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Quel est le participe passé du verbe réagir ?

Quel est le participe passé du verbe réagir ?

Quel est le groupe de partir ? Verbe du troisième groupe se conjuguant avec Être. Ont-ils reagi ? Quelle est l’orthographe de la phrase ils ont réagi ? Et surtout, comment s’écrit le mot réagi dans cette phrase, avec un s à la fin ou non ? La réponse est : sans rien à la fin, on écrit toujours ils ont réagi avec i . Ou cas où ? “Au cas où” sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif.1 janv. 2021 Quel est le participe passé du verbe peindre ? La conjugaison Est-ce que dormir est un verbe du 3e groupe ? Le verbe dormir est du troisième groupe.

Ou en français ?
Comment Appelle-t-on une personne qui pardonne tout ?
Comment s’appelle la personne qui passe une commande ?
Quel est le participe passé de manger ?
Quel est le participe passé du verbe craindre ?
Quel est le groupe de mentir ?
Quel est le groupe de courir ?
Quel sont les adverbes ?
Quand est un pronom relatif ?
Comment Appelle-t-on quelqu’un qui a du mal à pardonner ?
Comment on appelle une personne qui n’oublie pas ?
Comment Appelle-t-on une personne qui aime donner des ordres ?
Quel est le synonyme de clients ?
C’est quoi le participe passé ?
Quel est le participe présent ?
Quel est le participe passé du verbe mentir ?
Quels sont les conjonctions de subordination ?
Pourquoi une femme ne pardonne pas ?
Comment s’appelle une personne qui ne pardonne pas ?
Comment s’appelle une personne qui retient tout ?
Comment s’appelle une personne qui ne rit jamais ?
Comment s’appelle une personne qui change d’avis ?
Quel est le féminin de patient ?
Qui est un adjudicataire ?
Quel est le participe passé du verbe dormir ?
Comment mettre un verbe au participe passé ?
Comment Écrit-on tu mens ?
Pourquoi je mens ?
Quelle est la différence entre une conjonction et un adverbe ?
Comment savoir si un mot est un adverbe ?
Comment oublier les gens qui nous ont fait du mal ?
Comment on appelle quelqu’un qui ne pardonne pas ?
Comment s’appelle une personne qui n’oublie rien ?
Comment appelle celui qui oublie vite ?
Comment Appelle-t-on une personne qui n’aime pas l’humour ?
Comment Appelle-t-on une personne qui a de l’humour ?
Comment s’appelle la maladie de la colère ?
Comment Appelle-t-on une personne qui a deux visages ?
Quel est l’adjectif de gravité ?
Quelle est le synonyme de malade ?
C’est quoi une folle enchère ?
C’est quoi la surenchère ?
Quel est le participe passé du verbe sortir ?
Quel est le participe passé du verbe rougir ?
Quel est le participe passé ?
Quelles sont les participes passés ?

Ou en français ?

L’adverbe et pronom relatif où s’écrit avec un u accent grave, ce qui le distingue de la conjonction ou. Où peut marquer le lieu aussi bien que le temps : c’est le café où nous avions rendez-vous ; par où êtes-vous entré ? ; le jour où nous l’avons rencontré ; c’est l’année où j’étais aux États-Unis.

Comment Appelle-t-on une personne qui pardonne tout ?

 indulgent, indulgente Qui pardonne aisément les fautes, qui n’est pas sévère, dur : Être indulgent à l’égard des élèves. 2. Qui manifeste l’indulgence : Appréciation indulgente.

Comment s’appelle la personne qui passe une commande ?

Le commanditaire paye un exécuteur pour effectuer sa commande. Synonymes : client, maître d’ouvrage (en architecture) ; mécénat, parrain, bailleur de fonds, soutien, sponsor (anglicisme).

Quel est le participe passé de manger ?

Exemples : Le chat a mangé la souris. Le chat va manger la souris. Pour savoir s’il faut écrire le participe passé (mangé) ou l’infinitif (manger), il faut remplacer le verbe manger qui est du 1er groupe par un autre verbe du 2e ou 3e groupe (prendre): Le chat a pris la souris.

Quel est le participe passé du verbe craindre ?

craint

Quel est le groupe de mentir ?

verbe pronominal du 3e groupe.

Quel est le groupe de courir ?

​Le verbe courirest​​ un verbe du deuxième groupe​ qui se conjugue avec l’auxiliaire avoir. 7 verbes se conjuguent comme le verbe courir : accourir, discourir, recourir, concourir, encourir, secourir et parcourir.

Quel sont les adverbes ?

Types d’adverbes

Quand est un pronom relatif ?

Un pronom relatif représente et remplace son antécédent placé généralement devant lui….Pronoms relatifs – cours.

Comment Appelle-t-on quelqu’un qui a du mal à pardonner ?

rancunière. Enclin à la rancoeur, incapable de pardonner quelqu’un pour une action considérée comme un tort personnel. Exemple : Son mari est tellement rancunier qu’il lui a fait la tête toute la semaine. Étymologie : issu de rancura dérivé de l’association des mots latin rancor (rancoeur) et cura (souci).27 janv. 2022

Comment on appelle une personne qui n’oublie pas ?

Les hypermnésiques décrivent leur mémoire comme fonctionnant par associations incontrôlables. Leur mémoire ne garde pas le souvenir de chaque élément de leur vie. Elle est aléatoire et peut parfois retenir des événements perçus comme insignifiants.

Comment Appelle-t-on une personne qui aime donner des ordres ?

donneur d’ordre Sens : Se dit d’une personne qui donne des ordres.1 janv. 2021

Quel est le synonyme de clients ?

Synonyme : acheteur, acquéreur, consommateur. – Vieux : chaland.

C’est quoi le participe passé ?

Qu’est-ce que le participe passé ? Le participe est un mode qui comporte deux temps : le participe présent et le participe passé. Le participe passé permet la formation de nombreux temps composés (passé composé, plus-que-parfait, passé antérieur, futur antérieur, etc.) en s’ajoutant aux auxiliaires être ou avoir.22 mai 2020

Quel est le participe présent ?

Le participe présent est formé du radical du verbe conjugué à la première personne du pluriel au présent de l’indicatif (nous), suivi de la terminaison -ant. Il est invariable. Le participe présent peut être complété par un adverbe ou un complément d’objet.

Quel est le participe passé du verbe mentir ?

Règle du verbe mentir Attention : le participe passé menti est invariable mais démenti, démentie s’accorde.

Quels sont les conjonctions de subordination ?

Conjonctions de subordination :

Pourquoi une femme ne pardonne pas ?

Il y a trois choses qu’une femme ne pardonne pas à un homme: le bien qu’elle lui a fait, le mal qu’il lui a fait, et surtout le mal qu’elle n’a pu lui faire. Cette phrase de Marcel Pagnol contient 33 mots. Il s’agit d’une citation longue.

Comment s’appelle une personne qui ne pardonne pas ?

Définition de impardonnable ​​​ Qui ne mérite pas de pardon, d’excuse. ➙ inexcusable. Il est impardonnable.11 juil. 2022

Comment s’appelle une personne qui retient tout ?

L’hypermnésie est un syndrome caractérisé par une mémoire exceptionnelle. L’hypermnésie autobiographique ou hyperthymésie, rare, engendre la capacité de se souvenir très précisément et sans effort de chaque jour de sa vie à partir d’un moment spécifique de son enfance.

Comment s’appelle une personne qui ne rit jamais ?

Personne qui ne rit jamais, c’est-à-dire qu’elle est incapable de se montrer joyeuse. Un agelaste ne réagit ni aux plaisanteries, ni aux blagues ou aux jeux.1 janv. 2021

Comment s’appelle une personne qui change d’avis ?

versatile adj. Qui change facilement d’opinion, qui est sujet à des volte-face subites.

Quel est le féminin de patient ?

Adjectif

Qui est un adjudicataire ?

 adjudicataire Personne à qui l’on adjuge une chose ou une fourniture, dans une adjudication.

Quel est le participe passé du verbe dormir ?

La conjugaison

Comment mettre un verbe au participe passé ?

Le participe passé se forme à partir d’un verbe. En général, il se comporte comme un adjectif qualificatif, s’accordant en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte. C’est ce cas que nous abordons aujourd’hui. -l’auxiliaire être : dans ce cas il s’accorde en genre et en nombre avec le sujet du verbe.

Comment Écrit-on tu mens ?

Conjugaison du verbe mentir – Indicatif

Pourquoi je mens ?

Ils ont découvert que l’amygdale, la partie qui gère certaines émotions, a tendance à s’y habituer. C’est ce qu’on appelle l’adaptation émotionnelle : tout comme notre nez s’habitue à notre parfum et finit par ne plus le sentir, notre cerveau s’habitue au mensonge et la culpabilité s’estompe.21 août 2020

Quelle est la différence entre une conjonction et un adverbe ?

Une conjonction de coordination est un mot (ou groupe de mots), invariable, qui relie deux mots, propositions ou phrases. Un adverbe de liaison est un mot (ou groupe de mots), invariable, qui relie deux mots, propositions ou phrases.

Comment savoir si un mot est un adverbe ?

L’adverbe est un mot invariable qui précise ou change le sens d’un verbe, d’un adjectif, ou d’un autre adverbe. – Elle court rapidement. -> (“rapidement” précise le sens du verbe “courir”). – Il n’est pas très grand.

Comment oublier les gens qui nous ont fait du mal ?

Comment pardonner à ceux qui nous ont fait du mal ?

Comment on appelle quelqu’un qui ne pardonne pas ?

rancunière. Enclin à la rancoeur, incapable de pardonner quelqu’un pour une action considérée comme un tort personnel.27 janv. 2022

Comment s’appelle une personne qui n’oublie rien ?

L’hypermnésie est un syndrome caractérisé par une mémoire exceptionnelle. L’hypermnésie autobiographique ou hyperthymésie, rare, engendre la capacité de se souvenir très précisément et sans effort de chaque jour de sa vie à partir d’un moment spécifique de son enfance.

Comment appelle celui qui oublie vite ?

Les hypermnésiques décrivent leur mémoire comme fonctionnant par associations incontrôlables. Leur mémoire ne garde pas le souvenir de chaque élément de leur vie. Elle est aléatoire et peut parfois retenir des événements perçus comme insignifiants.

Comment Appelle-t-on une personne qui n’aime pas l’humour ?

Un terme qui apparaît dans l’œuvre de François Rabelais: «agélaste». Comprenez: un individu «réfractaire à l’humour».14 avr. 2019

Comment Appelle-t-on une personne qui a de l’humour ?

Lorsqu’on parle d’une personne qui aime faire rire, les équivalents de comique sont : bouffon , boute-en-train , clown , farceur ou plaisantin par exemple. Si comique désigne une personne dont faire rire est le métier, alors ce mot a pour synonymes humoriste , comédien .

Comment s’appelle la maladie de la colère ?

Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).

Comment Appelle-t-on une personne qui a deux visages ?

Diagnostic du trouble dissociatif de l’identité Les médecins diagnostiquent un trouble dissociatif de l’identité sur la base de l’histoire de la personne et des symptômes : Les personnes ont deux identités ou plus, et leur sentiment d’être elles-mêmes et de pouvoir agir comme étant elles-mêmes est perturbé.

Quel est l’adjectif de gravité ?

gravitation., pesanteur.

Quelle est le synonyme de malade ?

Synonyme : indisposé, mal-en-point, souffrant. – Familier : mal fichu, patraque. – Populaire : mal foutu.

