C’est quoi un caquet ?
Comment blanchir de la cryptomonnaie ? Les guichets automatiques Bitcoin peuvent être utilisés pour blanchir de l’argent par l’achat de cryptomonnaie. Les dons aux plateformes de sociofinancement sont aussi très populaires pour effacer ses traces.20 juin 2022 Quel crypto va exploser en 2022 ? Les voici : IMPT – Cryptomonnaie qui a pour objectif d’utiliser la blockchain comme solution face aux émissions carbone. Tamadoge (TAMA) – Crypto-monnaie Déflationniste Basée sur le Meme Incontournable du Doge. Battle Infinity (IBAT) – La Prochaine Crypto-monnaie à Exploser dans le Metaverse.il y a 5 jours Pourquoi ma ps5 s’éteint tout seul ? problèmes de surchauffe Si vous jouez et que votre console s’éteint sans avertissement, il se peut qu’elle surchauffe. Après tout, tous les ordinateurs et appareils électroniques s’éteignent automatiquement pour des raisons de sécurité lorsqu’ils dépassent la tolérance de température maximale.27 juil. 2022 Will Shiba Inu coin reach $1? If Shiba Inu pulls a similar move in 2022, it could easily trade at $1 by the end of 2022. However, taking a more conservative approach to the price of SHIB, 2030 seems like the earliest it can trade at $1.11 oct. 2022 Comment savoir si une crypto va monter ? Il y a des plateformes sur lesquelles vous pouvez suivre l’évolution des différentes crypto monnaies afin de savoir si elles continueront par augmenter en valeur. C’est le cas par exemple de coin360.com.
je me présente donc tirer cac et moi je suis le directeur scientifique environnement dînera et donc israël c’est peut-être pas familier pour tout le monde mais c’est l’institut national de recherche pour l’agriculture l’alimentation l’environnement en fait c’est un peu tout nouvel institut de recherche qui a deux ans d’âge on est on est très jeune mais en fait on est les héritiers de deux institutions plus anciennes qui sont l inra que vous connaissez et lire ce terrain nous avons fusionné au 1er janvier 2020 et jean-roch parlait de contrats d’objectifs de performance nous avons signé notre contrat d’objectif de moyen et de performances en début d’année avec les deux ministres de tutelle et donc on m’a demandé ce matin de faire un point sur sur la filière équine face aux changements climatiques à leur changement climatique vu sous l’angle à la fois des aléas que nous allons connaître que nous connaissons déjà contribution de la filière équine aux émissions de gaz à effet de serre je vais un peu divulgue h et en bon français des présentations qui sont faites plus en détail par certains collègues dans la matinée donc de l’ifc eux et puis voir comment la filière peut s’adapter et comment finalement elle possède des atouts ou pas c’est vous qui le verrait aussi en tant qu expert du domaine sur 7 sur ces questions alors pour juste préciser des choses je ne connais pas grand chose à la filière équine voilà je le dis tout de suite donc je vais peut-être dire des énormités je compte sur vous pour me corrigez moi je viens du domaine plutôt de l’environnement au sens large et de près de la question de l’adaptation au changement climatique que je gère pour pour in rails alors peut-être pour pour commencer barrable et des choses qui sont je pense dans l’air du temps que tout le monde a entendu mais peut-être préciser un certain nombre d’éléments sur ce que j’ai appelé ici les données du problème avec cette photo un peu anxiogène bien sûr d’un orage tout tombe sur des champs de blé pour évoquer ce que l’on sait ce que l’on pressent du changement climatique en cours et puis voir ensuite quelles peuvent être les impacts alors les données du problème elles sont très complexes mais on peut résumer ça de trois manières première chose c’est un certain nombre de changements tendancielle dont certains sont déjà visibles par exemple en termes de température ça ce qui est illustré ici sur la gauche de la diapositive mais c’est aussi la remontée du niveau de la mer dont on entend parler ça paraît peu quelques millimètres par parents mais c’est finalement du temps ça finit par faire des grosses grosses valeurs donc ça c’est ce que tout le monde a en tête on vous dit ben voilà la température va augmenter sera ton à +2 +3 +4 degrés dans 20 ans 30 ans il ya beaucoup d’incertitudes mais ça fait partie je dirais des ce qu’on attend comme conséquences du changement climatique le deuxième élément ça c’est au centre de la diapo c’est ce qu’on connaît déjà ce sont des événements climatiques dealextreme c’est à dire des aléas ça peut être des tempêtes ça peut être des gels ça peut être des précipitations des sécheresses qui surviennent de manière plus fréquente ou avec une intensité plus forte au fur et à mesure que le temps passe alors on pense souvent changement climatique réchauffement mais vous savez très bien on l’a vu sur les deux dernières années en france notamment en france métropolitaine que le gel reste pour l’agriculture au sens large notamment pour la production fruitière et ou viticoles à un sujet d’importance parce que c’est pas parce que le temps le climat évolue et se réchauffe que pour autant les périodes de gel dont disparaître et en général se produisent maintenant un moment où la végétation a démarré plus tôt avec des impacts beaucoup plus grand donc les aléas