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Quel est le nom de l’ancêtre d’Internet ?

Quel est le nom de l’ancêtre d’Internet ?

Quel est le nom du tout premier ordinateur ? L’ENIAC (Electronic Numerical Integrator And Computer, ou calculateur et intégrateur électronique numérique) fut le premier ordinateur réellement programmable, donc utilisable pour toute sorte de calcul et non pas pour résoudre un problème particulier. Quel est le père de l’Internet ? Tim Berners-Lee a inventé le web en 1989, alors qu’il travaillait au CERN et qu’il cherchait un moyen des plus efficaces de partager de l’information avec ses collègues et ses élèves.12 janv. 2021 Quel âge a Internet ? C’est un ancêtre d’internet, il est apparu en novembre 1969 il y a maintenant 50 ans. En 1983 ce système d’ARPAnet est passé au protocole TCP/IP qui depuis alimente l’internet connu actuellement. Si on prend cette dernière date comme une date de naissance, l’âge d’internet sera 37ans environ. Quel est le pays qui a inventé Internet ? Tim Berners-Lee, chercheur britannique, a inventé le Web au CERN en 1989. À l’origine, le projet, baptisé « World Wide Web », a été conçu et développé pour que des scientifiques travaillant dans des universités et instituts du monde entier puissent s’échanger des informations instantanément. Qui est le fondateur de l’Internet ? Tim Berners-Lee

Qui est le fondateur de l’informatique ?
Quand Internet est né ?

Qui est le fondateur de l’informatique ?

Alan Turing, père de l’informatique, naissait il y a 100 ans…23 juin 2012

Quand Internet est né ?

Internet est officiellement né le 12 mars 1989. Son inventeur : Tim Berners-Lee.15 juin 2022