C’est quoi une folle enchère ?

La “folle enchère” dont la dénommination a été remplacée par « la réitération des enchères » est la situation dans laquelle se trouve un adjudicataire qui n’a pas été en mesure de respecter ses engagements en payant le prix ou les frais de l’adjudication. La chose vendue est alors remise aux enchères.

C’est quoi la surenchère ?

Le mot “surenchère” vient de “revente sur enchères”. Il désigne le droit qui appartient à toute personne de remettre en cause, pendant un laps de temps prescrit par la loi, le résultat d’une vente judiciaire sur saisie immobilière en offrant un prix supérieur de 10% du montant ayant donné lieu à l’adjudication.

Quel est le participe passé du verbe sortir ?

La conjugaison

Quel est le participe passé du verbe rougir ?

rougi

Quel est le participe passé ?

​​Le participe passé est un temps simple qui fait partie du mode participe. Employé avec un auxiliaire, il forme les temps composés des verbes. Le participe passé peut également être employé sans auxiliaire : il s’agit alors d’un adjectif participe (autrefois appelé participe passé employé seul).

Quelles sont les participes passés ?

Les participes passés sont invariables lorsque, à l’intérieur d’une phrase, ils se rapportent à un nom construit sans déterminant et qu’ils précèdent immédiatement. Ex. : Veuillez trouver ci-joint, copie de la liste. Ces participes passés sont invariables s’ils sont intransitifs.