les événements climatiques extrêmes percute de plein fouet toutes les activités humaines les activités agricoles et l’élevage ont fait partie et puis le troisième point la troisième dimension de changement climatique à l’oeuvre c’est une augmentation de la variabilité saisonnière et de la viabilité interannuelle c’est à dire d’une saison à l’autre le temps peut changer très brusquement alors quand on parle de climat on passe sur l’étang longue mais nous ce qu’on voit c’est la météo c’est le temps qu’il fait et en fait on a des fluctuations au cours de l’année d’une année à l’autre d’un certain nombre de paramètres qui font qu’il est de plus en plus difficile de se projeter notamment quand on pilote des activités en lien avec le vivant se projeter dans le climat qu’il va faire dans la météo qui doit faire à six mois anne donc on a ces trois éléments qui se conjuguent pour finalement donner une vision un peu pessimiste de l’avenir j’essaie de pas trop et de pessimistes on me reproche souvent quand je fais des exposés comme ça de te dire aux jambes à ces fichus puisqu’elle sortir et puis il ya les disparaît dans la nature non l’idée c’est de poser les éléments du problème et après de voir quelles sont les marges de les marges de progrès alors si on regarde au niveau mondial je veux pas faire un cours sur le changement climatique et des gens qui feraient ça beaucoup mieux que moi simplement rappeler et bien sûr cette courbe date de 2018 un rapport du giec qui était antérieur à celui qui est sorti en 2021 on sait que la température du globe s’est réchauffé globalement ça c’est évident en moyenne c’est un point un peu moins d’un degré depuis à la période de référence qui est 1850 1900 mais quand on regarde ce qui se passe à la surface des terres émergées par rapport à la surface du globe et bien le réchauffement est beaucoup plus rapide sur les terres émergées donc on est actuellement à quelque chose entre environ 1,1 degré 5 d’augmentation et on sait que ça va continuer à augmenter et on voit que l’augmentation la surface des terres finalement elle est plus rapide plus importante que ce qui se passe quand on regarde la planète dans son ensemble et se trouve que vos activités que nos activités se déroulent essentiellement sur le milieu continental sur les terres émergées donc un impact à venir vraisemblablement très fort ça c’est pour le monde si on regarde la france métropolitaine vous regardez sur ce truc ça intéresse il ya un site chez un peu de publicité au passage pour les collègues sur météo france s’ils s’appellent climat hd et vous pouvez reconstruire trouver toutes les chroniques de climats passés les projections de climat futur est par exemple on peut voir sur cette courbe que les températures moyennes en france ont augmenté en moyenne de 1,4 degré depuis 1900 ça paraît peu 1,4 degrés mais du point de vue biologique c’est énorme et puis on voit une accélération c’est la partie droite du biographique donc cours des trois dernières décennies ça va de plus en plus vite et donc on va vers une accélération de ce réchauffement ça s’accompagne d’un certain nombre de phénomènes plus ou moins difficile à quantifier par exemple des évolutions des précipitations alors ça va varier selon les régions selon les saisons retenez en janvier redirai tout à l’heure en gros ce à quoi on s’attend sait qu’il va pleuvoir de plus en plus en hiver de moins en moins en été ce sera variable entre le nord et le sud de la france mais ça peut ça les grandes tendances même si au total la quantité d’eau qui va tomber sur le territoire français sera à peu près la même simplement se serait réparti différemment dans la danse entre les saisons on peut rien dire pour l’instant sur les tempêtes et plus extrême est toujours tentant quand on est notamment journalistes de dire tiens une tempête vient d’arriver où il ya des précipitations épisodes cévenols c’est le changement climatique il faut être très prudent par rapport à l’attribution mais on sent quand même qu’il ya peut-être une quelque chose qui se qui se déploie la neige la durée de l’engagement au mayet-de-montagne diminue là ça ça peut paraître comme ça anecdotique alors ce n’est pas anecdotique si vous vivez en montagne bien sûr si vous vivez de sports d’hiver mais c’est aussi très important en termes de disponibilité en eau au printemps et en été parce qu’il ya beaucoup de cours d’eau prenez un des plus grands en france deux fleuves de france le rhône c’est un régime dit ni valls c’est la fonte des neiges des halles qui alimente le rhône et si ya plus de glaciers s’il ya plus de neige est bien le rhône va baisser et toutes les activités y compris les activités agricoles liés à l’irrigation on peut penser au point de la crau par exemple avec la durance qui est utilisée pour irriguer le accroc eh bien on peut avoir des problèmes à un moment donné production et puisqu’il fait aussi ce qui impacte beaucoup l’esprit c’est les vagues de chaleur donc avec vous et sociaux graphique en 2003 c’est là la sphère la grosse faire c’est la vague de chaleur la plus intense et la plus durable en termes d’intensité qu’on ait connues et on s’attend dans le futur est ce que ça augmente avec des impacts sur la santé humaine mais aussi bien sûr sur l’élevage et puis quelque