’aider. Je dois avouerque ce petit con est attachant. Sous vos apparences,vous n’êtes pas aussi dur que vous voudrieznous le faire croire. C’est pas facile, comme personnage. Debout, Ryan.T’as un hélico à prendre. Merci, capitaine. Conroy, ici Able 1, vous me recevez ? À vous, Able 1. Nous sommesà environ 100 km de la cible. Frappe prévuedans une vingtaine de minutes. Finalement, on a réussi. Aidez-moi à l’allonger. Venez voir ! Ça y est. On rentre. Vous pensez que ça ira ? Il a l’air en état, mais qui sait ? Je vais chercher Ryanet on partira. Besoin d’aide ? Non, restez là et montez la garde. – L’hélico est là ?- Oui, à 100 mètres d’ici. Dieu merci. Il pourra voler ? Espérons. Je vous aide. Je suis pas encore mort. Après 36 heures épuisantes, notre cauchemarsur l’île interdite Isla Damas touche à sa fin… – Ça va pas ? J’ai pas fini !- Je crois que si. Vous finirez quand on sera rentrés.Dépêchez-vous. – Capitaine, on a un problème.- Quoi ? Le dragon est revenu. Où ça ? Par ici, baissez-vous. – Il nous voit ?- Non, mais il nous a sentis. Il peut pastrouver à manger ailleurs ? Il ne reste plus que nous. On fait quoi ? On fait le tour. Il s’approche de l’hélico. À cause de l’odeur. S’il abîme une des pales,on est grillés. Faisons le tour. Il nous verra pas. Tu crois qu’il va s’enfuiren entendant le moteur ? Patientons, il partira peut-être. – Et s’il reste ?- Il faut créer une diversion. Comment on va faire ? Bonne question. Il nous a flairés ? Difficile à dire, mais il a senti quelque choseprès de lui. On devra patienter longtemps. On n’a pas le temps. Ils vont nous bombarderd’un moment à l’autre. Jerry a disparu. Par ici ! Regarde-moi, sale reptile ! Viens me chercher ! Approche ! Voilà, c’est bien. Quel crétin ! Attendez ici. Jerry, reviens ! Montez dans l’hélico ! Derrière toi ! Monte ! Mike, venez ! Vite ! Il veut pas démarrer. – Y a du carburant ?- Trois quarts du réservoir. Faites vite ! Attendez. Vous allez où ? C’est notre dernière chance.Croisez les doigts. Stoddard, t’es un bon. Accrochez-vous, on décolle. Ils s’en sont tirés vivants,pour une part. Comment ? Ça émane du Conroy ? Non, de la télé. La télé… Sur toutes les chaînes. Je rédige une déclaration. Oui, major. Faites donc ça. Adaptation : Quentin Rambaud Sous-titrage : DUBBING BROTHERS

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