[Musique] bonjour à tous je suis ravi de vous retrouver dans des conditions exceptionnelles puisque nous allons donc diffuser cette webdiffusion chacun de chez nous en format qu’on finit comme vous pouvez tous l’être actuellement donc nous avons quand même tenu à poursuivre et à vous accompagner dans cette démarche de continuité pédagogique nous avons gardé le sujet initial donc l’étude de la langue notamment une focale sur l’enseignement de la grammaire ou cycles 2 et 3 et je me trouve actuellement donc à mon domicile et nous avons pu réunir un certain nombre d’intervenants qui était initialement prévu en studio à liège 2 e f et nous avons pu réunir donc les captations vidéos des uns et des autres pour arriver à concentrer à condenser tout ça pour avoir un format qui puisse être diffusé et je remercie vraiment chaleureusement l’équipe de l’audiovisuel de l’institut des hautes études de l’éducation et de la formation qui s’est donc attelé au montage de tout cela donc je suis ravi de vous retrouver puisque nous allons essayer d’accompagner cette continuité pédagogique en réfléchissant justement ensemble à cet enseignement de la grammaire qui n’est pas sans poser quelques questions quelques interrogations depuis quelques années vous avez vous même en tant que formateur ou enseignant ou même par an si vous nous écoutez pu constater qu’il y avait à la fois des préconisations et des recommandations qui n’était pas forcément évidente qui ont pu même déstabilisé les pratiques des enseignants et depuis la dernière circulaire du ministre jean michel blanquer r nous avons des éléments maintenant assez claire sur la démarche à mettre en oeuvre et la notion de manipulation de de travail autour d’eux des notions grammaticales avant d’arriver à une synthèse à une formalisation et de ces notions là ce n’est pas aussi sans questionner la question de la progressivité de ces notions nous allons voir justement grâce à aux différentes interventions de ce matin comment être extrêmement prudent avec les notions à enseigner nous allons entendre donc le témoignage de thomas le rookie et chef du bureau des écoles à la dgesco monsieur leroux va donc intervenir et nous présenter les enjeux et les ressources en lien avec les frais du ministre concernant l’enseignement de la grammaire bonjour à tous thomas leroux chef du bureau des écoles maternelles et élémentaires la direction générale de l’enseignement scolaire au préalable de cette webdiffusion je tenais à remercier l’ensemble des professeurs des maîtres formateurs des conseillers pédagogiques et des inspecteurs de l’éducation nationale qui poursuivent leur travail dans ces circonstances exceptionnelles et qui participe à l’accompagnement de tous les élèves dans la cadre de la continuité de la continuité pédagogique je tenais dans un second temps aussi à remercier liage de f2 poursuivre son sa mission de formation avec la dgesco est de fournir à 6 à l’ensemble des cadres de l’éducation nationale un suivi et des actions de formation de grande qualité merci merci à vous cette webdiffusion consacrée à l’étude de la langue est une des priorités du ministre elle s’inscrit bien évidemment dans la politique de lutte contre la difficulté scolaire et la maîtrise par tous les élèves des fondamentaux à l’issue de l’école élémentaire ainsi cet enseignement de l’étude de la langue est un enseignement qui prend en compte bien entendu la grammaire l’orthographe et le lexique et s’inscrit dans la droite dans le droit fil des recommandations qui ont été publiées en avril 2018 ces recommandations qui ont été il ya auquel s’ajoute une refonte des programmes en français pour le cycle 2 et pour le cycle 3 et une publication de repères de progression qui doivent permettre d’assurer un enseignement explicite et progressifs pour chacun pour chacun des élèves l’enseignement de la grammaire de l’orthographe et du lexique sont trois domaines d’enseignement dont les articulations et les complémentarités doivent apparaître clairement aux élèves ça a été affirmée dans les recommandations et dans les différentes publications qui sont qui s’en sont suivies bien entendu dans le cadre de la classe c’est bien là l’intérêt que que nous avons tous à coeur les connaissances sur les frais de la langue font l’objet de séances qui sont spécifiques et qui doivent être quotidienne car la régularité de cet enseignement est gage de réussite pour chacun des élèves de ses activités de ces séances d’enseignement qui doivent permettre aux élèves de découvrir les règles d’observer l’effet de la l’angle de pouvoir les comprendre de pouvoir les les enregistrer de pouvoir les intégrer doivent s’ajouter des activités d’entraînement et d’automatisation qui permet de réinvestir et qui concourent au soudan elles soutiennent la structuration des connaissances que les élèves que les élèves doivent avoir le tome et l’automatisation progressive des mécanismes à qui permettra ensuite de les réinvestir dans les activités d’écriture et de lecture qui seront proposés aux élèves parmi ses activités je prendrai peut-être un exemple à un exemple parce qu’il est assez parlant c’est l’exemple de la dictée quotidienne que les élèves que les élèves font cette activité qui n’est absolument pas désuète et qui lorsqu elle est objective et permet d’identifier pour l’élève les phénomènes de la langue de pouvoir les humbles et réinvestir et ainsi de consolider ses connaissances par une activité d’écriture qui est qui et quotidienne de plus l’organisation de l’emploi du temps de l’élève la régularité le temps d’apprentissage qui sont qui sort qui seront passés permettra une meilleure maîtrise grammaticales à la fin du cm2 et ainsi de lutter contre les 20 % d’élèves qui sont en échec et qui ne maîtrisent pas correctement les fondamentaux à la fin de l’école élémentaire et leur permettre une arrivée au collège qui sera beaucoup plus sereine et qui les mettra en situation de réussite en lien un lien avec les publications que ce soit les recommandations que ce soit les programmes d’enseignement qui ont été revues en français que ce soit les repères de progression fabrice poli inspecteur général de l’éducation du sport et de l’art cherche évoquera avec vous la publication prochaine d’une termine terminologie grammaticales qui a pour but de promouvoir et de donner des outils pour que cet enseignement explicite et progressif soit plus facilement mis en oeuvre dans le cadre dans le cadre des programmes se terminait cette terminologie a pour vocation de vous accompagner et d’accompagner la rénovation qui a été entreprise depuis le début de la rénovation des enseignements qui est entreprise depuis 2018 c’est pourquoi je souhaite à chacun et chacune d’entre vous une très bonne session de formation qu’ils soient riches et qui permettent de poursuivre la réflexion la réflexion pédagogique et didactique que vous avez au coeur de vos circonscriptions je souhaite à chacun et chacune d’entre vous une très bonne session de formation à distance et vous renouvelle mère mes remerciements pour votre implication au quotidien bonbonnes bonnes sessions de formation pour commencer nous allons avoir un l’enregistrement la visio que antoine gauthier et anouch bourg magnon on a accepté de faire donc ce sont deux personnes qui sont maîtres de conférences à l’université paris sorbonne et qui devait être présent dans notre studio donc en lieu et date de la diffusion de cette capsule je les remercie d’avoir accepté cet exercice qui n’est pas forcément simple de leur domicile de nous proposer donc une intervention pour un ouïgour magnan sur la question des constituants de la phrase voilà il est essentiel que l’on puisse se mettre d’accord sur la manière dont on va aborder ces questions là auprès des élèves je vois aujourd’hui un beaucoup de support qui sont proposés ou de deux demandes qui sont faites par les enseignants notamment par exemple de production de petites phrases qui sont ensuite analysées par les élèves est renvoyé à l’enseignant et ce n’est pas sans interroger la façon dont un au monde les différents constituants la phrase 2 comment nous les identifions et nous les repérons et nous les signalons donc dans cette phrase donc à nous pour my on va vraiment nous éclairer sur ce point là et nous aurons ensuite antoine gauthier qui a accepté d’intervenir sur les types de phrases suite à leur intervention je reviendrai donc moi-même pour vous présenter une démarche possible d’enseignement que nous essaierons d’adapter ou contexte aussi de la continuité pédagogique donc je laisse la parole à antoine gauthier et anouch gurmaï ans et je vous retrouve juste après a tout de suite bonjour alors donc pour rappel l’objectif de l’enseignement de la grammaire est de permettre aux élèves d’acquérir une compétence métalinguistique non seulement ceux ci doivent être capables de maîtriser les principaux outils grammatico mais ils doivent pouvoir le faire de manière consciente en sachant identifier et nous mais ces outils en mer la phrase est considérée comme la structure fondamentale c’est à partir de la phrase que les autres structures peuvent être définies en la phrase est bien sûr une entité complexe qui est formé de différents constituants en constituant et en un mot ou un groupe de mots constituants qui tissent entre eux des relations diverses selon une structure hiérarchisée chacun de ses constituants présente une nature la nature étant la même quel que soit le contexte d’insertion du constituant est une fonction qui elle bien sûr varie en fonction du contexte d’insertion et qui va définir la relation de se constituer avec un autre élément central dans cette courte vidéo nous allons reprendre ensemble la phrase et ses principaux constituants nous verrons donc dans un premier temps la phrase dans un second temps le groupe sujet et la fonction sujet qui lui est attaché dans un troisième temps nous nous pencherons sur le groupe verbales et les fonctions de complément d’objet direct complément d’objet indirects et d’attributs du sujet et enfin dans un quatrième et dernier temps nous nous pencherons sur le groupe circonstanciel et la fonction complément circonstanciel qui lui est attaché vous pouvez voir capitule hâtif de ce plan sur la première de positif donc ce que nous allons ici tâcher de faire c’est d’une part de rappeler les principales caractéristiques de ses constituants et c’est également de souligner les difficultés que pourront éventuellement rencontrer les enseignants de voir un peu quels sont les principaux bien sûr on ne peut pas tous les voir mais de voir quels sont les principaux écueils à éviter ainsi un aspect essentiel de notre démarche sera vraiment de partir des cas dits prototypique c’est à dire des cas les plus représentatifs de la catégorie et ce n’est que progressivement qu’il faudra élargir les définitions et le champ d’application t&d différentes notions il s’agit vraiment dans un premier temps de laisser de côté les cas les plus difficiles les cas qu’on appelle les cas limites qui sont aux marges de la catégorie considérée alors pourquoi procéder ainsi pour éviter tout simplement de perdre les élèves pour leur donner un socle claire instaure un socle stable et ensuite à partir de ce socle ils pourront appréhender les subtilités de la langue qui sont qui sont évidemment tout l’intérêt de la grammaire mais cela ne pourra se faire qu une fois que les élèves roues bien en tête les cas les plus représentatifs de chaque catégorie ainsi une conséquence de cela et que les exemples que nous proposons ne sont pas des exemples qui sont issus de corpus authentique mais vraiment des exemples entièrement fabriqué parce qu’il est indispensable pour un enseignant de pouvoir contrôler les données qu’il ou elle soumettra à ses élèves de manière à respecter ce principe de progressivité la phrase la phrase dite type est composé de deux éléments le groupe sujet et le groupe verbal par exemple dans la phrase le facteur distribue le courrier le groupe sujet est le facteur et le groupe verbal distribuer le courrier dans une phrase type ces deux éléments que j’ai et groupe verbales sont obligatoires ancien on évitera de présenter aux élèves des freins qui s’écarte de ce modèle prototypique c’est à dire des phrases par exemple qui ne comporte pas de sujet explicites comme les phrases impérative du type sort ou des phrases à verbale c’est à dire les phrases sans verbe du type par exemple excellent ce repas la phrase peut aussi comporter un élément qui vient apporter des informations complémentaires qui ne sont pas obligatoires à savoir le groupe circonstancielle donc sur la diapositive 2 vous voyez un schéma représentant la phrase titre avec de son groupe ce sujet son groupe verbale et éventuellement un ou d’ailleurs plusieurs groupes circonstancielle entre ces trois groupes majeurs un constituant la phrase le couple sujet verbal et le groupe circonstancielle on peut identifier deux fonctions d’une part la fonction sujet et d’autre part la fonction complément circonstanciel mais il existe bien sûr au sein de la phrase une hiérarchie des fonctions à l’intérieur du couple herbal par exemple nous pouvons identifier d’autres fonctions la fonction complément d’objet qui se disent aussi un complément d’objet fonction complément d’objet direct aux fonctions complément d’objet indirecte mais également notamment la fonction attributs du sujet donc sur la diapositive 3 je vous propose une liste des différentes fonctions que nous allons revoir ici à savoir la fonction sujet de son complément circonstanciel les fonctions complément d’objet direct ou cod complément d’objet indirects ou c’est oui et la fonction à traiter de sujets enfin même si nous n’en parlerons pas ici il faut préciser qu’au sein de ses constituants eux mêmes lorsqu’ils sont des groupes nominaux on peut également trouver d’autres fonctions notamment la fonction ip des épithètes saint pardon ou la fonction complément du non qui sont toutes deux au programme des cycles 2 et 3 examinons donc chacun à deux des trois groupes constitutifs de la phrase le groupe sujet le groupe verbal et le couple circonstancielle alors le groupe sujet maintenant et la fonction sujet la fonction sujet définit la relation d’un constituant avec le groupe verbal alors