chose qui percute directement l’agriculture c’est l’assèchement du sol s’il fait plus chaud même s’il pleut il y à une évaporation plus importante évapotranspiration les plantes évapore davantage et donc le sol ça sèche et donc ça a posé des tas de problèmes des sécheresses plus intenses plus fréquente un accès à l’eau qui peut devenir difficile dans certaines régions au potable pour les humains mais aussi aux d’abreuvement pour les animaux et puis la production herbagère qui est fortement impacté avec des écoutes après derrière pour les éleveurs qui seront très importants alors les perspectives juste pour pour clore sur ce chapitre introductif j’ai repris ici les données du dernier rapport du giec qui est paru pour la partie climatique en 2021 donc vous savez peut-être que les accords de paris en 2015 avait fixé une cible à ne pas dépasser 2 degrés en 2100 actuellement on est sûr qu’on atteindra déjà un degré 5 d’augmentation dans la période 2020 et 2040 on est en plein dedans donc on va peut-être vers +3 +4 degrés en 2100 rainures 2100 c’est loin mais d’ici là à la cartuja sion peuvent être très forte et ça que quoi que l’on fasse si on s’arrêtait dès maintenant à utiliser tous combustibles fossiles de toute façon la mecque la machine climatique est parti et donc il faut d’ores et déjà se projeter dans l’adaptation au changement climatique ce n’est pas une raison pour ne pas réduire les émissions mais il faut imaginer l’adaptation on sait que la sécheresse va de plus en plus importantes notamment pour la france toutes les régions proches de la méditerranée sont parmi les plus affectés par l’assèchement des sols c’est déjà le cas et ça va devenir de plus en plus prégnant et j’ai résumé en bas mais je page a pas le temps de tout regarder dans le détail qu’est ce qu’on attend pour la france le temps perdu en moyenne en eau en hausse surtout surtout l’été plus dans le sud est ce que dans le nord-ouest des vagues de chaleur qui augmente des canicules en hausse des vagues de froid en baisse un peu plus depuis les berges les 10 et moins de plus l’été et c’est donc on a un climat qui évolue et donc des conditions dans lesquelles nous vivons dans lequel nos activités se déploie qui vont qui vont être modifiés alors dans tout ça il est toujours tentant de d’attribuer finalement la responsabilité à tel ou tel en disant voilà c’est lui le pollueur c’est lui c’est eux c’est le cul de faire un effort et c’est en fait quand on regarde globalement toutes les activités humaines sont responsables une pollution de l’environnement d’émissions de gaz à effet de serre notre propre respiration émet du co2 voilà ce pas trop tôt concentré de respirer mais en tout cas faut prendre conscience que toutes les activités sont concernées et donc quand on est un organisme de recherche comme une ride on s’intéresse aux bilans de gaz à effet de serre hsc les gaz à effet de serre et lâche la petite photo d’illustration cdd système de ma qui sont installés dans massif central qui permettent de mesurer les flux de gaz à effet de serre à partir de prêt à partir de prairies alors il se trouve que lassé des bovins qui sont en élevage on peut faire la même chose avec avec des écarts alors il ya beaucoup de chiffres dans ce que j’ai présentées vous aurez la présentation je pense ça sera ça sera mis à disposition ce qu’il faut retenir en fait c’est que globalement c’est la figure de gauche c’est les différents secteurs des missions pour la france de gaz à effet de serre la france a fait beaucoup d’efforts comme beaucoup de pays et donc on réduit progressivement nos émissions de gaz à effet de serre mais bon an mal an on et encore en 436 millions de tonnes d’équivalent co2 chaque année et ce qui est en verre sous la barre des x là c’est le puits de carbone c’est à dire que c’est le stockage de carbone par les prairies par les forêts qui sont les deux puis majeur en france et donc on a un stockage de carbone qui existent donc qui permet de capter un peu d’oxygène mais de co2 par nous mais ce captage il est nettement inférieur à ce qu’on aimait et si vous regardez le petit rond qui sont sur la droite c’est les différents secteurs industrie de l’énergie et manufacturières l’agriculture sylviculture et donc l’élevage c’est ce qui est en verre on voit qu’entre 1990 et 2010 9,1 me les données qui sont là finalement la part de l’agriculture dans les émissions à augmenter alors c’est pas que l’agriculture augmente et mais plus c’est que les autres secteurs ont beaucoup diminué leurs émissions notamment le secteur de l’énergie et quand on regarde le détail de ses 83 millions de tonnes auxquels on pourra jeter ce que gémir à droite en haut l’industrie agroalimentaire qui est aussi liée au secteur agricole qui émet aussi des gaz à effet de serre eh bien on a en gros à les 90 millions de tonnes 95 millions de tonnes d’équivalent co2 alors ça veut dire quoi d équivalent co2 sévère qu’on va sommer tous les gaz qui ont un effet sur le réchauffement de l’atmosphère donc le co2 bien sûr mais aussi le méthane vous le savez notamment dans le domaine de l’affilié des filières ruminants on sait que les vaches et d’autres ruminants et même du méthane qui est beaucoup plus puissant en termes de gaz à effet de serre que le co2 ces 28 fois plus