Étudier l’histoire, c’est passionnant.Il y a toujours de nouvelles périodes à découvrir, de nouveaux lieux à visiter,de nouveaux livres à ouvrir. Notre histoire est vaste, si vaste qu’une seule vie nesuffira jamais à tout rassembler, à tout apprendre, à tout comprendre. L’histoireest partout et nous en faisons partie intégrante, tout comme nos parents, nos grands parentset leurs parents avec eux. En se penchant sur leur vie, on peut en apprendre plus surnotre histoire, nos origines, mais l’on peut aussi saisir l’ère d’un temps, appréhenderles grands changement économiques,sociaux et politiques qui ont pu marquer nos pays. Mais comment retrouver la trace des anciens? Comment entreprendre les recherches pour remonter dans son arbre généalogique etdécouvrir tous ces trésors d’histoire ? Dans cet épisode, nous allons aborder cesujet en quatre parties avec tout d’abord une présentation de la procédure généraleà mettre en place pour retrouver ses ancêtres. Puis nous aborderons concrètement le sujetavec un cas particulier, le mien, dans lequel je reviendrai sur le parcours qui m’a permisde remonter mon arbre généalogique. Je vous proposerai ensuite un petit bonus dans lequelje vous expliquerai comment retrouver le dossier militaire d’un ancêtre ayant fait la guerrede 14/18, ce qui réserve quelques surprises ! Enfin, nous terminerons par une rapide analysede ce que peut révéler notre arbre généalogique car le but n’est évidemment pas de savoirsi l’on est issu d’une noble lignée mais bien de comprendre comment les familles pouvaientévoluer en fonction de l’époque dans laquelle ils vivaient, et c’est ça qui est sansdoute le plus intéressant… Avant de commencer, je précise que la démarchequi suit est valable pour le territoire français car de nombreuses archives sont disponibleset numérisés. Ce n’est pas le cas dans d’autres pays européens proches comme l’Italieou l’Espagne par exemple, les démarches seront donc un poil plus sportives… Contrairement à ce que l’on pourrait penser,il n’est pas si compliqué de remonter jusqu’à la révolution française dans son arbre généalogique.Enfin presque, puisque le plus compliqué sera de retrouver la trace de vos ancêtresjusqu’au début du XXe siècle puisque souvent les informations sont encore confidentiellesaprès cette période. Et pour ça il n’y a pas 10 000 solutions,il va falloir parler, un peu, parfois beaucoup avec vos proches. On envoie des mails, ondécroche son téléphone, on passe chez mamie faire prendre un petit café…Bref, cettephase est souvent l’occasion de reprendre contact avec des gens qu’on a pas vu depuislongtemps. Je vais déjà passer par l’approche générale et je développerai mon cas personnel,et donc concret, un peu plus tard. Tous les liens des sites web seront dans la description.Commencez par questionner vos parents sur leurs origines. Où sont-ils nés, comments’appelait leur parents, quand se sont-ils mariés, quand sont-ils décédés et oùéventuellement, se souviennent-ils de leurs grands parents, ont-ils des informations sureux ? N’hésitez pas à leur demander des copies de documents officiels comme un acted’état civil, un acte de mariage, un acte de naissance ou de décès, un livret de famille,etc…Sur ces documents figurent souvent des traces de votre filiation avec des informationssur les parents de la personne concernée par l’acte.Bref, une avalanche de questions et de documents qui va vraiment vous servir de base puisquese sont ces éléments que vous devrez toujours avoir en tête lors du processus de recherchegénéalogique. Après vos parents, n’hésitez pas à passer aux cribles vos oncles et tantes,vos cousins, vos grands parents eux mêmes voir vos arrières grand parents si vous avezla chance de les avoir encore en vie. Au fur et à mesure, vous pouvez tout notersur une feuille de papier mais je ne vous le conseille pas, car ça peut très vitedevenir une horreur…Utilisez plutôt un document excel ou mieux, un logiciel de généalogie.Je précise que je n’ai pas été rémunéré pour leur faire de la pub, mais le site internetgeneanet.org et de loin ce que j’ai trouvé de mieux pour faire son arbre généalogiqueen ligne, vous permettant même de croiser votre arbre avec d’autres membres du sitesi vous avez des points communs, ce qui vous permet d’avancer beaucoup plus vite dansvos recherches. Bref ! Après cette première phase de recherchede proximité dirons-nous, vous avez deux options. Soit vous avez réussi à remonterjusqu’au XIXe siècle avec des informations comme la date et le lieu de naissance d’unde vos ancêtres, soit ce n’est pas le cas et il va falloir vous retrousser les manches! Pour plein de raisons, si vous n’avez plusde contact avec votre famille, si les proches qui pourraient fournir des informations sontdécédés, etc…vous allez devoir passer par des démarches administratives pour obtenirles informations souhaitées. Pour un acte d’état civil par exemple,il faut s’adresser à la mairie concernée et prouver