comment aborder cette mission sujet comment définir le groupe sujet c’est-à-dire le constituant qui endosse cette fonction sujet alors une première approche peut être fondée sur le sens donc c’est la proche dit sémantique qui est la plus intuitif on dira en effet que le sujet où le groupe sujet des identités qui accomplit l’action exprimée par le verbe on donnera alors des exemples clairs avec un verbe qui exprime nettement une action et un groupe sujet qui désigne également une entité clairement active par exemple pourra proposer des phrases comme le chat joue avec la pelote de laine les parents lisent le journal parce que dans ces phrases le chat et les parents sont clairement actif mais à l inverse on évitera au moins dans un premier temps des verbes qui exprime moins nettement une action et des sujets qui ne désigne pas clairement une entité active par exemple on évitera les phrases du type la sauce tomate va avec les pattes bien l’église domine la vallée parce que dans cette danse et phrase on le voit bien ni la sauce tomate mais l’église ne sont des entités très très active donc non pas bien sûr que s’écrasent ne présente pas de sujet mais elles ne sont pas prototypique sur le plan du sens donc on est traître à on les abordera pas dans un premier temps on privilégiera les phrases du type précédent on pourra aussi progressivement introduire des verbes attributif et on élargira en conséquence la définition sémantique du sujet on pourra ainsi dire que quand le verbe décrit un état le sujet désigne l’entité qui présente cet état pour à illustrer cela avec des exemples très simple du type la maison est grande donc qu’est-ce qui est grand c’est la maison mais cette approche celle antique du groupe sujet et de la fonction sujet doit ce couple est très rapidement avec une approche morpho syntaxique dans laquelle on explique aux élèves que donc le groupe sujet détermine l’accord du verbe 7,7 cette approche morpho syntaxique est vraiment crucial pour la fonction sujet parce qu’en fait c’est le seul critère définitoire qui ne souffre aucune exception même lorsque le sujet est impersonnelle alors qu’on l’a vue là la définition l’approchent sémantique elle est moins stricte et présente assez rapidement des cas limites des cas qui s’éloigne des gars plus prototypique nous pour faire comprendre cette notion d’accord du verbe avec le sujet vous pourrez par exemple on peut par exemple faire varier le sujet de telle manière que le changement d’accord du verbe se voit et s’entendent par exemple pourra on pourra proposer des frappes des pères de phrases comme je mange nous mangeons l’enfant lee les enfants lisent al’inverse on évitera des perdus phrases du type j’aime le chocolat ils aiment le chocolat puisque là on entend une voix la différence entre les deux formes verbales de manger la première et la troisième personne du singulier pour aider les élèves à repérer le sujet on peut aussi s’appuyer sur la place sujet puisque pour la phrase type dans la phrase canonique les sujets précède directement le verbe dans ce cas on prendra soin de choisir dans un premier temps les phrases ou le sujet précède le verbe mais le précède directement donc non n’est pas séparée par un autre élément par exemple on pourra proposer une phrase comme vous manger un gâteau on évitera non pour étudier la place du sujet mangez-vous un gâteau bien vous ne mangez pas de gâteau ou vous le manger des corps voilà donc je propose un récapitulatif un bref de cette notion sujet sur la diapositive numéro 4 alors passons maintenant au groupe verbale et aux fonctions de compléments d’objet et d’attributs de sujets alors tout d’abord vous remarquerez que l’on définit les sont des constituants au sein du groupe vers ban mais on peut se demander quelle est la fonction du groupe verbal lui-même la fonction du groupe verbale et celle de predica mais vous le savez c’est une notion qui n’est pas encore stabilisé dans la terminologie grammaticales duel en milieu scolaire cette fonction que certes s’appliquer à d’autres constituants que l’euro verbales mais dans les cycles 2 et 3 ces autres cas ne sont pas abordés donc on préférera laisser de côté cette notion parce qu’ici elle n’est pas explicative et elle aurait pour seul effet de surcharger le propos le groupe perd ban se compose d’un verbe et éventuellement d’un ou plusieurs constituants on n’abordera pas tout de suite avec les élèves la fonction précise de ces différents constituants en revanche il est important que les élèves comprennent immédiatement qu’un groupe verbal peut soit se réduire aux verbes comme dans mary lee soit présenté un voire deux constituants supplémentaires comme dans mary lit un livre ou bien marri lire livres aux enfants où le groupe verbale et respectivement lire lire et lire un livre aux enfants pour étudier le groupe urban ou comment sera pas représentée uniquement aux élèves des phrases avec un groupe sujet et house verbale sans groupe circonstancielle dans leur demandera tout d’abord de distinguer groupe sujet et qu’on perd balle au sein du groupe verbale on ne leur demandera pas tout de suite de nommer ou d’indiquer la fonction des constituants mais simplement de les identifier par exemple dans mary lit un livre aux enfants il s’agira d’identifier un livre et aux enfants sans forcément savoir tout de suite les nommer progressivement ensuite on présente les différents types de compléments du verbe alors tout d’abord le complément d’objet direct la fonction complément d’objet direct concerne une relation particulière d’un constituant avec le verbe quels en sont les caractéristiques le complément d’objet direct peut-être soit un groupe nominal mais attention dans ce cas un groupe nominal 100 propositions contrairement aux compléments d’objet indirectes comme dans mary lee le livre le livre de cod il peut être également un pronom comme dans mary le lit le cod est ici le sur un plein d’infos syntaxique bien sûr il n’y a pas d’accord entre le verbe et le cod comment le présenter maintenant sur le plan du sens alors de manière générale de même que l’autre complément du verbe c’est oui le complément d’objet direct être impliquée par le sens du verbe par exemple le verbe boire implique un cod dont le sens est compatible avec le sens de boire on peut dire elle boit de l’eau elle boit du café mais on ne pourra pas dire le bois une chaise ceci est en pause et on pourra plus précisément présenter le cod de la manière suivante le cod des identités qui subit l’action exprimée par le verbe on choisira alors des exemples prototypique comme dans gens mangent un gâteau ou un gâteau subi clairement l’action effectuée par jean et on évitera à inverse d exemple du type l’église domine la vallée où la vallée ne subit rien du tout de la part de l’église on peut également s’appuyer sur la place puisque le cod suis généralement directement le verbe donc dans les phrases en tout cas dans la phrase type 1 la france canonique on donnera évidemment des phrases qui respecte cet ordre et on évitera dans un premier temps de séparer le verre b2c au départ d’autres constituants par exemple on proposera la maîtresse il y un livre aux enfants le c ou d un livre suit directement le faire venir mais on évitera la maîtresse les aux enfants un livre où le verbe lire et un le cod un livre sont séparés par le coi aux enfants attention on évitera des compléments du type des larmes de joie dans j’en pleure des larmes de joie bien un rêve horrible dans il rêve un rêve horrible on le voit ces compléments d’abord apparaissent avec des verbes qui habituellement ne prennent pas de complément en pleurer et rêver sont habituellement entre tif et puis c’est complet ces compléments on le voit également son une répétition d’un du sens du verbe on ne peut pleurer que des larmes on peut rêver qu’un rêve d’accord il semble plutôt donné peut-être une information sur une circonstance de l’action décrite par le verbe bon toujours est il que leur statut dramatique elle n’est pas forcément clair on peut éventuellement les appeler des compléments d’objet direct on les appelle parfois aussi des compléments d’objet qu’interne dans tous les cas aussi que le 2 et 3 on évitera ce type de cas qui sont extrêmement intéressants mais qui sont trop difficiles et qui n’aurait pour effet que de perturber les élèves à ce stade je vous laisse donc consulté le récapitulatif sur la diapositive 5 passons à présent en complément d’objet indirects donc le complément la fonction complément d’objet indirects ou coi définit elle aussi une relation particulière d’un constituant avec le verbe en termes de nature le coi peut-être un groupe nominal mais attention dans ce cas là il sera précédé d’une pré position il sera prêt positionnelle comme à son fils dans mary lee un livre à son fils ou un pronom comme marie lui lire nuit dans mari lui lit un livre sur un plan parfait syntaxique il n’y a pas d’accord entre le verbe et le seui sur le plan du sens à présent alors tout d’abord comme le cod le coi est impliquée par le sens du verbe par exemple dans elle va à paris à paris est un série parce que le verbal et implique une destination on va forcément quelque part donc l’important sera vraiment de donner des exemples où le seui est clairement requis par le sens du verre où il n’y a pas d’hésitation possible avec un complément circonstanciel on évitera ainsi les cas ambigus du type alice travail à paris cette phrase peut en effet être interprété de deux manières soit comme tel et à paris alice travail dans ce cas là à paris sera un complément circonstanciel mais elle peut être aussi interprété comme le travail d’alice se situe à paris dans ce cas là à paris sera oui bon donc si vous rencontrez ce type de cas attention évidemment ne pas les utiliser avec les élèves ça ne ferait que les troubles et est de manière générale un enseignant hésitant ça peut ça peut tout à fait arriver ça peut arriver à tout un chacun non si l’enseignant hésite sur entre complément d’objet en direct et compléments circonstanciels pourra constituer en donner c’est cela signifie que l’exemple n’est pas à choisir donc je vous laisse consulter la diapositive numéro 6 sur laquelle je propose un récapitulatif du de la fonction si oui je passe à présent à la dernière fonction au sein donc il sera présenté aux cycles 2 et 3 au sein du groupe urban à savoir la fonction de la tribu du sujet alors la tribu du sujet ou la fonction attributs du sujet défini une relation particulière d’un constituant avec le sujet en termes de nature la tribu du sujet peut-être un adjectif ce qui n’était pas le cas des compléments d des compléments d’objet par exemple grande dans cette maison est grande le la tribu de cheikh peut également être un groupe domine al comme une bonne avocate dans alice est une bonne avocate sur un plan morpho syntaxique fera observer aux élèves que lorsque c’est un adjectif la tribu du sujet s’accordent en genre et en nombre avec le sujet on choisira des exemples où l’accord se voit et s’entend clairement par exemple pourra proposer les phrases le garçon est beau la fille est belle si l’antique mans sur le plan du sens alors la tribu du sujet indique une propriété en état du sujet ou permet de catégoriser le sujet par exemple grande dans alice et grande tenue caractéristique sur la taille d’avis alice avocate dans alice est avocate nous indique en fait que on peut catégoriser alice dans la classe des avocates comme pour les autres catégories il faudra ici choisir lé cad attributs du sujet prototypique alors cela signifie ici qu’il faudra choisir des phrases ou le verre des clairement attribuées if soit qu’il s’agisse du verbe être soi qu’il s’agit de verbes comme paraître semblait demeurer qui peuvent être remplacés par être d’accord al’inverse on évitera les cas limites comme les compléments des verbes deux mesures les compléments de verbes comme coûté pesé mesuré valoir d’accord par exemple 50 kilos dans le pack et pèse 50 kilos une fortune dans cette maison coûte une fortune certes le constituant semble bien indiquer une caractéristique du sujet mais d’autres analyses concurrentes sont également possibles un peu aussi remettre en cause le statut de cod le statut pardon d’attributs du sujet de ses constituants on va éventuellement les catégoriser comme des cod d’accord donc on évitera aux cycles 2 et 3 ce type de cas plus litigieux décor voilà je vous laisse regarder leurs calculs hâtif sur la concernant la tribu du sujet sur la diapositive 7 enfin le groupe circonstanciel et la fonction complément circonstanciel alors la fonction complément circonstanciel désigne la relation entre un constituant données et l’ensemble groupe sujet groupe urban c’est une nouveauté par rapport aux constituants que l’on a vu précédemment ce groupe circonstancielle peut présenter des natures diverses plus diverses à vrai dire que les constituants qu’on a vu précédemment il peut s’agir d’un groupe nominal par exemple ce soir je vais au concert d’un groupe nominal près positionnelle comme dans à marseille il fait beau d’un adverbe comme dans aujourd’hui je travaille ou d’une proposition subordonnés comme dans je suis fatiguée parce que je me suis couché tard sur le plan du sens alors là le point très important à retenir un la grande différence avec le complément d’objet du verbe directe ou indirecte qui a été lié au sens du verbe c’est que le complément circonstanciel n’entretient aucun rapport de sens nécessaire avec le sens du verbe il se contente de donner des informations complémentaires au sujet de l’événement décrit par lançant donc le sujet coupe verbal par exemple il peut indiquer le lieu de l’événement comme dans à marseille il fait beau le moment de l’événement comme dans aujourd’hui je travaille ou la cause de l’événement comme dans je suis fatiguée parce que je me suis couché tard il est donc facultatif c’est là aussi un point très important le groupe tire constant ciel peut être supprimées sans que la phrase de vienne incorrect paresseux bancal par exemple on peut dire tout à fait je vais au concert il fait beau je travaille où je suis fatigué et second point important il peut souvent être déplacé 1 ce qui montre son autonomie par rapport à l’ensemble des coupes herbal si on peut dire ce soir je vais