puissant donc une tonne de méthane ses 28 tonnes d’équivalent co2 et puis un dérivé dalle de la zot le gmi n o 2 mais ce n’est pas une au dos et n2o excusez moi le protoxyde d’azoté qui est émis par les prairies notamment ou par les champs quand des apports d’engrais ou des apports de fumier est donc sauf en oxydes d’azoté lui les 265 fois plus puissant en termes d’effet de serre que le co2 donc on fait des conversions entre les différentes émissions et on peut comme ça à dire qu’on a des équivalents co2 derrière c’est pas que du co2 nécessaires aux deux méthane in2 aux escales caractérisée de l’agriculture bat c’est qu’elle est mais l’essentiel du n2o français 90% pratiquement vire de l’agriculture au sens large 67% du métal est à peine 1% du co2 alors je vais ce pôle est là une présentation qui aura lieu tout à l’heure je suis désolé je n’ai pas fait attention au programme ah oui désolé les gars t’as juste évoqué le bilan de ges de la filière équine pour dire que finalement on a plus de donner enfin jusqu’à maintenant on avait peu de données mais ça va changer vous serez plus tout à l’heure sur ces bilans jesse vous avez un petit tableau là vous pouvez être pas de vous êtes mais c’est tiré de la basse carbone de l’ademe qui vous dit que en fait en moyenne si on regarde le méthane ben un cheval c’est en gros entre 20 22 kg par an en moyenne de co2 équivalent sous forme de méthane rejeté dans l’environnement mais ça varier selon qu’on a affaire un poulain une jument gestantes une jument suitée et puis les poneys c’est un peu plus c’est l’éducation métabolisme aussi ces animaux en gros le bilan que j’ai pu trouver moi dans les bilans france c’est 1,5 pour cent des émissions agricoles total c’est la filière équine mais c’est très difficile à tracer comme chiffres parce qu’on regarde en général les grosses masses et les grosses masses c’est l’élevage de ruminants les monogastriques et puis les chevaux ils sont un peu perdus dans tout ça on a très peu de données mais on va en savoir bien bientôt beaucoup plus notamment en terme d’émissions associés aux déjections déjections au fumier aux épandages avec cap 2 eric 1 j’en dirai pas plus je parais spoiler voilà donc une approche développée en collaboration entre livre cee liddell et inra et pour justement caractérisé sous forme d’une analyse de cycle de vie l’ensemble de ces émissions et dont vous aurez une présentation pour ceux qui resteront ici à 11h55 si tout va bien de l’ensemble de la méthode donc j’insiste pas là dessus je le laisse puisque ça sera présentée tout à l’heure par les porteurs du projet mais c’est une grosse innovation attend un outil et pour faire le parallèle avec ce qu’utilisent les éleveurs de la filière ruminants cap de the air est vraiment quelque chose qui est rentré dans la pratique des éleveurs pour vraiment caractériser leur impact sur l’environnement alors ce bilan de ge est 6e il se limite pas à ce qui se passe sur un rat ou ce qui se passe dans un manège ou un centre équestre il ya aussi l’empreinte carbone globale des activités équines et ça il ya beaucoup de filières qui se pose beaucoup d’activités qui se posent des questions sur leur vrai impact car carbone le transport des animaux le fait de faire venir du public les installations qu’il faut faire fonctionner et en fait on a assez peu de données quantitatives en tout cas j’en ai trouvé assez peu mais on commence à avoir des quantification et dans le cadre du mondial du lion 2016 y avait eu dans une étude qui avaient été faites qui a montré que finalement l’événement avait produit environ 2000 61 tonnes d’équivalent co2 sur l’ensemble de la durée donc soit 25 kg par jour et par personne sachant que boudanov de grandeur un aller retour paris new york en avion c’est environ 1 une tonne d’équivalent co2 moi ça vous donner un ordre de grandeur on trouve tous les chiffres dans la littérature et notamment sur internet mais le inq une tonne il à peu près à peu près bon si vous regardez ce qui s’est passé pour le transport par rd des chevaux depuis liège jusqu’à tokyo un peu plus de 300 chevaux ça représente avec les barèmes de calcul du cio en gros un peu 6500 tonnes environ d’équivalent co2 rien que pour le transport des chevaux donc c’est quelque chose je dis pas c’est beaucoup c’est pas beaucoup je dis ça existe et il faut se poser des questions il faut pouvoir le quantifier quantifier c’est aussi réduire et yann vous savez sans doute que la fédération équestre internationale a signé un accord-cadre comme beaucoup d’autres filières sportives l’accord cadre des nations unies sur le sport au service de l’action climatique en 2019 a été récompensé en 2019 et 2020 par un award le seuil oda au carbone world pour justement son effort son engagement dans la réduction des émissions et puis à la compensation donc elle il faut penser qu’on peut pas tout réduire et donc il faut des fois qu’on pense et c’est à dire qu’on pense et ça peut être favoriser le stockage dans les sols dans la biomasse mais aussi utiliser l’énergie ou les courts produits du cheval pour produire de l’énergie j’ai trouvé l’exemple ici du concours international d’helsinki en 2019 où finalement tout rotin été récupérés avec des systèmes de cogénération qu’on peut produire l’énergie et 150 mégawatts