vos filiations pour avoir accèsaux informations. Vous aurez donc besoin de votre carte d’identité, de votre livretde famille et si besoin de tous les intermédiaires qui pourront vous relier à la personne dontvous souhaitez avoir les données. Par exemple, mon père vient de Juvisy dans l’essonne,sur internet j’ai donc trouvé, sur le site de la mairie de Juvisy, toutes les démarchesà faire pour obtenir les papiers désirés. Globalement il y a trois services que vouspouvez consulter pour avoir plus d’informations sur vos ancêtres proches : le Service del’état civil, les Archives de la Ville et les Archives Départementales. Il faut àchaque fois les contacter et éventuellement se déplacer pour en savoir plus sur la démarche.Si vous avez de la chance votre ville est peut être déjà connecté au service d’étatcivil en ligne, et vous pouvez faire directement la démarche en ligne sur le site mdel.mon.service-public.fr. Vous pouvez également, si vous avez une piste,consulter les archives des journaux locaux si vous savez qu’à un moment précis votreancêtre a fait quelque chose en particulier. Vous pouvez également, si votre famille travailleà priori depuis toujours dans la même société ou dans le même milieu, aller chercher dece côté là. Je pense particulièrement aux familles travaillant dans le chemin defer, dans l’aviation, etc… Quand vous avez réussi à remonter jusqu’en1910/1920, idéalement c’est bien d’aller juste un peu avant, vous allez pouvoir avecjoie vous prendre pour l’inspecteur gadget et Champollion à la fois car il n’est parfoispas évident de déchiffrer l’écriture de la personne ayant rédigé le document! Sauf si bien évidemment, les archives des départements dans lesquels vous allez faireles recherches n’ont pas été numérisées. Ca serait pas de bol il faut bien le direet il faudrait alors continuer par les voies classiques. Cependant de très nombreux départementsont numérisés les archives jusqu’à la révolution et s’ils ne l’ont pas fait,c’est en cours il faut vous renseigner sur la mise en ligne des documents. Il y a un lien magique pour vous aider rapidementà retrouver des informations sur vos ancêtres: geneawiki.com ! Qui vous permet d’avoirune vue globale sur toutes les archives départementales. C’est vraiment le pied complet et je nepensais pas moi même qu’autant d’informations étaient accessibles. La plupart du temps, vous vous servirez alorsde plusieurs types d’archives. Une des premières choses à aller voir sont les tables décennalesde la municipalité concernés. Par exemple, si vous cherchez des traces de votre arrièrearrière grand père né vers bordeaux aux début du siècle, mais que vous ne savezpas précisément son année de naissance, vous pouvez consulter les tables décennalesde bordeaux sur cette période. Elles répertorient toutes les naissances, les décès, les mariageset trient tout ça par ordre alphabétique, elle est pas belle la vie ? Ainsi, si il estbien né à Bordeaux, il sera facile de retrouver la date exacte de naissance de votre ancêtreet ainsi il sera plus facile de se procurer son acte de naissance numérisé, qui vouspermettra de trouver ses propres parents, et ainsi de suite. Si l’ancêtre étaitné vers Bordeaux, et pas à Bordeaux même, on aurait alors pu éplucher les tables décennalesdes villes aux alentours. Parfois ça fonctionne, d’autres fois non. Quoi qu’il en soitc’est une bonne piste de départ. Il y a de très nombreux types de documentsaccessibles dans les archives numérisés, des recensements, qui donnent souvent desnombreux renseignements complémentaires, des registres de matricules militaires, desplans du cadastre, des listes électorales et même parfois des cartes postales. Lespossibilités sont donc nombreuses et seul le travail d’enquête peut vous permettrede remonter une piste. Parfois en une journée à peine on peut ainsi remonter près de deuxcents ans en arrière, et parfois il faut plusieurs années avant d’avoir l’informationtant recherchée. Il faut néanmoins se rassurer car plus on progresse dans l’arbre, pluson a de pistes à suivre puisqu’à chaque fois que l’on retrouve deux parents d’unancêtre, il faut partir soit du côté du père, soit du côté de la mère, ce quifait un bon nombres de pistes ! Pour trouver des traces avant la révolution,ça commence à devenir compliqué et il faut commencer à chercher dans les registres paroissiauxmis en place par l’ordonnance de Villers Cotteret en 1539. On recherche donc ici, toujourssur internet ou à l’ancienne, des baptêmes, des mariages et des sépultures. Mais lesdocuments deviennent beaucoup plus compliqué à lire, il y a moins d’infos et elles sontglobalement moins complète. Il faut donc passer pas mal de temps à fouiner et à explorerdes pistes qui parfois ne donnent rien. J’ai bien conscience que toute cette recherchepeut paraître, au premier abord, décourageante ou complexe, c’est pourquoi je vais vousdétailler un cas concret, ma propre expérience en somme, sur un petit bout de