au concert mais également jeté son concert ce soir comme dans le cas du coi on évitera absolument les cas ambigus ou la confusion est possible justement avec le complément d’objet en direct ou par exemple on évitera les phrases du type à dix travaille à paris voilà donc je vous laisse consulter la dernière diapositives un rallye à ‘positive’ 8 qui présente un récapitulatif sur le sur le groupe circonstancielle voilà et j’espère que ces quelques minutes auront pu être utile bien j’ai donc consacré un très court exposé à la question des types et des formes de phrases le langage vise à interagir avec autrui il permet d’accomplir des actes communiqué un certain état de fait que l’on croit vrais demandeurs d’une information ou donner un ordre ce qui est illustré dans l’exemple 1 le chat est sorti communique un certain état de fait effectivement à tuer ou blida trousses demande une information et enfin prends tes affaires le dessin donne un ordre chacun de ces actes visent à susciter une certaine réaction de l’interlocuteur dans le premier cas la réaction attendue et que l’interlocuteur prennent en compte l’information qui lui transmise et qu’il intègre à sa connaissance du monde dans le deuxième cas c’est évidemment qu’ils communiquent leurs renseignements considérés comme manquants par le locuteur savoir si oui ou non latrous a été oublié et dans le troisième cas enfin la réaction est attendue et l’exécution de l’acte formulées pour chacun de ses actes la langue possède une structure de phrases canonique que l’on appelle type de phrase bien qu’il n’y ait pas de consensus absolu en linguistique quant au nombre de type de phrase qui est reconnue il est courant de retenir trois qui sont présentés dans la diapositive suivante est illustrée dans l’exemple 2 jeanne est sorti correspond au type déclaratif où sont mes lunettes au type interrogatifs et sortez vos classeurs au type impératif chacun de ces types est associé à un acte de langage comme s’est illustré dans le tableau en dessous le type déclaratif et associé à l’assertion le type interrogatif à l’interrogation est le type impératif à l’injonction toute phrase se rangent nécessairement dans l’un de ces trois types on peut donc définir un type de phrase comme l’association régulière est obligatoire d’une certaines structures de phrases type d’interprétation type d’interprétation qui correspond à un acte de langage particulier à plante une réaction de l’interlocuteur pour dire un mot rapide des propriétés des différents types de phrases on peut déjà dire que le type déclaratif ne possède pas de marque caractéristique sinon par contraste avec les deux autres peuvent en revanche sont identifiés par des propriétés morpho syntaxique graphique est atone hâtives parmi les propriétés morpho syntaxique on va évidemment avoir l’ordre des mots ou encore la présence de maud une classe spécifique à tel ou tel type ou enfin l’emploi de tel ou tel mot devait de tel ou tel mode verbal pour les caractéristiques graphiques il s’agit évidemment au premier chef de la ponctuation et pour les caractéristiques internes hâtives il va s’agir de courbes mélodiques propres là aussi à tel ou tel type particulier de phrases le type interrogatif tout d’abord se reconnaît à plusieurs indices dont certains peuvent apparaître simultanément mais qui en revanche ne sont pas tous simultanément présent le premier et le plus important c’est peut-être la présence d’un mode interrogatif qu’il s’agisse d’un adverbe comme caen dun prenons comme ku que ou bien d’un déterminant comme quel ou lequel la seconde propriété c’est l’inversion du sujet alors inversion est mis entre guillemets parce que il s’agit en réalité plutôt d’une pause position au plan linguistique un poste position du sujet nominale ou pronominale après le verbe cette inversion peut-être simples ou complexes selon les configurations syntaxique la troisième propriété du type interrogatif c’est à l’écrit la présence du point d’interrogation et la quatrième à l’oral c’est la présence d’une intonation spécifiquement montante en particulier en fin de phrase le type interrogatifs et illustré dans les quatre exemples du numéro 3 quand venez-vous qui pierre va-t-il invités avec cette fois ci donc une inversion complexe quel film at elle choisi ou enfin dans l’exemple 3d vous venez oui ou non qui illustre un type interrogatif sans inversion du sujet le type impératif se reconnaît à la présence d’un mode verbal particuliers qu’il s’agisse de l’impératif à la deuxième personne du singulier ou bien à la première et à la deuxième personne du pluriel ou bien présence du subjonctif précédé de queue à la troisième personne du singulier et du pluriel le mode impératif est illustrée dans l’exemple 4 entre entrons entrée ou bien qu’elle s’en aille qu’il s’en aille ici au pluriel à côté d’eux des type de phrase que nous venons le voir on définit aussi des formes de phrases qui sont des configurations syntaxique associé à une certaine interprétation on distingue la forme négative la forme exclamative la forme passive la forme impersonnelle et enfin plusieurs sous catégories de forme emphatique qui sont chacune illustrée donc dans l’exemple 5 lors ne sortira pas s’agit évidemment de la forme négative comme il fait froid de la forme exclamative martin est aidé par son frère est une forme de phrases passive il est arrivé une lettre pour toi une forme impersonnelle et enfin cette lettre je l’ ai déjà lu c’est une dislocation qui est donc une forme emphatique de phrases ses différentes formes peuvent se combiner avec l’un des trois types fondamentaux ce qui est illustré dans l’exemple 6 où on voit donc différentes combinaisons de type et de forme lors ne sortira pas assez donc une phrase de type déclaratif mais de forme négative avez vous été vu par le médecin c’est une phrase interrogative pour ce qui est du type mais passive pour ce qui est de la forme ces livres rangés l’est c’est une phrase de type coopératif mais qu on fatigue quant à la forme et à les voir et et ce bruit c’est une phrase de type interrogatif mais exclamative quant à sa forme ses différentes formes peuvent également se combiner entre elles comme s’est illustré à l’exemple 7 alors dans une certaine mesure seulement une phrase de type déclaratif se trouve combiné aux formes négatives et passive dans l’exemple à ce paquet n’a pas été ouvert par pierre aux formes exclamative et emphatique dans l’exemple b les polars j’adore ça et enfin aux formes négatives et un personnel dans l’exemple c’est il ne s’en est pas fallu de beaucoup ce qui distingue fondamentalement les formes de phrases des trois types déclaratif interrogatif est impératif que nous avons vu tout à l’heure c’est qu’elles sont facultatives est toujours associé à l’un des types obligatoires à cet égard on peut considérer que l’exclamation constitue bien une forme et non un type de phrase certes elle possède des marques morpho syntaxique spécifiques les mourides clame atif que si comme quelqu’un qui sont des adverbes roues des déterminants elle possède également un signe de ponctuation qui lui est propre le point d’exclamation écrit évidemment elle possède également un contour prosodique particulier qui est présent le plus souvent dans les éclats dans les exclamations à l’oral elle possède également un contour prosodique souvent particulier qui la marque le plus souvent à l’oral s’est illustré dans les exemples 8 abc que c’est cher quelle patience vous avez et elle est si courageux comme l’exclamation est compatible avec les trois types phrase fondamentaux que nous avons vu tout à l’heure reconsidère qu’elle est plutôt à ranger parmi les formes de phrases comme l’élan naturel permet d’exprimer une infinité de penser avec des moyens très limités il était inévitable qu’une même forme puisse recevoir plusieurs interprétations les types de phrases ne déroge pas à ce principe général et il est courant de rencontrer des contextes dans lesquels une phrase d’un certain type ne saurait ne pourrait être associé à l’acte de langage auquel elle correspond habituellement c’est ce que l’on observe dans l’exemple neuf où l’on voit par exemple une phrase de type déclaratif qui accomplit un acte d’injonction pour vous prenez vos agendas tout de suite on voit également une phrase interrogative qui accomplit un acte d’assertions une phrase interrogative accomplissant un acte d’injonction tu fumes dans la maison où enfin une phrase déclaratives accomplissant le même acte dans tous les cas il est exclu de réagir la phrase sur la base de son interprétation littérale l’attention du locuteur peut cependant être plus ou moins faciles à deviner selon les cas il est pratiquement impossible d’interpréter 9a comme un acte d’assertions et il n’est guère plus facile de concevoir une réponse appropriée à 9 b si on l’interprète comme une question en revanche 9 c et 9 des laisse une marge plus importante au contexte et à la sagacité ou à la bonne foi de l’interlocuteur celui ci peut très bien passer à côté des intentions du locuteur et ne pas répondre de manière appropriée la question des types et des formes de phrase est complexe parce qu’elle traverse plusieurs plans d’ analyse linguistique la morpho syntaxe et la sémantique bien évidemment mais aussi et surtout parce qu’elle sort du strict domaine de la langue pour se déployer dans le domaine pragmatique ou le contexte va jouer un rôle crucial il filait dans l’interprétation c’est aussi une question dont les enjeux didactiques sont importants s’il faut évidemment préparer les élèves à la rencontre d’une réalité linguistique très riche très plastique dans ses interprétations l’enjeu est peut-être d’abord de leur faire prendre conscience qu’il existe des structures syntaxiques régulière qui sont associés à une interprétation prototypique et c’est à partir de cette prise de conscience que l’on va être en mesure de construire un poste d’observation linguistique stable robuste qui permettra d’appréhender au mieux la diversité des usages merci donc à nous bourrer mayans et antoine gauthier pour leur intervention de ce matin nous avons pu maintenant clarifier un petit peu tous ces éléments là est ce que je vous propose c’est de poursuivre justement la réflexion en allant vers une démarche qui nous a été proposé donc par isabelle goût billets qui donc irene sur l’académie de paris et vous avez pu pour certains l’entendre par ailleurs lors du ces l’inner nationale des hymens premier degré le séminaire de rentrée et donc isabelle billet était accompagné pour cette ressource qui va vous être présenté par catherine dorion qui est donc conseillère pédagogique et je vais vous présenter je vais me faire la porte parole de cette démarche qui a été donc préconisé vous voyez actuellement à l’écran la première diapositives qui est une diapositive qui vous présente la démarche donc la démarche de l’enseignement de la grammaire à l’école et manque des mots forts comme observations régulation automatisation répétition mémorisation structuration des mots forts qui sont aujourd’hui donc absolument indispensable et avoir une démarche qui va donc aller à la fois de l’imprégnation à la conceptualisations donc là vous voyez maintenant apparaître la deuxième diapositives une diapositive où il ya beaucoup d’écrits mais nous allons reprendre ensuite étape par étape donc ne vous inquiétez pas si vous n’avez pas le temps de tout lire puisque cela va être repris donc juste à la suite vous voyez donc une première étape où les élèves et d’enseignants sont plutôt dans une collecte de mots et de groupe ensuite il va y avoir un tri qui va être effectué avec l’enseignant les élèves les élèves vont pouvoir observer manipuler réfléchit mieux définir des catégorisations et nous allons ensuite au niveau de l’étape 4 avoir des élèves et des enseignants qui vont nommer ces catégorisations et qui vont ensuite avoir a réinvesti mire et puis le tout travail de systématisation de mémorisation et de transfert va se faire par la suite et par un travail évidemment autour de la production d’écrits donc ces étapes là je vous propose de prendre le temps de les illustrer une à une il nous allons avoir monk la démarche cycle 2 et la démarche cycle iii concernant la démarche du cycle 2 voilà une petite un élément de propositions de progressivité en cp on a donc des gestes qui vont être plutôt de type collecter trier et classer ça correspondra à l’étape une que nous allons voir juste après on s’est eu 1 nous avons être davantage sur une continuité autour de bien sûr collecter trier classer des exemples dits réguliers ils n’essaient ira pas à ce moment là de mettre les élèves en difficulté par rapport à toutes ces irrégularités que l’on peut observer dans la langue française mais plutôt de faire constater les régularités au maximum par les élèves en ce2 la démarche est donc continuer comme vous le voyez nous allons partir des rencontres qui sont faites par les élèves des extraits par exemple qui seront issues des textes de lecture de nouveaux exemples qui seront apportées par l’enseignant pour permettre justement aux élèves de continuer à constater ces régularités et a commencé à apercevoir des éléments aussi donc de type irrégularités dans la langue française ou qui vont complexifier la proche autour de ces notions là je continue donc à vous détailler cette étape ces étapes là donc pour le cp par exemple sinon se fixe sur le s muet donc on voit que c’est quelque chose qui pose souvent soucis aux élèves de cp et même de ses vins donc l’idée c’est comment leur permet de découvrir cette notion là et là vous allez avoir donc les étapes qui sont mises en expérience par rapport à cette séance autour du assimile donc les lettres muettes fréquemment rencontrés au cours de lecture par les élèves de cp sont le s le e et bien sûr la terminaison du pluriel le nt l’idée ce serait de constituer des collections au fur et à mesure des rencontres de ce que l’on aurait des élèves on voit pouvoir rentrer dans les textes de lecture non des rencontres issus des lectures et des rencontres ici qui vont être proposées par les élèves donc on commence à constituer une sorte de bagages complété par un certain nombre de mots et puis l’enseignant aura donc comme objectif de trier ses mots et de classer