heure ont été produits en 2019 ça paraît comme ça une anecdote mais cette démarche de compensation sont de plus en plus intégrée dans la stratégie responsabilité environnementale des entreprises des organismes comme il y avait eu comme une ride donc on réfléchit comme ça à diminuer notre empreinte carbone alors les conséquences que cela je fais une analyse assez rapide vous avez vu le climat ces grandes tendances contribution des émissions de la filière équine difficile mais on commence à avoir des chiffres il faut s’intéresser aussi aux conséquences du changement climatique sur nos activités sur les animaux et sur finalement l’ensemble de la filière alors il ya 3 3 trip trois éléments dans le triptyque quand on regarde globalement les impacts sur les filières animales il y avait d’abord ce qui va être va dire les impacts sur les performances et bien-être de l’animal auquel on est très soucieux dans pas mal de domaines et que nous comprenons les filières équines au travers finalement de l’évolution du climat ou ce qu’on appelle parfois les paramètres bioclimatique alors ses conséquences on commence à les allées kaleme quantifier allait mesurer ses des problématiques d’accès à l’eau alors une eau en quantité suffisante lorsqu il en faut mais aussi nos de qualité on pense beaucoup quantité d’eau contemporain changement climatique mais on peut avoir des deux lots disponibles qui ne soit pas utilisable parce qu’elle est contaminée par des bactéries par des cyanobactéries par des agents pathogènes donc ne pas penser à l’eau que quantité mais aussi en qualité et elle pointe de la thermorégulation des animaux notamment en cas d’effort donc de plus en plus deux reprises à sion nous ça vous savez ça mieux que moi je pense sur la climat tation avant l’effort et puis un rafraîchissement réhydratation vous avez peut-être vu les photos des stalles depuis le verrait de brumisation pour les chevaux notamment à tokyo ce que l’on sait des impacts c’est que des chaleurs trop forte impact les fonctions cognitives de l’animal donc une difficulté pour l’apprentissage difficultés d’orientation d impact sur la fertilité des animaux fertilité des juments alors c’est pas forcément le le paramètre climatique lui-même qui influent mais ça peut être souvent la composition de l’art du régime alimentaire avec des prairies ce qui souvent riche issement de co2 et son opposition températures ont des plantes contiennent des plantes plus chargées en azote qui peuvent modifier le régime alimentaire et donc la régulation de la fertilité des animaux et puis vous avez sûrement vu en discutant que les collègues élèves ce2 on en avait parlé dans dans la presse notamment en grande bretagne bon une étude fait par les collègues vétérinaire au britannique on trempe peut être une tendance à l’obésité chez les chevaux alors le lien j’ai mis un point d’interrogation l’union changement climatique il est pas du tout avéré simplement plus de 30% des animaux observé sur 900 animaux environ étaient obèses et les collègues ont fait le lien avec finalement le fait que l’herbe pousse mieux en grande bretagne depuis quelques années et ça pourrait être un symptôme de qui tendait enfin ne pas pas un symptôme plutôt un effet du changement climatique avec des conséquences sur la prise de consommation alimentaire avec tous les risques associés chez l’animal alors autre autre angle aussi pour considérer cette question du changement climatique c’est sur les pratiques les pratiques professionnelles notamment la question de l’arrosage désert d’évolution en sable donc il ya un article très bien sûr équipé dia j’ai découvert et cupide hier il ya plein de choses intéressantes non justement où on voit que finalement il faut apporter de l’eau pour garantir la cohésion du substrat c’est le chiffre que j’ai trouvé ces quatre millimètres par jour par mètre carré en saison estivale ans apparaît peut qu’être mm mais c’est le même ordre de grandeur que ce qu’on apporte dans les cultures de maraîchage par exemple sur salade ou autres essais pour une exploitation pour une entreprise c’est plusieurs mètres cubes par jour alors j’ai pas trouvé peut-être que deux parmi vous certains auront des éléments l’estimation de du coup tu ça représente dans le budget d’une 1/2 d’un manège ou d’un centre équestre mais j’ai vu simplement une enquête sur le parc naturel de la vallée de chevreuse qui montrait qu’on avait pour chaque manège y en a beaucoup dans le parc nature de la vallée de chevreuse pour chaque exploitation c’était entre 8 et 15 mètres cubes/jour donc ce qui paraît beaucoup et peu mais quand on est dans une période de restes de restriction des usages de l’eau ça va commencer à poser problème donc il ya une question d’évolution des soldes il y aura des présentations sur le sujet des sols fibres et l’irrigation par le sol qui permet d’économiser l’eau et cela sans arrosage se pose la question aussi de l’arrosage des aires d’évolution en gazon et puis en termes très opérationnels pour plutôt la participent aux portes yves assez peu de décalage des horaires des épreuves voir là leur annulation ou à la modification du lieu des épreuves on l’observé aussi d’ailleurs dans l’aspect pratique sportive humaine avec des marathons qui ne semblant plus grosse à l’endroit