mon arbre généalogique. Après avoir questionné quelques proches,j’apprends que ma grand mère maternelle, monique, a été élevé par sa seule mèreAugusta car son père les a abandonné, elle et ses 5 enfants. Je retrouve la trace deson père André, sur un site de généalogie car quelqu’un d’autre dans ma familleéloignée avait déjà fait ce travail. Puis après André je trouve son propre père,Eugène, mais les traces s’arrêtent là. J’ai le lieu de naissance d’Eugène, Châlette-sur-Loing,alors je cherche son acte de naissance dans les archives départementales du Loiret. Surce document est précisé que le jeune Eugène a été présenté aux autorités en 1884par son père, Jean, alors âgé de 42 ans dans la ville Châlette-sur-Loing, dans leloiret. Une rapide opération mathématique, 1884-42, son père Jean est donc né en 1848et il y a peut être une chance qu’il soit né dans la même ville. J’épluche lesregistres des naissances de Châlette-sur-Loing, rien. Cependant si Eugène est né à Châlette-sur-Loing,peut être que ses parents se sont mariés là bas. Je plonge donc dans les registresde mariage de Châlette-sur-Loing et je passe en revue près de 20 ans de registre. Dansune table des matières, je trouve son nom ainsi que celui de sa femme. Je me rend àla page indiquée et j’ai alors sous les yeux la déclaration de mariage datant du5 avril 1880. Jean à 37 ans au moment du mariage tandis que sa femme, Sophie, en a32. On y apprend également qu’elle est domestique, lui était chauffeur. Dans cegenre de déclaration de mariage, il y a non seulement l’identité de l’épouse, maiségalement celle du père et de la mère des deux mariés. Une victoire de plus qui mepermet d’apprendre l’identité du père de Jean, Louis, mort en 1848 et celle de samère Sophie, morte en 1844, tous les deux dans la même ville d’Amilly. Reste alorsà chercher le certificat de décès de Louis et de Sophie, ainsi que de leur parents, pourapprendre leur lieu et date de naissance respectifs. J’apprends ainsi qu’un de mes ancêtres,Françoise Arsenault, est morte le 1er thermidor de l’an treize de la république française.C’est ma première date issue du calendrier révolutionnaire, je dois donc la convertiravec notre calendrier grégorien. Le 1er thermidor correspond plus ou moins au 19 juillet etl’an 1 du calendrier républicain étant 1792, l’an 13 est donc 1805.,Françoiseest donc morte à peu près le 19 juillet 1805. Bref, je ne vais pas remonter plus loin maisvous avez compris le principe d’enquête et de recoupement des informations, il suffitde faire la même chose avec vos ancêtres, vous verrez, on se prend très vite au jeuet on s’excite facilement quand on trouve ce qu’on cherche ! Parfois on peut trouver plus d’infos surun ancêtre en fouillant un peu. Par exemple, mon arrière arrière grand père, Eugène,dont j’ai pu retrouver la trace dans les registres militaires du Loiret, dont il étaitissu. Mais comment est ce que j’ai fais ? Et bienà l’époque, les jeunes hommes faisaient leurs classes à 20 ans. Je sais qu’Eugène,d’après mes recherches, est né en 1884, il a donc logiquement fait ses classes en1904. Il est né à Châlette-sur-Loing dans le loiret et dépend donc de la ville de Montargis,ça c’est une info que l’on peut facilement trouver sur wikipédia en fonction des cantons.On peut également noter qu’un soldat peut aussi dépendre du canton de sa résidence,et pas de sa naissance. J’ai donc l’année de ses classes et sasubdivision militaire, Montargis. Il ne me reste plus qu’à trouver son matricule desoldat pour en apprendre davantage sur sa vie militaire. Pour ça je me rends sur lesite des archives du Loiret et je vais aller consulter les tables alphabétiques des registresmilitaires de 1904, pour voir si il apparait dedans. Je rentre donc l’année et le lieu de subdivisionmilitaire, j’obtiens la table alphabétique et rapidement je repère Eugène. Son matriculeest le 914, ça va m’être très précieux pour continuer la recherche. Je vais alors fouiller auprès des registresde matricules. Pour le loiret en 1904 il y en a 3. Je sélectionne le bon et il ne mereste plus qu’à trouver la page du matricule de mon ancêtre. J’apprends alors qu’Eugène était ungaillard d’1m60, qu’il avait les cheveux noirs, les yeux marrons, plutôt joufflu etqu’il a été affecté au 32eme régiment d’artillerie. J’ai alors accès à ceschangements de domiciles et à ses affectations militaire. D’abord réserviste dans l’arméeen 1908, il est mobilisé avec ces camarades le 1er aout 1914 pour lutter contre l’allemagne.Du 3 aout 1914 au 3 mars 1919, il participe à la campagne d’allemagne où il passedu 32 régiment d’artillerie de campagne au 3eme régiment d’artillerie lourde, puisau 105eme en 1915 et au 114eme en 1916. Il est libéré de ses obligations militairesen 1933. Sur le même registre, le soldat qui partagela page d’en face n’a pas eu la même chance, son nom rayé, la mention “tuépar l’ennemi” apparaît près d’un mois après sa mobilisation. Au delà de ces informations, qui