ensemble ce qui se ressemble exemple donc au fur et à mesure des propositions des élèves l’idée c’est d’arriver vannes catégorisation qui pourrait être celle ci donc là tous les maux donc c’est le classement qui est aujourd’hui le plus intéressant puisque l’objectif comme l’évoquera fabrice poli tout à l’heure l’ordre sur l’inter c’est vraiment de montrer très tôt dès la classe de cp la distinction entre les noms et les verbes et là ça permet au travers de cette séance sur le cumul est de bien distinguer de catégoriser les mots qui se termine par un ace muette qui sont des noms et qui sont des noms au sein d’un groupe nominal et les terminaisons des verbes deuxième classement à partir de la réflexion de la manipulation vous voyez que ce classement safin à partir de là nous allons arriver à l’étape suivante qui est donc une étape de synthèse provisoire ont fait émerger avec les élèves un certain nombre de constats un certain nombre d’hypothèses qui vont être vérifiées au fur et à mesure dans le temps à chaque fois que d’autres mots vont donc apparaître dans cette collecte au fur et à mesure des lectures donc comme vous le voyez il avait le goût billets catherine dorion nous propose à la fin ces synthèses provisoire de connaissances linguistiques en construction devront se renforcer et se préciser à partir d’autres collections au fur et à mesure du cycle 2 voilà un exemple donc de démarches mises en oeuvre à partir du s muet la démarche par étapes qui a donc été soulignée et que je vous remontre de nouveau donc cette démarche en cette étape est transférable quelle que soit la notion grammaticales que vous souhaitez aborder au cycle 2 je vous propose maintenant d’appliquer cette même démarche ou préconisées par le ministère à une séance une séquence d’enseignement au cycle 3 sur la manière dont nous allons construire la notion de compléments circonstanciels je monte tout de suite une première la positive donc vous pouvez constater ici au cycle 3 en cm1 et cm2 on va continuer l’imprégnation de nouveaux concepts d’accord et avec l’idée que l’étape 7 l’étape du transfert doit se pratiquer à tous les niveaux en l’adaptant donc on va avoir tout à l’heure aussi comment on va réinvestir ses skis souvent ce qui est demandé en cette période de crise sanitaire par les enseignants donc des productions de phrases qui vont contenir certains compléments circonstanciels qui seront ensuite analysées par les élèves les concepts qui nous paraissent plus spécifiquement à découvrir au cycle 3 vous le voyez puisqu’ils relèvent de la nature des mots ce qui relève de la fonction et si on élève des phrases phrases complexes comme antoine gautier vient de l’évoquer aujourd’hui on peut partir du postulat que les parents qui accompagnent leurs enfants à la maison ont des souvenirs pour certains et d’autres des notions beaucoup plus maîtrisé de ce que peuvent être les compléments dans une phrase donc l’idée c’est aussi de pouvoir les accompagner par cette démarche qui peut leur être proposées donc la première démarche construire le concept de compléments circonstanciels l’idée c’est que l’enseignant prévoit de récolter de collecter un certain nombre auto complément la liste peut être proposée vous voyez par exemple que dans la l’étape numéro un l’idée là c’est de ne pas mettre en difficulté on augmentera bien sûr petit à petit vers des phrases complexes mais dans un premier temps les phrases sont extrêmement simples et qu’on représente chacune ou disposent chacune d’un seul complément on qui permet vraiment de prendre le temps d’analyser donc on peut proposer ce corpus la aux élèves l’étape numéro de l’enseignant pris devant les élèves dans les propositions collectées les landes exemple pertinent et les élèves les classes à partir de là l’enseignant n’ont pas proposé des phrases qui sont spécifiquement dédiés à la proche de la notion qui serviront la notion donc c’est lui qui effectue ce choix après avoir identifié le sujet le verbe vous voyez il ya donc toute une synthèse une catégorisation qui proposait donc les élèves peuvent classer ce qui relève de ce qui est dit de l’action et du moment où elles se passe ce que l’on dit de l’action sur le lieu où elle se passe et ce sur quoi portent l’action donc c’est une première catégorisation possible ensuite les élèves observe les analogies manipulent les éléments réfléchissent définissent des catégorisations on pourra la parfaitement encourager y compris à distance les élèves à partir de la liste établie à on pourrait les encourager à s’amuser à supprimer tout ce qui peut être supprimé toujours à partir du corpus qui reste identique il ne s’agit pas de changer de phrases un jour à l’autre ou d’une semaine à l’autre pondre dans un premier temps nous restons sur les mêmes phrases isolé dans un isolé dans les tapis on peut demander aussi les élèves comme vous élève comme vous le voyez de déplacés pour faire un certain nombre de constats on reste toujours sur les phrases initial afin de ne pas les perturber pour l’instant puisque nous ne sommes pas dans le transfert nous sommes toujours dans la manipulation et nous allons pouvoir arriver à deux constats on peut déplacer le complément sans changer le sens où si je déplace le complément cela donne une phrase drôle mais qui ne se dit pas qui n’a pas de sens en français étape numéro 4 les élèves nomme les catégories à l’aide bien sûr de l’enseignant si nécessaire donc certains compléments seront donc déplaçables et du free mal certains compléments précise où et quand se passe actions et d’autres compléments ne sont ni les plats salle ni supprimables à cette étape là nous pouvons arriver à ce constat les élèves réinvestissent dans des exercices d’entraînement il s’agira là de continuer à s’amuser à déplacer à supprimer à trouver tout tout ce qui correspondra aux notions de temps de lieu noront est toujours dans cette phase de manipulation et d’amusement pour les élèves aussi qu’ils vont ceux constatés par le déplacement par la suppression le sens qui peut être donnée aux phrases ou non l’étape numéro 6 il systématise et mémorise les connaissances linguistiques les compléments la circonstancielles qui expriment circonstances précises de l’action le lieu le temps auquel elles ont pu être faites vous avez la possibilité en dessous comme vous le voyez sur les prototypes de demander justement aux élèves de s’amuser à manipuler toujours à partir du sujet et du verbe à manipuler des places est supprimé cette action est assez simple pour les élèves dans la mesure où elles reprennent reprend les phrases de départ donc il n’ya pas de souci de compréhension de ces phrases qui sont maintenant vu depuis un certain temps et puis les élèves peuvent par cette manipulation là il n’y a pas lieu de changer de phrases on voit bien qu’à partir des mêmes phrases on peut faire tout un travail sur plusieurs jours et l’étape numéro 6 qui est l’étape du transfert c’est là où on va demander de la production d’écrits aux élèves cette étape cette étape qui peuvent être travaillés donc sur une semaine à deux semaines en fonction de l’état des connaissances des élèves au moment où cette crise sanitaire et cette continuité pédagogique s’est installé il est possible également de reprendre la notion si l’on considère aujourd’hui que les enfants sont à la maison et non plus l’enseignant à disposition pour étayer cette notion là on peut reprendre la découverte des compléments circonstanciels bien évidemment voilà ce qu’il en est par rapport à la démarche pédagogique vous a été proposé aux cycles de au cycle 3 c’est une démarche pédagogique qui se pratique en classe et qui peut s’adapter dans les conditions aujourd’hui de continuité pédagogique nous retiendrons donc les sept étapes nécessaires lusage des mêmes phrases de l’étape une à l’étape 6 l’étape 7 étant l’étape du transfert est de la production d’écrits cela facilite tout le travail par les élèves autour de phrases qu’ils connaissent depuis quelques séances ans donc on voit que c’est bénéfique aux élèves nous en avons terminé pour cette première partie qui concernait les constituants de la phrase et des démarches d’enseignement et puis toutes les notions qui sont les enjeux qui sont derrière donc c’est constitution d’un phrasé des types et forme de phrases et nous allons passer à la deuxième partie donc de cette webdiffusion une webdiffusion que nous avons souhaité consacrer à une notion qui pose souci souvent aux élèves qui la notion d d’accord donc nous allons pouvoir entendre fabrice pauline que j’ai eu la chance de rencontrer avant la crise sanitaire et nous allons entendre donc fabrice politique est inspecteur général nous évoquer un certain nombre de points notamment tout ce qui l’a relevé justement de ce que nous entendons dans la notion de chaîne d’accord ce qui se joue derrière cette notion de shenzhen d’accord quelles sont les difficultés rencontrées par les élèves sur ces questions de chêne d’accord et nous allons également voir réfléchir ensemble à quelles sont les ressources et les possibilités pour les enseignants de mettre en place un enseignement efficient au tour des chaînes d’accord donc je laisse la parole tout de suite à fabrice poli qui va donc évoquer tous ces éléments là dans un premier temps a tout de suite fabrice pony bonjour vous êtes inspecteur général et vous ne recevez aujourd’hui dans les locaux du centre de ressources de l’inspection générale donc merci beaucoup nous avons fait le choix ensemble d’intervenir alors cette journée de webdiffusion consacré à l’enseignement de la grammaire et si l’on observe bien ce qui se passe dans les classes on voit bien que l’une des difficultés des élèves aujourd’hui c’est de respecter ce que l’on appelle les chaînes d’accord donc mais c’est quelque chose d’assez implicite finalement non ce que je vous propose peut-être dans un premier temps c’est de revenir et de clarifier ce qu’on entend en temps ce sont les chaînes d’accord notamment ce qui est enseigné à l’école la chaîne d’accord c’est le fait de calme au reçoivent d’un autre mot de la phrase ses marques de genre ces barques de nombre et pour le verbe sa marque de personnes cela renvoie aux grandes caractéristiques morphologiques de la langue française qui sont au nombre de trois la première c’est l’opposition binaire masculin féminin la deuxième c’est l’opposition binaire singulier pluriel et la troisième ce sont les marques morphologique de la personne du des temps et des mots qui sont des marques propres au verbe alors il faut avoir à l’esprit que ces grandes caractéristiques sont des caractéristiques qui sont propres aux français et qui dans certaines langues sont soit facultative soit totalement ignorée on peut donner comme exemple le fait que le français a presque totalement éliminé le neutre et il ne reste que de rares forme sporadique comme cela le français a deux nombres le singulier et le pluriel là où certaines langues en ou trois voire quatre nous avons nous sommes également très attaché à l’opposition entre le masculin et le féminin alors que certaines langues ignore le genre ou bien lui préfère une opposition qui est davantage marqué sur ce qui est animée et sur ce qui est inanimé de même dans la morphologie verbal le français à des désinence personnel mais également des éléments qui sont les marqueurs de temps et des modes et là aussi ce sont des éléments qui parfois sont totalement absentes de certaines langues notamment les langues que l’on appelle agglutinant et le fait d’avoir ce le caractère relatif la relativité de ces notions à l’esprit est important quand on s’adresse à des élèves allophones qui sont eux inconsciemment habitués à un système linguistique qui peut être radicalement différent du nôtre alors aujourd’hui nous avons dans le public un qui vous écoutent des formateurs conseillers pédagogiques inspecteurs maîtres formateurs qui on a conseillé que les enseignants dans les classes et quel discour peut-on avoir auprès des enseignants sur la manière dont ça pique les chaînes d’accord on les groupes nominaux et dans les groupes verbaux alors comme on l’a dit comme je l’aï dit tout à l’heure le principe de la chaîne d’accord c’est qu’un mort soit d’un autre mot de la phrase ces marqueurs donc quand on prend le groupe nominal le petit chat c’est le mot chat le nom chat qui est le donneur d’accord et qui donc va influer sur l’article défini eux et sur l’adjectif donc le petit chassé le shah ses chats qui va déterminer la corde le et la corde petit ensuite dans la relation entre le sujet et le verre quand on dit le chat miaule c’est à nouveau le chat parce qu’il est singulier et masculin qu’il va donner l’accord au singulier de gnôle et dans le cas de l’af de la phrase avec verbe attributif le chat elle est noire c’est à nouveau le nom chat qui va déterminer l’accord du verbe être et l’accord de l’objectif attributs voilà donc quels sont les grands principes ce sont des principes qui sont stables en français ce sont des principes qui sont réguliers et il y à quelques exceptions que l’on regroupe sous l’appellation de silex et dans ces cas là l’accord ne se fait pas par la grammaire mais il se fait par le sens c’est quand on dit par exemple la plupart sont venus la plupart est un nom féminin mais pourtant l’accord se fait au masculin au pluriel quand on lit également à la forme de politesse êtes vous contente madame le êtes vous êtes une forme en faut logiquement de plurielles mais du fait du sens renvoyant au bout soit mans et à la forme de politesse dans ces cas là la corse fait au féminin parce qu’on s’adresse à une femme c’est le dernier exemple que je pourrais donner c’est également parce qu’il est important dans l’organisation c’est l’utilisation du pronom indéfini on sur le fait de savoir si avec le canton emploi le pronom à définir ont le verbe est au singulier ou au pluriel cela dépend si le on renvoie à un groupe de personnes quand on dit en france on dîne à 8 heures le ouf signifie tous les français mais quand on dit on est parti pour dire nous sommes partis de là dans ces cas-là plus généralement aux belvès donc idéalement c’est d’insister quand même sur une certaine forme de régularité ce qui est vraiment important c’est de partir de phrases qui sont prototypique de partir