où avait lieu précédemment y compris dans les jeux olympiques le deuxième volet c’est lié j’ai un petit peu parlé avec la question de la zot sur les sur les immenses et l’évolution des ressources alimentaires notamment l’évolution des des prairies impact sur les prairies naturelles aux prairies sommet ce que vous avez sur la droite de la figure c’est courbe verte là avec les deux et deux pics et comme j’allais dire standard de croissance de l’herbe en france métropolitaine c’est l’institut de l’élevage qui sort s’ils courbent la savons que traditionnellement en france on peut faire deux de couple voire trois ça dépend des régions une coupe de printemps en avril mais très importante et puis s’il était pas trop sec deuxième voire une troisième coupe ensuite sous l’influencé du changement climatique en fait on observe plusieurs choses la phénologie donc le cycle de développement des plantes et perturbé la pousse de l’herbe commence plus tôt donc si les conditions les autres conditions le permettent on peut peut-être les animaux plutôt à l’herbe pour peu que la portance du sol soit suffisante ça c’est vrai surtout pour le pot pour les bovins mais par contre ce qu’on observe de plus en plus c’est que il ya une première coupe qui parfois est plus importante d’ailleurs que les couples traditionnels mais qu’ensuite des fois y’a pas de deuxième ou troisième coupe parce qu’il ya pas de repousse de l’herbe avant l’automne suivant donc on a des déficits qui se creusent la production herbagère dans beaucoup de régions françaises alors c’est pas vrai partout fallait voir sur le site de liddell donc des choses très détaillées sur les différentes régions j’ai pris la tête carte de droite là comme un exemple de ce qui s’est passé en 2020 c’est à partir d’indicateurs de pouce des prairies qui s’appelle is up que vous connaissez peut-être qui est un indicateur utilisé par la misère l’agriculture pour suivre est la croissance des prairies en france est décrétée notamment un certain moment l’état 2-2 calamités naturelles et déclencher les aides pour les éleveurs eh bien on en octobre 2001 revenir en france l’essentiel de grand car j’allais dire nord-est de la france même plus que ça y compris certains camps de la normandie était en déficit très important sur le rendement des prêts dits prairie fourrager alors c’est juste un point comme ça mais ce système là fait cette observation là on se répète de plus en plus et vous connaissez les problèmes qui se posent maintenant de compétition pour les litières pour compétition pour l’alimentation et la hausse potentielle du coût de l’alimentation pour pour les animaux donc tout ça ça pose des questions sur comment veux tu ont continué à développer des activités qui nécessitent d’avoir des prairies qu’ils soient fonctionnels qui soit de bonne qualité fourragère alimentaire et qui en même temps parce que c’est toujours le jeu du en même temps stocks du carbone puisque l’un des rôles importants des prairies notamment les prairies permanentes dans la régulation du changement climatique c’est le stockage du carbone sachant que finalement une prairie stock autant de carbone dans les sols qu’une forêt dans les sols je crois pas des arbres donc on a vraiment un rôle très important pour ces prairies le troisième élément mais qui sera à développer cet après midi notamment dans une table ronde en fin de journée ici même c’est l’environnement sanitaire des chevaux des et qu’un bon tout le monde a entendu parler des problématiques la fièvre west nile avec les prix si une carte qu une des plus récentes en 2019 où on a finalement l’identification des cas chez les chevaux chez les humains en rouge chauveau envers savait que le west nile en fait c’est un virus qui normalement est chez les oiseaux migrateurs en particulier les moustiques se nourrissent sur les oiseaux et contaminent des oiseaux avec ce virus mais ils peuvent aussi piquet de chevaux ou l’homme et l’homme et le cheval pour les équins sont des impasses pour le virus par contre ça peut rendre malade voire tuer les animaux en particulier et donc le west nile va progressivement on voit sa répartition qui augmente les cas initiaux de mémoire identifié était plutôt dans la région de camargue et maintenant on en retrouve y compris dans le nord de l’allemagne donc c’est plus une préoccupation uniquement du bassin méditerranéen si en train de se développer parce que finalement l’ère du virus augmente et puis j’ai illustré une méchante bestioles à part une petite photo les post-it grosses que ça mais c’est quand même quelque chose de très préoccupant c’est mythique c’est la tique ya l’homme à l’origine at home denquête une tique qui vit en zone méditerranéenne et qui est vectrice d’une maladie beaucoup plus grave que west mike et la fièvre hémorragique crimée congo et là c’est tout être sceptique elle est en train de remonter très vite vers le nord à l’est potentiellement big three ce n est pas toujours contaminés par heureusement la fièvre hémorragique mais le vecteur est là et en général quand le vecteur est là là mais la dui mais pas très longtemps à suivre donc à une surveillance sanitaire très forte sur cet animal là qu’on retrouve maintenant dans tout le sud de la france a remonte même vers lyon et dans d’autres régions