reste etresteront très factuelles, on peut y trouver quelques trucs supplémentaires, comme sonmétier : menuisier, ces différentes adresses et quelques infos complémentaires sur sonétat civil. Parfois ça peut permettre de débloquer une situation si on n’a pas d’autresdocuments sous la main ! Il est important de préciser que ces dossiersmilitaires de 14-18 ne sont accessibles que depuis 2014 pour les 100ans de la premièreguerre mondiale. Ce n’est le cas pour les autres périodes de l’histoire, où là ilfaudra faire une demande pour aller consulter aux archives elles-mêmes. Et tout ça, ça sert à quoi ? Avec toutes les informations que vous allezcompiler lors de vos recherches, vous allez pouvoir dresser une carte des mouvements devotre famille. Des mouvements aussi bien sociaux que géographique. Par exemple j’ai remontémon arbre généalogique du côté de ma mère et du côté de mon père. Dans les deux cas,j’ai réussi à aller jusqu’en 1620 environ. Dans les deux cas, j’ai pu constater quemes ancêtres restaient toujours au même endroit jusqu’à la fin du XIXe siècle.La plupart du temps, les mariés étaient issus du même village ou du village voisin.Dans certains cas, j’ai même pu observer des ancêtres qui sont tous les deux nés,mariés et mort au même endroit. On avait une population qui était très attaché àses terres, qui était très sédentaire. Mais au cours du XIXe siècle il y a eu degrands chantiers qui ont permis de créer beaucoup d’emplois. Du côté de mon père,alors que depuis 200 ans mes ancêtres travaillaient au même endroit, ils ont suivi l’évolutionde la construction des chemins de fer puisqu’un de mes ancêtres est rentré à la Compagniedes chemins de fer de l’Ouest, se rapprochant de Paris via les chantiers. Et c’est pourquoi,alors que j’ai toujours cru que ma famille était originaire de l’Essonne, je me suisaperçu qu’en fait ils venaient tous de la région Centre voir plus à l’ouest encore.En tout cas c’est également à partir du XIXe siècle que l’on commence à voir,des deux côtés, des mariages entre des gens qui ne sont pas originaires de la même régionet ça aussi ça en dit long sur l’évolution des mentalités et des mouvements de populations. Au delà des simples changements géographiquesil y a également les changements sociaux, ou parfois l’absence de changement sociaux.De génération en génération, j’ai ainsi pu constater que dans ma famille, ils venaienttous du même milieu et que finalement ça n’a jamais vraiment évolué. Cultivateur,chauffeur, menuisier, couturière…finalement à aucun moment donné les classes socialesne se mélangeait tout au long des arbres que je remontais.C’est aussi un des refletsde notre société qui est visible ici, celui d’une organisation hiérarchisée dans laquelleles classes sociales ne se rencontrent pas vraiment. Il y a aussi quelques informations qui trouventdirectement un écho dans l’histoire de France. Par exemple un de mes ancêtres, Pierre,qui est né en 1678 dans une famille protestante s’est marié en 1700 avec Gabrielle aprèsune cérémonie catholique. Alors pourquoi un protestant ferait-il un mariage catholiqueme direz vous ? Et bien parce que le 18 octobre 1685, Louis XIV révoque l’Edit de Nanteset par ce fait n’autorise que la religion catholique sur le sol français. On a doncici, alors que l’information peut sembler anodine sur les documents retrouvés, un véritabletrésor à remettre en contexte avec sa période. C’est ça qui est absolument formidableavec la généalogie, c’est qu’en fouillant vraiment, en creusant, en se donnant la peinede chercher, on trouve bien plus que des noms, des prénoms et des dates. On y trouve l’histoirede nos pays, vu de l’intérieur, une histoire du peuple donc que l’on peut connecter àl’histoire que l’on apprend aujourd’hui dans nos livres et qui ne rend pas souventhommage aux millions d’hommes et de femmes, nos ancêtres, qui l’ont autant façonnéqu’un roi ou un empereur. L’histoire ce n’est pas que des paillettes, ce n’estpas que l’histoire des dominants qui se hissaient socialement au dessus des autrespour rentrer dans les livres, c’est aussi celle du peuple, c’est la votre. Si la vidéo vous a plu laissez un pouce unl’air, commentez et partagez l’épisode et abonnez vous pour ne pas manquer les prochains.Si vous êtes intéressé par la généalogie partagez cette vidéo à vos proches puisquequ’ensemble on est beaucoup plus fort dans la recherche.N’oubliez pas de jeter un oeil à la description pour retrouver tous les liens qui vous aiderontdans vos recherches. Je rappelle que ces recherches sont faites sur le territoire français etque je ne connais pas les subtilités administratives des autres pays, cependant la démarche globalereste la même alors n’hésitez pas à vous envoyer des liens dans les commentaires pourvous entraider ! Un grand merci à France et OIivier pour leuraide très précieuse, sans eux je n’aurai jamais pu réaliser cet épisode !

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