des exemples les plus simples qui sont ensuite grossi et complexifiée par boule de neige et donc de vraiment partir de schémas très simple c’est à dire le nom le noyau est le nom qui va donner l’accord et qui va déterminer au sein du groupe nominal l’accord des éléments qui font qu’ils sont constitutifs du groupe nominal donc soit l’article soit les déterminants possessif et démonstrative qui sont qui apparaissent au cycle 3 ou bien l’adjectif est ensuite une fois qu’on a circonscrit le groupe nominal il y à l’accord du verbe et l’accord de la tribune alors ce que je vous propose c’est d’une place ont maintenant du point de vue de l’élève donc là si je suis enseignant si je suis formateur qui a conseillé un enseignant qu’est ce que je peux lui dire en termes d’exigence du point de vue de l’élève qu’est ce que je peux exiger d’un élève à la fin du cycle 2 la première chose vraiment fondamental cardinal sur laquelle je souhaite insister c’est de bien faire comprendre à l’élève la différence qu’il ya entre le nom et le verbe parce que sinon vous allez avoir en permanence des phrases du type les élèves travaillent avec élèves ent et travail s est donc il faut absolument avant même de parler de morphologie de parler de plurielles ans elle sous de plurielles en x il faut avant tout que l’élève ait bien conscience de la différence qu’il y a de la réalité qu’il ya la différence qu’il ya entre un nom et un verre c’est vraiment le premier élément sur lequel on doit fonder notre enseignement une fois que cette différence elle est posée qu’elle est comprise et maîtrisée des élèves on passe à l’apprentissage de la morphologie alors en ce qui concerne la morphologie l’expression du genre l’élément scellé on va dire que l’élément fondamental c’est l’apprentissage du féminin a eu et décale généraux on reparlera un peu plus tard des cas qui peuvent poser problème de la même façon pour le pluriel l’élément fondamental c’est l’acquisition du pluriel en s dans un premier temps dans un second temps du pluriel en x est encore une fois dans cette cage parlerai des cas généraux et le troisième élément c’est la maîtrise des temps de l’indicatif qui sont au programme des cycles 2 et 3 puisque j’embrasse cette fois ci les deux cycles en sommes à savoir le présent la part fait le futur le passé simple le passé composé est le plus que parfait on laisse de côté le passé antérieur et le futur antérieur sont également au programme l’impératif présents ainsi que quelques verbes irréguliers du cycle du troisième coupe on va dire que lorsque l’on arrive à l’issue du cycle à cette méta cette triple maîtrise ans enfin cette quadruple maîtrise à savoir j’ai bien différencier le nom et le vert je maîtrise le féminin le pluriel en s et en x et les temps verbaux sont à qui on va dire qu’à partir de là l’essentiel et maîtrise et alors quelles sont les difficultés les plus fréquemment observés justement pour les élèves dans ces chaînes d’accord là on voit bien que ça leur pose souci on voit bien que parfois même on peut suivre l’évolution de leur réflexion parce que bien finalement un élève qui va mettre à s au pluriel d’un verbe c’est qu’il ya quand même conscience qu’il ya un pluriel donc voilà donc quelles sont selon vous ces difficultés et puis comme on peut les expliquer et remédier alors comme je vous le disais tout à l’heure le ce qui est important c’est de commencer par la différence entre le nom et le verbe alors comment fait-on avec des peu des enfants de jeunes enfants du cycle 2 on utilise des bois tamo et surtout on va avoir recours à des notions concrètes c’est à dire à des notions qui sont qui peuvent être associé à un support visuel et en ce qui concerne les verbes on va prioriser les verbes d’action ça va être le chat miaule le chat griffe le chien aboie l’enfance haute c’est à dire qu’on utilise des noms concret démenti ce qui renvoie à une réalité qui est immédiatement compréhensibles par l’enfant et on utilise des noms d’action et comme cela on lui montre la différence entre celui qui fait une action et l’action proprement dit et cela permet déjà de faire la différence de créer cette frontière qui doit être très nette dans la tête de l’enfant entre le nom et le verbe pour éviter d’avoir à est l’aveu est notée et d’avoir le s à traves que vous citiez à l’instant ça je crois que c’est là c’est la première difficulté une une autre difficulté que nous avons et qui est une difficulté intrinsèque aux français c’est le quand vous dites chat à l’oral vous n’entendez pas de différence entre le singulier et le pluriel même chose pour les verbes du premier groupe qui sont les verbes les plus fréquents et qui sont ceux qui sont employés en france est majoritairement et qui sont ceux qui doivent être les premiers connu par nos élèves si je vous dis en la privant de pronoms la forme mange uniquement à l’oral vous renvoyer à je mange tu manges il mange il mange à la fois singulier au pluriel et vous renvoyez également à l’impératif mange donc ce qui est difficile c’est que dans la phase d’apprentissage au cycle 2 ou le ral doit avoir une place centrale dans l’apprentissage c’est difficile nous avons une difficulté intrinsèque aux français c’est que certaines marques ne sont pas audibles il faut avoir nécessairement le support écrit pour faire la diversion var voilà entre ce qui est singulier ce qui est plurielle ou bien ce qui concerne la forme verbale la forme verbale cas quelle personne nous sommes alors cela vaut aussi pour les verbes du deuxième groupe parce que quand on dit fini ces jeux fini tu finis il fini et encore une fois à l’oral vous ne percevez pas la différence est seulement au pluriel nous finissons vous finissez ils finissent que là on entend clairement et oralement une différence entre le passage du singulier ou au pluriel alors il y à aussi d’autres difficultés qu’il faut prendre en compte et qui sont peut-être parfois mal maîtrisée par les manuels c’est la différence morphologique et la différences lexicales qu’est ce que je veux dire par là que pour former certains noms féminins vous allez avoir recours à un élément par exemple passer le marchand et la marchande on nous avons l’élément eux mais en revanche certains féminin ce fort non pas à l’aide de doughty grammatico mais en ayant recours à un autre mot quand on dit un oncle une tante à cheval est une jument est donc dans l’apprentissage de la morphologie le professeur doit bien veillé à ce qui relève de la morphologie et ce qui relève de l’apprentissage du lexique parce que quand on dit un enfant de données le féminin de cheval nous à cette fois-ci l’exercice n’est plus morphologique c’est un exercice qui devient lexicale et donc il ya un enfant qui connaît cheval ne connaît pas nécessairement chez moi ça c’est une autre difficulté une autre difficulté parlons cette fois-ci davantage de la morphologie c’est justement là enfin au jeu je vous inciterait deux exemples sans entrer dans les détails c’est la formation du féminin et le pluriel le féminin va poser des problèmes redoutable en français parce que dans le cas le plus simple c’est par exemple l’ajout d’un e et l’ajout d’un e que l’on entend très clairement le râle quand vous dites le marchand ou la marchande vous avez aussi une transformation de la prononciation quand on dit le voisin ou la voisine à l’oral on entend bien le passage du masculin ou de féminin du point de vue graphique vous avez aussi des cas très simple c’est un ami une amie avec l’ajout du e amis mais en revanche là où vous avez des cas qui sont relativement simple à maîtriser à après on va faire comprendre aux élèves viennent ensuite s’ajouter tous les faits extrêmement compliquée qui sont propres à notre langue comme par exemple le redoublement de la console fils le chat et la chatte ou bien l’altération de la console final le loup ou la louve ont bien des modifications de morphine finaux le vendeur la vendeuse le chanteur la chanteuse le spectateur la spectatrice donc nous avons tout un ensemble de deux maux dont la formation du féminin est susceptible de poser problème parce que là vous avez aussi le cad le prince et la princesse est donc dans la création du femina vous avez énormément de dans la rubrique l’orw au logis de sous catégories qui vont nécessiter un apprentissage très progressif et très graduelle si tout était aussi simple que marchand et marchande c’est à dire si on a ajouté un e en plus dans ce cas là vous avez là la marque écrit qui s’entend parfaitement à l’oral les choses seraient très simple mais dans les faits vous avez des altérations consonantique qui sont ou des modifications de suffixes ça c’était en ce qui concerne le film en ce qui concerne le pluriel nous avons là aussi en français le cas tout simple le chat les chats donc avec l’ajout du s mais nous avons aussi le plus rialland x et le pluriel en x donc c’est le bateau les bateaux mais vous avez les nommant al cheval chevaux vous avez les noix il détaille les détails etc vous avez également le cas qui sont les noms qui se termine qui se termine par x ou par s empare z c’est à dire la noix le nez le puits qui eux sont des noms qui notamment le puits qui est un an mieux si je puis dire parce que au singulier il a déjà un s est donc dans l’apprentissage de à la fois du 5 du passage du masculin au féminin et du singulier au pluriel il faut constamment avoir à l’esprit toutes ces difficultés par fo logique qui si elles ne sont pas appréhender de manière progressive sont susceptibles de perturber les élèves donc partir des cas les plus simples pour petit à petit au cours du cycle 2 et au cours du cycle 3 complexifier la tâche en faisant apparaître graduellement les cas que je n’appellerai pas particulier parce qu’un cas particulier ça voudrait dire qu’il s’agit d’un apax de quelque chose qui ne concerne qu’un seul mot mais là pour le coup ce n’est pas le cas on se souvient tous quand on était enfant de la série sur shoes low blond kaniousha enfin ces systèmes démo technique que nous avons appris en conservent leur leur utilité et leur pertinence mais il faut justement graduée dans les noms reprenne toussaint x sauf de sauve les pneus voilà donc qui ces choses-là s’acquiert petit à petit et dans la construction d apprentissage il faut justement veiller à ne pas mettre ce que j’appellerais des éléments parasites c’est à dire quand on parle du pluriel empêche partir des exemples les plus simples alors par rapport à ce que vous venez d’évoquer les difficultés des élèves les particularités donc de la langue française dans ces chaînes d’accord là je me mets à la place d’un enseignant je me mets à la place d’un formateur qui a accompagné un enseignant ça suppose forcément de réfléchir ensemble à la question de la progressivité tout ne peut pas être enseignée dans un ordre finalement décousu il ya une vraie réflexion a porté sur cette progressivité quels sont les conseils que vous pourriez donner aux formateurs qui nous écoutent aujourd’hui quelques cons c’est très simple je vous donne un exemple dans l’apprentissage quand on on fait découvrir le nom le nom commun et qu’ensuite ont justement fait découvrir le groupe vinal et la chaîne d’accord un obstacle que qu’il faut éviter qu’il faut dont il faut se méfier dès le début ce sont les noms à initial vocalique si vous prenez le l apostrophe l’arbre et l’école vous ne pouvez pas savoir si le nom est masculin au final donc quand on regarde de très près les n’auront à initial vocalique on se rend compte que systématiquement ils vont poser des problèmes avec l’article défini vous n’allez pas savoir si le mot avec son article et l’idée elle apostrophe vous ne savez pas si le nom est masculin au féminin si vous prenez le déterminant possessif mon école encore une fois vous avez le monde qui est employé a suivi d’un an féminin le problème que pose ici pour la chaîne d’accord l’utilisation du déterminant possessif c’est que le nom féminin requiert l’utilisation de la forme mon que l’on associe davantage au nom masculin avec les trois les trois formes déterminant possessif mans mam et donc se méfier comme je vous disais d’enora initial vocalink de la même manière les noms à initial vocalique post un problème au pluriel parce que du point de vue de la liaison et de la prononciation râle il n’y a pas de différences marquées entre les arbres et les zèbres donc on entend bien un son une sifflante sonore et 7 sifflante sonore est bien dans un cas elle se note lorsque ce sont les animaux les zèbres eu lorsqu’il s’agit de la liaison les arts en revanche les liaisons quand on introduit une nouvelle notion donc en l’occurrence la chaîne d’accord éviter d’avoir recours au nom initial bocaly parce qu’ils vont venir parasiter l’enseignement du professeur il vaut mieux avoir recours à des noms initial consonantique les tables les chats les chiens qui eux sont ne présentent pas cet inconvénient de la même façon quand on travaille également sur la chaîne d’accord l’introduction du détail du déterminant démonstratif 7 à la forme je voulais dire masculine au début c était est un problème parce qu’elle est homophobe du féminin cette donc entre cet arbre s’est ôté et cette feuille ceux de t&e là aussi oralement nous n’entendons pas la différence donc quand on est le camp le professeur et dans la la situation à reconstruire sa progression grammaticales et l’introduction de la notion il doit avoir à l’esprit tous ces éléments qui sont susceptibles de détourner l’attention de l’élève de le détourner de l’objectif principal au profit de questions qui vont peut-être venir en lui lire mais c’est bizarre dans ces cas là il se produit quelque chose qui ne me paraît pas qui me semblent contrevenir en sommes là ce que dit à ce que dit le professeur donc c’est vraiment très important d’avoir toujours eu cette espèce de gabarit c’est à dire je parle de jeu par de ski et prototypique de ce qui est le plus sain et je conserve pour la fin les éléments qui sont susceptibles de désarçonner les l’un des points essentiels de la chaîne d’accord c’est l’introduction de l’adjectif l’adjectif avec lorsqu’on introduit au cycle 2 avec des enfants de jeunes enfants on peut être tenté d’avoir recours à des adjectifs qui vont par exemple désigner nos sciences qui est lisse bien ce qu’ils