parce qu’il ya un risque un moment donné que lier des pathologies qui se développe dans une table ronde sur le sujet je n’en dirai pas plus ici même 16h30 si j’ai bien compris pour en savoir beaucoup plus sur ces questions par des spécialistes alors face à tout ça filière équine et l2 complètement désemparé quels sont ses atouts comment finalement et j’ai repris ici encore j’irai le la notion de guînes à 7 les collègues de lier seuls connaissent bien pour dire finalement est ce qu’on peut avec les grands grands domaines de grande qualité que l’on connaît à la filière équine et est ce que l’on peut faire avec elle avec ses animaux est-ce qu’on a des choses qui permettent de répondre au défi du changement climatique alors je vais me lancer dans une improvisation sous votre contrôle vous pourrez vous pourrez critiquer allègrement j’ai repris une illustration qui vient du papier de 2020 dans animal’z alors en termes d’ usage des terres donc fréquentation des ter ou de d’articulation entre entre filière équine et usages des terres je pense qu’on a un point sur lequel il ya des progrès à faire mais qui est aussi un point intéressant c’est tout ce qui m réduction indirecte des émissions notamment de n2o donc sept émissions de protoxyde d’azoté qui actuellement est surtout lié aux usages d’engrais en agriculture mais aussi à une mauvaise gestion une gestion inadaptée des effluents d’élevage des fumiers et etde crottin de cheval notamment donc travailler sur le compostage des effluents solde des compostage des déjections pour s’en servir comme amendement à la place d’un amendement qu’on achèterait de synthèse ça fait partie de l’équation mais c’est aussi mieux gérer les stockages parce qu’un fumée laissé à l’air libre ben va émettre et ça les collègues en parlerons l’équipe de the air à la fois du n2o du ch 4 du co2 donc la gestion des effluents fait partie des frais des pratiques et il ya des avantages vous savez à pouvoir utiliser c’est comme intrant ses déjections la question du pâturage la question finalement de laisser des animaux dans la mesure où le pâturage et raisonnée et raisonnable ça permet d’augmenter en général la résilience aux aléas climatiques parce que ça permet d’avoir des animaux sur lesquels on peut les laisser en nourriture libre sans avoir à ramener nécessairement ou à stocker beaucoup de deux fois en tout cas ça peut permettre d’équilibrer les balances entrées sorties pour les exploitations et puis c’est très favorable au stockage de carbone dans les sols d’avoir des prairies notamment des prairies permanentes fréquenté par des chevaux ou d’autres animaux c’est un atout pour le stockage de carbone et donc indirectement c’est un effet positif sur l’atténuation du changement climatique la biodiversité la biodiversité on va dire s’est vu sous l’angle biodiversité des équins mais aussi bio diversité des paysages fréquenté par les animaux qui maintiennent un degré d’ouverture et une diversité des prairies c’est quelque chose qui est aussi permet d’augmenter ce qu’on appelle la résilience aux aléas climatiques arlon termes de résilience je peux rentrer dans l’exégèse du terme on pourrait en parler pendant des heures mais quand tu parles de résilience c’est vraiment de stabiliser le fonctionnement des systèmes stabiliser la production des prairies stabiliser finalement l’alimentation des animaux et puis de manière connexe les illustrations valent ce qu’elles valent mais le recours à la traction animale qui est un sujet qu’on voit parfois dans les médias je la dir généraliste sur lesquels il ya pas mal d’articles notamment sur internet j’ai mis les références à chaque fois est un insu un vrai sujet sur la réduction des émissions alors c’est extrêmement compliqué de trouver des valeurs chiffrées les gens qui sont entre guillemets amusé à comparer notamment sur le débardage forestier des barrages 100% mécanique versus quelque chose ou non mixtes les deux jamais trouvé quand même quelques-uns je voulais pas vos noyé sous les chiffres et qui montrent que des approches mixte on va dire tronçonnage avec des machines thermiques mais débardage à cheval pour des volumes des bars des dents de certains territoires un peu escarpé à peu près équivalent bah on gagne 40 à 50% des émissions il ya très peu de données ces données qui viennent de suisse mais en tout cas il ya des marges de progrès alors après c’est aussi une autre façon de travailler et c’est quelque chose qu’il faut peut être repensée en termes d’intégration dans la filière après le tourisme et pau mobile oui pourquoi pas là je crois que l’image je fais si c’est sur le ventoux non c’est pas le ventoux c’est le canigou montiel le canigou manqué en charrette à cheval devons ça plaît aux touristes secure but quand quad en tout cas du point de vue des émissions de gaz à effet de serre alors il faut autrement dit il faut ça se termine par quelque chose c’est ce qu’il faut retenir alors je devrais pas la photo de la salle j’avais une photo de mode salle où les gens qui est très intéressé on disait tout autre chose et regarder leurs mails peut-être sur ce qu’il faut retenir de mon intervention en tout cas ce que j’essayais de passer comme message c’est que il ya déjà ça c’est de toute façon inexorable des conséquences du changement climatique sur les équins et la filière déjà visibles alors ça peut être jeudi sur le bien-être les performances l’alimentation des animaux leur environnement sanitaire je rappelle la table ronde je pense que dire qu’il n’y a pas d’impact du changement climatique sur cette filière comme sur tout le reste de nos activités ça serait complètement je dirais non seulement illogique mais j’aurais presque mot est un peu fort dangereux et criminel parce qu’on ne peut pas faire comme s’il ne se passait rien et c’est pas parce qu’il ya des impacts qu’il faut aussi baisser les bras qu’il faut pas se mobiliser c’est aussi le sens de mon intervention la filière l as des as la filière au sens large les activités ont un rôle à jouer dans les démarches d’atténuation et l’atteinte de la lutte réalité carbone c’est quelque chose dont on parle beaucoup vous avez dû entendre parler de la loire climat et résilience il ya actuellement une réflexion multi organismes et multi tutelle de l’état sur la future stratégie bas carbone de la france qui doit sortir en 2023 qui va faire les efforts quelles sont les filières qui vont être les plus impactés l’agriculture est montré du doigt comme étant celle qui a fait le moins l’agriculture au sens large qui a fait le moins d’effort par rapport aux autres filières dont on attend beaucoup du secteur agricole toujours au sens large élevage y compris sur les réductions d’émissions et le stockage de carbone les nouvelles sont pas très bonnes du côté du stockage de carbone par les forêts ce avec nos forêts sont en très mauvais état en france de plus en plus mauvais état et donc les nouveaux chiffres on sort c’est que le puits de carbone qu’on espérait pouvoir nous pomper jusqu’au mêmes bas il est peut-être deux fois plus faible que ce qu’on pensait donc il faut travailler sur la réduction des émissions ça veut dire travailler aussi sur les effluents les activités je dis pas qu’il faut interdire les activités de déplacement les compétitions sportives c’est pas du tout mon propos médias seulement être conscient des émissions et de pouvoir les compenser par des actions de différentes natures ça peut être à planter des arbres c’est un peu un peu bateau mais ça peut être ça ou d’autres actions la substitution aussi lorsque c’est possible c’est à dire utiliser la traction animale versus l’attraction phare les systèmes mécaniques pourquoi pas et puis la compensation je voulais déjà dit c’est important il ya un potentiel d’adaptation dans la filière vraisemblablement qu’il faut évaluer je ne suis pas sûr que beaucoup peint dans beaucoup de filières en tout cas selon lui les dossiers sur lesquels je vais me pencher qui ne sont pas des dossiers sur la filière équine beaucoup de gens raisonnent sur finalement la réponse à court terme c’est à dire comment je vais passer la mauvaise saison il faut du courage il faut de l’eau pour arroser mes cultures salue tous les débats sur les réserves d’eau qu’on veut installer un peu partout en france pour certains veulent installer donc n’en veulent pas en fait ça c’est permet de passer une mauvaise période mais ça permet pas de s’adapter sur le long terme donc on a vraiment besoin collectivement de construire avec les acteurs avec les porteurs d’enjeux vous êtes la stratégie d’adaptation de la filière ça veut dire se projeter à 15 ans 20 ans 30 ans même si on sait très bien la réalité économique et balle est plutôt à court terme et ça on a vraiment à quelque chose qu’il faut qu’on travaille et je pense en tant que représentant ici dînera et le travail avec le fc eux le travail à dînera essaie aussi de se projeter sur ces schémas futur et pour les développer et les transférer vers vers le terrain et puis ce qui est extrêmement pour moi quelque chose que je rabâche parce que je force de faire des interventions pas forcément sur la filière liquide vous l’avez vu mais sur d’autres sujets c’est que on ne passera pas à travers d’une vision dit systémique c’est à dire que les activités et clean comme l’agriculture font partie d’un grand tout et travail en silo sans faire de mauvais jeu de mots avec l’agriculture c’est la meilleure façon de ne pas atteindre nos objectifs donc il faut que à la fois le monde industriel que le mode économique que les citoyens que tous les acteurs soient capables d’analyser de manière systémique c’est très compliqué parce qu’il ça se limite pas à la france bien sûr dans une vision globale ce qui se passe et les leviers à activer y’a pas un n ya pas un formule magique qui va apparaître qu’elle nous dira voilà c’est ça qu’il faut faire donc il ya vraiment une vision systémique à développer et toujours progresser à la fois sur l’atténuation réduction des émissions que tous les 10 même si on réduisait tout aux émissions à 0 aujourd’hui on en a pour au moins 80 à 100 ans de dynamique climatique qui va continuer donc c’est indispensable c’est nécessaire mais c’est pas suffisant et donc il faut penser à l’adaptation en cohérence avec l’atténuation et pour terminer je pense que votre filière a là des atouts à valoriser et on est là pour en discuter aujourd’hui c’était mon guide ce matin de lancer le débat maintenant on a de temps pour des questions je remercie de votre attention et puis à votre disposition [Applaudissements]