rugueux parce qu’on peut associer le toucher pour faire comprendre à l’enfant c’est qu’est ce qu’apporte l’adjectif et on peut avoir recours aussi aux adjectifs de couleurs mais simplement il faut être extrêmement vigilant dans la manipulation des adjectifs de couleurs parce que ils sont extrêmement instables d’un concours de graphisme certains s’accordent au pluriel sont devenus de vrais adjectifs comme rose et mauve d’autres ont un statut un peu instable c’est à dire tantôt s’accordent t’entourent ne s’accorde pas c’est le cas de orange et marron et d’autres en revanche sont totalement invariable crème par exemple combien pantalon crème des pantalons crème crème turquoise aussi ne s’accorde pas donc les adjectifs de couleurs sont pratiques parce qu’on peut ils sont pratiques pour la découverte de la notion d’adjectifs mais il convient de les manipuler avec prudence au moment du passage à la trace écrite parce qu’à partir du moment où on veut les utiliser dans le groupe nominal et les utiliser dans la chaîne d’accord là en revanche ils deviennent de redoutables ils contiennent de redoutables difficultés si je me place maintenant du point de vue des formateurs de comment je peux accompagner les enseignants dans la mise en place de pratiques efficient pour enseigner la grammaire et notamment les chaînes d’accord alors je pense que le premier réflexe à avoir quand on l’informateur et réflexes qu’il faut ensuite transmettre aux professeurs c’est que le travail doit être conçue en équipe au sein de l’école et que la progression doit être conçue par cycle on va dire ce que je fais au cycle 2 où est ce que je fais au cycle 3 je crois que là la boule de neige ne grossis qu’à partir du moment où l’on part de notions qui ont été stabilisées à un niveau donné de la scolarité et dont le professeur a eu la liste si je puis dire c’est à dire qu’on ne peut concevoir les choses qu’en partant de notions qui ont été clairement posée et qui l’année suivante sont développées complexifier donc la première chose je dirais c’est une progression rationnelle en équipe qui est fondée sur les programmes régulière ensuite il faut que le formateur conçoivent après nos professeurs à concevoir des séquences qui sont régulières qui sont structurées et qui sont inscrits à l’emploi du temps c’est à dire que la leçon de grammaire doit être inscrite et sanctuary zay et régularisés et de ce point de vue là il y a un certain nombre d’étapes à suivre dans une leçon type de grammaire je vais vous en donner quelques unes la première déjà c’est une introduction qui va permettre de dire explicitement qu’elle va être l’objet de la séance du jour une deuxième étape c’est une rétroaction qui va permettre de réutiliser des éléments qui ont déjà été appris précédemment par l’élève c’est à dire qu’on va réactiver des connaissances qui vont servir également aujourd’hui parce que naturellement rien ne se faire en déconnexion on ne peut pas faire l’article sans faire le nom et quand on fait le nom fait partie donc les éléments naturellement s’imbriquent entre eux et se se complètent donc une fois qu’on a fait cette phase de rétroaction on a réactivé des éléments déjà vu il ya une phase d’observation de compréhension de malines de manipulation qui peut être fait par exemple le individuel ou bien en binôme ou l’enfant avec des boîtes à vos va sélectionner les éléments une fois que l’enfant a fait ce travail de manipulation d’observation il y à une phase de restitution collectif de la réflexion c’est à dire qu’avec les élèves et le professeur vont on va partager en somme ce que les ce que les élèves ont découvert ce que les élèves ont compris y est ce que les élèves pensent que à l’issue de cette étape il ya également une instit au sial une institutionnalisation du savoir c’est à dire qu’ il s’agit d’une synthèse qui est fait car le professeur et qui comporte des éléments de conclusion et c’est cela qui permet ensuite de construire là la construction de la trace écrite de l’élève dans son cahier de grammaire etc cela ensuite qui est complétée avec des exercices d’application qui sont des exercices qui vont précéder une phase de mémorisation et une phase de réinvestissement par exemple par le truchement de l’exercice de dictée ou de rédaction donc là le conseil que les formateurs peuvent donner aux enseignants c’est de respecter finalement cette chronologie des étapes 1 qui semble être la plus efficace en tout cas dans l’enseignement de la grammaire ce sont des étapes qui sont à moduler dans la durée et dans la à en fonction du cycle en fonction de l’année de scolarité l’élève je crois qu’il n’y a pas vraiment on ne peut pas dire qu’il y ait un cadre un cadastre autoritaire dans lequel auquel il faille se conformer sans se permettre la moindre le moindre changement mais je pense que ces états il faut cadrer la leçon de grammaire et la leçon grammaire a besoin d’être organisée je crois aussi beaucoup aux principes dieu de rituel c’est à dire le rituel qu’on utilise très souvent dans les classes pour quel jour sommes nous chaque jour compte ou bien quel temps fait-il etc je crois que ces rituels qui sont faits dans les eaux cycle 2 sont également importants dans la démarche de la de la leçon de grammaire parce que l’élève ensuite s’habituer à ces différentes étapes c’est à dire il sait que le professeur va commencer le maître va commencer par une introduction qu’ensuite il va y avoir cette phase de réactivation qu’ensuite on va faire des manipulations avec des boîtes hameau des tris de mots des mots étiquettes et c’est donc la réactivation de la répétition de ce rituel peut participer de la commandite la rendent la leçon grammaire moins anxiogène parce que les étapes sont bien marqués et l’élève sait à quel moment il travaille tout seul à quel moment on va stabiliser avec lui la trace écrite à quel moment il ya les exercices d’application à quel moment il y à la phase de mémorisation et à quel moment réinvesti tout cela par le truchement comme je vous le disais d’édicter ou bien des exercices de rédaction donc là nous avons une forme king qui peut être harmonisés auprès des enseignants maintenant si je me réfère aussi au contenu à enseigner on voit bien que ces dernières et il ya eu des courants de pensée très différent par rapport à l’enseignement de la grammaire qui ont notamment perturbé aussi les enseignants eux mêmes donc je crois que là actuellement donc vous avez participé à la rédaction de plusieurs ressources et plusieurs guides qui vont permettre peut-être de clarifier un petit peu tout ça et puis aussi de d’aider les enseignants à la fois en termes je dirais de terminologie quels sont les mots à utiliser quand on enseigne telle ou telle notion et notamment aussi dans ce continuum avec au sein du cycle 3 et du collège parce que c’est vrai que souvent dans les conseils d’écoles collèges on voit que les enseignants ne se retrouvent pas toujours sur la même manière de prononcer ou énuméré ou formaliser une notion grammaticales donc qu’est ce que vous pourriez nous dire aujourd’hui sur ses ressources mises à disposition des enseignants ou incessamment mise à disposition alors effectivement en préambule avant de vous répondre je vous dirais que c’est que la grammaire apathie dans son enseignement d’une instabilité terminologique lorsque vous voulez étudier une discipline vous avez besoin pour que tout le monde se comprennent il faut qu’on ait un langage commun c’est-à-dire quand l’ architecture une porte c’est une porte une fenêtre c’est une fenêtre si vous venez à intervertir le sens des mots si la fenêtre devient la porte votre les architectes ne se comprendre on peut ne se comprendront plus entre eux de la même façon les grandes opérations fondamentales l’addition la soustraction n’ont pas vocation à changer de nom et si vous changez leur appellation tous les deux ans il arrivera un moment où on ne sera plus de quoi l’on parle et plus les caractéristiques de la grammaire est justement d’avoir eu une terminologie qui a évolué au cours du temps il est un temps où le complément d’objet direct s’appelait l’accusatif c’est à dire en relation avec le cas direct avec le cas direct du latin les usages les usages qui sont les nôtres en france ne sont pas des usages qui sont partagées par tous les pays francophones dans certains pays le complément d’objet direct va s’appeler le complément direct duverne le cd&v et le coi notre complément d’objet on va s’appeler le complément indirecte du verbe donc quelle que soit la terminologie qu’on utilise je ne fais pas de hiérarchie qualitative au sein des terminologies il y en a plusieurs il n’y a pas une doxa il n’y a pas une je dirais une terminologie orthodoxes et des terminologies hétérodoxes il n’y a pas qu’une seule voix mais au niveau de surtout lorsqu’il s’agit de d’études scientifiques d’études universitaires ou des spécialistes peuvent présenter des approches différentes mais en ce qui concerne l’enseignement scolaire que ce soit au cycle de au cycle ou 3e cycle 4 il y as malgré cette diversité qui est inhérente à la grammaire il faut malgré tout se mettre d’accord sur un langage commun en ce qui concerne les principales notions et c’est la raison pour laquelle sont en cours de finalisation deux tomes de la grammaire de l’école le tome 1 comme vous le disiez à l’instant va s’appeler terminologie grammaticales parce qu’il permet de donner à tous les professeurs à la fois de l’école primaire mais également du collège et du lycée une terminologie grammaticales commune qui est fondée sur les usages je dirais ou qui est à jour delà de la recherche scientifique qui rencontre actuellement le plus grand consensus voilà donc nous avons voulu avec mon collègue philippe monneret professeur à sorbonne universités qui est déjà intervenu alliage 2e f nous avons voulu nous avons conçu un ouvrage qui se veut un guide terminologique pour les professeurs c’est un ouvrage qui leur est destinée c’est un ouvrage qui n’est pas destiné aux élèves et qui permet à tous de parler un langage comme ça c’est la première étape des ressources que vous évoquiez la deuxième ressource qui est en cours d’écriture et de finalisation c’est une grammaire qui est destiné aux élèves à l’enseignement en cycle 2 et en cycle 3 et qui contrairement à la terminologie grammaticales à cette fois une approche qui est dit d’attiser c’est à dire que chacune des notions est présenté avec la définition pour l’enseignant ce que l’élève doit retenir des éléments de progression des repères de progressivité c’est à dire comment déroulée cette notion nothum non seulement cycle 2 et aussi de 3v également par année de cycle il y a également une rubrique qui s’appelle comment bâtir les exercices est à dire en somme ce sont des pièges les pièges à éviter ou bien c’est un peu une rubrique duel s’ils voulaient le faire et ne pas faire nous avons des propositions d’exercice et donc c’est un contrairement au volume 1 qui est avant tout une nomenclature terminologie le volume 2 est plus d’une utilité plus opérationnels pour les professeurs parce qu’il permet cette fois ci de leur montrer véritablement comment on enseigne mr et ce n’est pas seulement une grammaire parce que des grammaires il y en a plein et une autre grammaire qui se seraient contentés de lister les notions et d’expliquer la différence entre don commun et non propres n’étaient pas nécessaires le projet qui est conçu actuellement le projet d’une grammaire didactisme merci beaucoup monsieur l’inspecteur général en 6 pour accompagner l’intervention dont de fabrice pauline nous avons mis en place un framapack dont le lien s’affiche actuellement sous nos yeux se fera à la pâte vous permettra à la fois de consulter la démarche qui a été proposée avant l’intervention de monsieur poli et vous permettra également de poser des questions en rapport avec les vidéos de antoine gauthier à nous pour my ans est également donc monsieur poli chacun se chargera d’y répondre dans un temps on peut être un peu décalé donc n’hésitez pas à consulter se fera pas de manière régulière vous y trouverez les réponses à vos questions et bien voilà nous arrivons à la fin de ce format si particulier nous avons tenu malgré les conditions aujourd’hui de crise sanitaire que nous rencontrons en france qui sont exceptionnels nous avions souhaité quand même tenir cet engagement en essayant un format à distance qui soit à la fois propice à une réflexion partagée interrogé aussi la question de l’enseignement de la grammaire penser les concepts qui sont sous-entendus et les enjeux derrière et la notion de progressivité et puis vous proposez une démarche qui puisse s’adapter dans les conditions mêmes de continuité pédagogique puisque nul doute que les sept états pourront être respecté et étalé sur deux semaines pour être proposé aux parents d’élèves avec vraiment le souhait de garder soit un stock de mots pour le cycle 2 soit un stock de phrases pour le cycle 3 qui soit le même tout au long des premières étapes pour bien s’imprégner ne pas avoir recherché de nouveaux le verbe conjugué mais vraiment avoir travaillé sur la manipulation le déplacement la suppression donc nous comptons sur vous pour pour continuer à faire ce que vous faites d’extraordinaire depuis maintenant plusieurs jours en cette énergie est incroyable à suivre à distance donc bravo à tous en tous ceux qui sont à la fois enseignants formateurs qui accompagne parents qui font aujourd’hui leur maximum le montage de cette émission n’aurait pas été possible sans l’équipe audiovisuel je le redis qui sont incroyables donc je les cite même tel film corner tiré mustapha et jean paul du lien merci à eux d’assurer à distance ce type de format merci également à marie camille madrange qui est notre web mais ce qui assure la communication hocine pendant ce temps un peu un peu compliqué nous espérons que ce format pu vous apporter quelque chose si le confinement venait à poursuivre à se poursuivre nous n’hésiterons pas à revenir vers vous avec d’autres d’autres supports d’autres ressources d’autres interrogation partagée et nous communiquerons assez rapidement à ce sujet bon courage à tous et à très bientôt en présence ou non à distance au revoir

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